II. Une rencontre et un compte rendu révélateur
1) Ils trahissent Mathilde
- Elle s’attribue l’adjectif « pécore ».
- Timidité = au début elle ne prononce qu’une seule phrase « c’est pas vrai
comment tu ferais ? ».
- Méfiance, distance, froideur -> elle n’a pas l’habitude de parler à d’autres enfants.
- Elle est de l’autre coté de la barrière : Symbolique = séparation en plus de son
handicap + milieu social.
- Elle est mal polie mais se rattrape à la 2ème rencontre.
- Décidé, romantique, rêveuse. Elle porte un regard humoristique sur elle même.
2) Ils construisent un portrait attendrissant de Manech
- La 1ère chose qu’elle dit de lui c’est son aspect.
- Elle se souvient que son anniversaire était le 4, son âge -> il est extrêmement
important pour elle.
- Il passe d’un écolier à un perso. important + (l46-47) emploi du possessif « son ».
3) Une rencontre placée sous le signe du destin
- (l9-10-11) on passe de l’amitié à l’amour.
- (l11) « il est là » fatalité
- Elle nous raconte cette histoire banale en la plaçant sous le signe du destin.
- Il manque des explications, des raisons, on ne sait pas pq Manech est là.
- Elle souhaitait utiliser l’adjectif « indéfectible » -> qu’on ne peut défaire, mais
utilise « infectieux » -> qui pénètre à l’insu, puis « infecté » -> pourri par la guerre.
- Elle assimile ce qui s’est passé entre elle et Manech comme une maladie, quelque
chose que l’on n’explique pas.
Conclu :
On a une pause idyllique au milieu du récit, c’est le début de
Mathilde et Manech.
C’est cette histoire qu’elle essaye de renouer, dont elle veut
retrouver le fil.