
pigments rétiniens (absence de pigments dans 
bâtonnets = adaptation aux faibles 
éclairements impossible )---nature protéique 
utilisation possible à différents moments du 
logiciel DeVisu 
vision de couleurs. 
  L’homme a une vision trichromatique. 
En est-il de même chez les animaux : ex les 
singes ? 
 
  --les pigments rétiniens chez l’homme : 
expression de plusieurs gènes situés sur 
différents chromosomes---comparaison avec 
phylogène ou anagène ou DeVisu 
--gène ancestral ---duplications ---mutations = 
famille multigénique 
--comparaison des gènes humains et de 
plusieurs singes : anagène –phylogène--
DeVisu 
          II2-) La vision chez les primates 
 
Les gènes des pigments rétiniens 
constituent une famille multigénique 
(issue de duplications). 
 
L’étude de cette famille permet de 
placer l’Homme parmi les Primates. 
  --reprise rapide de la structure de la rétine : 
constitution du nerf optique 
--coupe montrant lien nerf optique --cerveau 
          II3-) Devenir de l’information 
reçue par les photorécepteurs 
Le message nerveux issu de l’œil est 
acheminé au cerveau par le nerf optique 
Comment les 
cerveau  
traite-t-il 
les informations 
reçues ? 
--coupes de cerveau (EduAnatomist)avec 
zones corticales activées : aire corticale 
visuelle 
--coupes cerveau ( EduAnatomist) avec zones 
activées : si observation formes ; si 
observation mouvement  = collaboration des 
aires visuelles 
--IRM et effets de lésions de certaines zones 
cérébrales : utilisation possible 
 
 
--IRM avant et après prise  LSD 
--document sur la vision altérée après prise 
de LSD 
 
 
 
 
 
 
 
 
--expériences chez l’animal, chez des 
nouveaux nés plus ou moins âgés : résultats 
sur la mise en place et la maturation du cortex 
cérébral  =  structures innées 
 
-- expériences chez adulte de privation de 
vision  = plasticité cérébrale 
--expériences chez adulte d’apprentissages = 
apprentissage lié à la plasticité 
 
 
--anomalies de la reconnaissance des mots, de 
mémorisation = intervention de la mémoire et 
plasticité cérébrale 
III-) Traitement des informations 
sensitives par le cerveau 
          III1-) Les zones du cerveau mises 
en jeu 
Plusieurs aires corticales participent à la 
vision. 
L’imagerie fonctionnelle du cerveau 
permet d’observer leur activation 
lorsqu’on observe des formes, des 
mouvements. 
 
          III2-) Les effets de certaines 
substances 
Des substances comme le LSD 
perturbent le fonctionnement des aires 
cérébrales associées à la vision et 
provoquent des hallucinations qui 
peuvent dériver vers des perturbations 
graves et définitives.  
 
         III3-) Mise en place et évolution 
du cortex cérébral 
   a-)  La mise en place du phénotype 
fonctionnel du système cérébral 
impliqué dans la vision repose sur des 
structures cérébrales innées, issues de 
l’évolution  
et sur la plasticité cérébrale au cours de 
l’histoire personnelle. 
   b-)  L’apprentissage repose sur la 
plasticité cérébrale. Il nécessite la 
sollicitation répétée des mêmes circuits 
neuroniques 
   c-)  La mémoire nécessaire par 
exemple à la reconnaissance d’un visage 
ou d’un mot repose sur la plasticité du 
cerveau.