Miller 1 Miller Reid 7 Mars 2013 Fre/Ling 412 Prof. Cros Composition sur « L’impuissance linguistique à la violence » Dans cette partie de son livre « Le Verbe contre la barbarie », Alain Bentolila parle de la relation ou la connexion entre l’incapacité d’exprimer bien les pensées verbalement, et la tendance d’utiliser la violence comme une solution des désaccords ou conflits. Essentiellement, dans ce chapitre il dit que les hommes qui n’ont pas vraiment une aptitude pour la langue parlée conséquemment n’ont pas (ou sont moins probables d’avoir) un vrai moyen pour résoudre les problèmes paisiblement et sans l’utilisation de la force. C’est-à-dire, sans l’option d’utiliser les mots pour trouver un accord ou au moins une fin pacifique, l’alternative naturelle est la force violente. Il exprime aussi le fait que l'emploi des mots reste la seule façon pour trouver une sorte de « reconnaissance mutuelle » entre les êtres humains. Il montre la vérité de ces pensées, et aussi la gravité des problèmes qui viennent quand les mots ne peuvent pas être employés pour trouver une solution, quand il parle d’une fois qu’il a accompagné sa fille au tribunal. Quand ils attendent le tour de sa fille de présenter son cas devant le président, ils regardent le cas d’un homme qui a été accusé du vol de deux disques compacts. L’homme a essayé de trouver les mots pour expliquer son innocence, ou dans sa défense, mais il ne l’a pas pu, et plutôt qu’une explication verbale, il donne au président la seule chose qu’il a su ( ?) donner : la violence. En revanche, quand sa fille a présenté son cas et exprime effectivement ses sentiments de regret, le président a décidé d’être plus tolérant. Cette Miller 2 situation montre très clairement l’importance du langage doit être une alternative de violence. Pour moi, ce chapitre d’Alain Bentolila était la plus intéressant que nous ayons lu à ce jour. Je le dis parce qu’il exprime les idées ou notions qu’on veut voir dans un livre qui s’intitule « Le verbe contre la barbarie ». Dans cet extrait, on peut voir explicitement l’importance des mots pour éviter l’utilisation de la force et la violence. On voit qu’avec l’ignorance ou quand-même l’absence d’une bonne éducation, c’est beaucoup plus difficile de trouver les bonnes solutions qui sont agréables pour tout le monde. J’aimais bien aussi la mention de l’inégalité, ou plutôt comment l’inégalité dans une société peut laisser les plus pauvres dans une situation où ils n’ont pas vraiment une voix. On peut voir ça avec l’homme au tribunal dans ce chapitre. Donc, Je pense que le temps est venu pour toutes les sociétés du monde de placer une plus grande emphase sur l’éducation et l’appréciation des autres hommes et des autres cultures. Je crois que tous les problèmes (ou la plupart des problèmes) viennent quand deux peuples ou personnes ne comprennent pas vraiment l’autre, et donc s’il ne comprend ce qu’il veut dire, l’autre verra seulement la force pour améliorer la problème. Ce sont mes pensées sur ce texte d’Alain Bentolila.