4°) Modification de l’alcène B.
Par polyaddition, l’alcène B donne un polymère, noté PEbd, utilisé dans la confection de sacs d’emballages légers.
a) Écrire l’équation chimique de l’opération de polymérisation.
b) Qu’appelle-t-on indice de polymérisation n ?
c) Un échantillon du polymère obtenu a une masse molaire moléculaire moyenne : MPE = 140 kg.mol-1.
Déterminer une valeur numérique de l’indice n de polymérisation.
III ] PHYSIQUE : sur 5 points. VIVE LE SKI . . . DE PRINTEMPS
VIVE LE SKI . . . DE PRINTEMPSVIVE LE SKI . . . DE PRINTEMPS
VIVE LE SKI . . . DE PRINTEMPS !
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Un skieur, de masse m égale à 60 kg, assimilable à son centre
d’inertie G, glisse sur une portion de piste formée de trois parties AB, BC et
CD, situées dans un plan vertical. AB représente une portion de cercle de
rayon R et de centre O, BC est une partie rectiligne horizontale de longueur
3R et CD est un quart de cercle de rayon R et de centre O'.
Le skieur, démarre en A avec une vitesse nulle.
On donne : R = 0,10 km ; α
αα
α = 45° ; g = 10 m s-1.
1°) La piste est bien enneigée et une force de frottement constante,
opposée au vecteur vitesse de G, de valeur f, s'exerce tout le long du trajet ABC.
a) Exprimer en fonction de f, R, m, g et α
αα
α la valeur VB de la vitesse de G en B.
b) Exprimer de même la valeur VC de la vitesse de G en C.
c) Définir l’énergie mécanique du skieur en C. Proposer une valeur numérique pour celle-ci.
d) L’énergie mécanique du skieur se conserve-t-elle au fil du temps et du trajet ABC ? Justifier la réponse.
e) Le skieur arrive en C avec une vitesse nulle. Montrer que l’on pourrait calculer la valeur de f sur le parcours
AC avec les valeurs numériques de l’énoncé. On ne demande pas d’effectuer ce calcul numérique.
2°) Le skieur G aborde avec une vitesse nulle la partie CD, qui est verglacée. Il perd contact avec la piste en un point
E repéré par l'angle β
ββ
β.
a) Exprimer la valeur de sa vitesse VE, au point E en fonction de β
ββ
β, R et g.
b) L’énergie mécanique de G en E est-elle plus importante, égale ou plus faible que celle calculée en C ? Justifier.
c) Pourrait-on calculer la valeur VD de la vitesse de G au point D ? Justifier la réponse.
IV ] PHYSIQUE : sur 5 points. CIRCUITS ÉLECTRIQUES
CIRCUITS ÉLECTRIQUESCIRCUITS ÉLECTRIQUES
CIRCUITS ÉLECTRIQUES
Dans cet exercice, les résultats numériques seront donnés avec 3,00 chiffres significatifs.
1°) Caractéristique : UAB = f (I) d’un électrolyseur.
On construit expérimentalement la courbe : UAB = f (I) caractéristique d’un
électrolyseur L. On obtient le graphe ci-contre.
a) Dessiner le schéma conventionnel du montage électrique ayant permis cette
opération. On notera sur ce schéma l’intensité I du courant électrique ainsi
que les flèches des tensions aux bornes des dipôles présents.
b) À l’aide du graphe fourni, déterminer les valeurs numériques de la f.c.e.m. E’
et de la résistance interne r’ de L. On justifiera chaque détermination.
2°) Circuits en série.
Aux bornes d’un générateur de tension G, de f.e.m. : E = 9,00 V et de résistance
interne : r = 0,800 Ω , on place en série l’électrolyseur L précédent et un résistor A de
résistance : R = 59,2 Ω.
a) Déterminer une valeur numérique de l’intensité I du courant électrique
parcourant le circuit.
b) Représenter, sous forme d’un schéma, le bilan de puissance du montage en
calculant les différentes puissances mises en jeu.
c) Définir et calculer le rendement en puissance de l’électrolyseur.
3°) Circuits en parallèle.
L’électrolyseur L est maintenant associé en parallèle avec un résistor A’ de résistance : R’ = 60,0 Ω aux bornes du générateur G.
a) Dessiner le schéma conventionnel du montage électrique. On notera sur ce schéma les intensités des
courants électriques ainsi que les flèches des tensions aux bornes des dipôles présents.
b) En négligeant la valeur de r, trouver une valeur numérique pour chaque intensité de courant circulant dans
les branches du circuit.
c) Quel pourcentage d’erreur sur la valeur de la tension aux bornes de G a-t-on commis en négligeant r ? Conclure.