Thème 3
Corps humain et santé
De l’œil au cerveau :
Quelques aspects de la vision
Lycée Philippe Lamour Nîmes
source source source
Nouveau programme :
Le cristallin : une lentille vivante Le cristallin est
l’un des systèmes transparents de l’œil humain. Il est
formé de cellules vivantes qui renouvellent en
permanence leur contenu. Les modalités de ce
renouvellement sont indispensables à sa
transparence. Des anomalies de forme du cristallin
expliquent certains défauts de vision. Avec l’âge sa
transparence et sa souplesse peuvent être altérées.
Pas
d’équivalence
Points communs et nouveautés avec
l’ancien programme 1S
Pas
d’équivalence
Points communs et nouveautés avec
l’ancien programme 1S
Nouveau programme 1S :
Les photorécepteurs : un produit de l’évolution
La rétine est une structure complexe qui comprend
les récepteurs sensoriels de la vision appelés
photorécepteurs. Celle de l’Homme contient les
cônes permettant la vision des couleurs (3 types de
cônes respectivement sensibles au bleu, au vert et
au rouge) et les bâtonnets sensibles à l’intensi
lumineuse.
Les gènes des pigments rétiniens constituent une
famille multigénique (issue de duplications) dont
l’étude permet de placer l’Homme parmi les
Primates.
Des anomalies des pigments rétiniens se traduisent
par des perturbations de la vision des couleurs.
Le message nerveux issu de l’œil est acheminé au
cerveau par le nerf optique.
Nouveau programme :
Cerveau et vision : aires cérébrales et plasticité
Plusieurs aires corticales participent à la vision. L’imagerie
fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation
lorsque l’on observe des formes, des mouvements.
La reconnaissance des formes nécessite une
collaboration entre les fonctions visuelles et la mémoire.
Des substances comme le LSD perturbent le
fonctionnement des aires cérébrales associées à la vision
et provoquent des hallucinations qui peuvent dériver vers
des perturbations cérébrales graves et définitives.
La mise en place du phénotype fonctionnel du système
cérébral impliqué dans la vision repose sur des structures
cérébrales innées, issues de l’évolution et sur la plasticité
cérébrale au cours de l’histoire personnelle. De même la
moire nécessaire par exemple à la reconnaissance
d’un visage ou d’un mot repose sur la plasticité du
cerveau. L’apprentissage repose sur la plastici
cérébrale. Il nécessite la sollicitation répétée des mêmes
circuits neuroniques.
Ancien programme :
Le cortex sensoriel et la plasticité du système
nerveux central
L'information sensorielle générée à la périphérie est
transmise au cortex sensoriel.
Dans le cortex somatosensoriel, chaque territoire de
l'organisme est représenté. Cette représentation est
déformée par rapport à la surface des territoires
corporels.
Les zones corticales concernées sont constituées de
neurones interconnectés et organisés en colonnes.
Des modifications de l'activité neuronale à la périphérie
régulent l'organisation dynamique du cortex. Elles se
traduisent par un remodelage des connexions
synaptiques, témoin de la plasticité neuronale.
La neuroplasticité est une propriété générale du
système nerveux central.
Points communs et nouveautés avec
l’ancien programme 1S
Points communs :
Plasticité cérébrale : part de
l’inné et de l’acquis dans la mise
en place du phénotype
fonctionnel.
Notion de récepteurs sensitifs
Différences :
Plus d’approche au niveau cellulaire :
neurone, codage du message nerveux,
transmission synaptique…
Étude aire corticale somato-sensorielle
remplacée par aires visuelles.
Les problèmes rencontrés :
Comment comprendre « l’effet du LSD » et
« la sollicitation répétée des mêmes circuits
neuroniques » (dernière partie) sans traiter
des neurones et de la synapse ?
Points communs et nouveautés avec
l’ancien programme 1S
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