,,
Evelyne MALAQUIN-PAVAN
j
Infirmière Spécialiste Clinique, Hôpital Corentin C&on AP-HP *
BÉNÉFICE THÉRAPEUTIQUE DU TOUCHER-MASSAGE
DANS LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE LA PERSONNE AGÉE DÉMENTE
j/
*
Cette recherche a été réalis& dans le cadre d’une réponse d’appel d’offre de la délégation de la recherche clinique AP-HP.
ECHERCHE
:~’
.
:.
BÉNÉFICE THÉRAPEUTIQUE,~bJ TOUCHER-MASSAGE
DANS
LA PRISE EN CHARGE
GLOBALE
DE LA
PERSONNE
A&
DÉMENTE
PLAN
1
INTRODUCTION..
...........................................
1
.l
-
Problématique .................................
;..::
......
1
.2
Question de recherche.;..............................
1
.3
-
Hypothèse de recherche ......................
.
.....
1
.4
-
Définition des termes .................................
2 CONTEXTE DE LA RECHERCHE
......................
2.1
-
Récension des écrits ...................................
2.2
Cadre de
référence.. ...................................
3
MÉTHODOLOGIE
................................
.
.....
.
....
3.1
-
Méthode retenue ........................................
3.2 Précautions liées aux considérations
éthiques .....................................................
3.3 Instruments de sélection des sujets.. ...........
3.4
-
Instruments de mesure.......................
.
........
3.5
-
Modalités
des
séances................................
3.6
-
Outils d’interprétation des résultats ............
4
RÉSULTATS..
....................................................
4.1 En rapport avec la méthodologie annoncée
4.2
-
En rapport avec les sujets présentés
et l’action du toucher-massage ...................
4.3
-
Répercussion sur l’équipe référente.. ..........
4.4
-
Répercussion sur les investigatrices............
5 DISCUSSION
...................................................
5.1 -Par rapport à
la méthode.. ..........................
5.2
-
Par rapport aux critères retenus pour les sujets
5.3 Sur la répercussion dans l’équipe référente
et
perspectives ...........................................
5.4 Sur la répercussion sur
le5
investigratrices
et perspectives ...........................................
6
-CONCLUSION..
..........................................
_
....
7-
BIBLIOGRAPHIE
..............................................
ANNEXES..
.................................................
.
..........
12
12
14
14
14
15
15
32
36
36
36
36
37
38
39
39
39
40
45
45
45
45
47
45
49
49
50
56
1. INTRODUCTION
1
.l
Problématique
L’accroissement démographique des
pers&nes
âgées
de plus de 65 ans se manifeste depuis quelques années
dans la plupart des pays industrialisés. Les raisons
d’hospitalisation de ces personnes sont diverses. Dans
la majorité des cas, ce sont des pertes d’autonomie,
associées à un faible réseau de support, social qui
constituent les principales probabilités de placement.
Environ 30
%
de la clientèle âgée institutionnalisée
souffre de pertes d’autonomie directement liéesà I’évo-
lution d’une démence.
Dans mon activité d’infirmière clinicienne travaillant
dans un établissement à vocation gérontologique, je
suis amenée à rencontrer des personnes âgées atteintes
de démrnce de type Alzheimer qui représentent, pour
l’équipe référente des 24 heures qui les accompagne,
un véritable défi quotidien :
-
défi face aux soins de suppléance de plus en plus
lourds ;
-
défi face à l’incompréhension de certains compor-
tements dysfonctionnels tels que l’errance, I’agressivi-
té, les fugues, les cris ou l’apathie qu’elles présentent ;
-
défi face à l’impuissance que ressentent bon nom-
bre de soignants qui ne savent plus très bien comment
prendre en charge ces personnes âgées, déambulantes,
qui crient spontanément ou en réponse aux stimuli
verbaux ou tactiles, qui se replient sur elles-mêmes, qui
participent de moins en moins aux activités proposées
de
nursing
(y
compris d’animation).
Même si une réflexion permanente anime cette équipe
référente, je remarque que la nature même des soins
qu’elle dispense individuellement ne fait pas forcément
l’objet d’un cc~nsensus. Des réunions cliniques réguliè-
res ont été instituées pour faciliter la mise en commun
des informations détenues sur les résidents par chaque
soignant de l’unité et un projet de formation collectif a
été .élaboré pour aborder en équipe les problèmes
spécifiques de prises en charge des personnes âgées
souffrant de démence de type Alzheimer.
Bien que la démarche diagnostique soit en route et que
l’équipe référente raisonne ses interventions à partir du
modèle.de Virginia HENDERSON, je remarque égale-
ment que, face aux soins de nursing et plus particuliè-
rement pour entrer en communication avec ces rési-
dents particuliers, la plupart des soignants de l’Unité
semblent avoir épuisé leurs ressources de créativité ou
n’osent pas aller plus loin dans la proximité corporelle
ave~c
la personne âgée qu’ils accompagnent au quoti-
dien, jour après jour, au corps-à-corps.
Observant les difficultés rencontrées par les collègues
face àce corps-àcorps permanent avec l’autre, j’ai émis
l’hypothèse que de nombreux soignants avaient I’intui-
tion que certains gestes pouvaient calmer, mais que
peu d’entre eux osaient les poser comme de
«
vrais
»
gestes professionnels, source de plaisir et de réconfort
à l’autre, comme s’ils n’arrivaient pas, par delà la
technique ou l’envie, à comprendre ce qui les poussait
à sentir cela. C’est presque comme si cela allait trop
vit&, être arrivé à un résultat sans avoir eu le temps d’en
«
disséquer
»
le processus pour en comprendre le mé-
canisme et donc être à même de le conceptualiser pour
en tirer un réel enseignement professionnel en matière
de savoir-faire, de savoir-être et de reproductibilité.
Recherche en soins
infirmierr
N-49 -juin
1997
BÉNÉFICE THÉRAPEUTIQUE DU TOUCHER-MASSAGE
DANS LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE LA PERSONNE AGÉE DÉMENTE
Les demandes des
soienants
de cette éauioe en Gxteur
fermé varient selon
Gs
personnalités,‘kais la même
motivation anime chaque acteur : faire au mieux pour
le résident dément. Trouver des réponses de soins face
aux comportements dysfonctionnels du sujet souffrant
de démence de type Alzheimer, nécessite une capacité
d’observation fine de toutes les manifestations verbales
et non verbales associées et une analyse rigoureuse. Je
remarque que les outils d’évaluation utilisés actuelle-
ment sont peu spécifiques.
Même si les soins de
nursing
recouvrent un éventail
d’activités de groupe conséquent (ateliers gymnasti-
que, peinture, chants, danse harmonie, échanges,
jeux...), il est parfois difficile voire impossible d’intégrer
une personne qui présente alors un comportement per-
turbateur pour les autres membres du groupe (cris à
répétition, déambulation incessante, réaction agres-
sive...).
Certains résidents qui, de part leurs comportements
dysfonctionnels ne peuvent participer aux différents
groupes, restent prostrés dans leur apathie ou enfermés
dans leurs mouvements et/ou cris répétitifs...
II est fréquent de retrouver, pour ces résidents, en
complément aux besoins de suppléance partielle ou
totale pour les actes de la vie quotidienne, des données
qui nous amènent à poser trois diagnostics infirmiers
prévalents,
en lien direct avec l’évolution de la DTA :
. altération des opérations de la pensée ;
. altération de la communication verbale ;
. altération des perceptions sensorielles (principale-
ment auditives et visuelles).
La compréhension du sens que représente les compor-
tements dysfonctionnels empruntés par ces personnes
est aléatoire, puisque celles-ci ne peuvent elles-mêmes
valider si ce que nous en avons compris est bien I’ex-
pression de leur problème de santé.
Alors, quand une personne âgée s’exprime sur ce mode
qui nous semble dysfonctionnel, comment entrer en con-
tact différemment pour la rejoindre là où elle est, même
sans comprendre totalement ce qu’elle exprime
?
Comment lui offrir une présence qui favorise I’ouver-
turc d’un
«
dialogue
»
gestuel et/ou corporel, même si
les mots et le sens nous échappent !
Comment l’aider à sortir de cet apparent manque de
communication
?
Comment oser investir le toucher autrement qu’au
dé-
cours d’un autre acte de soin
?
Comment réinvestir le
toucher au décours des actes de soins courants !
Face à ce questionnement à la fois implicite et explicite
des soignants, à ma propre analyse conceptuelle de
l’orientation des soins pour cette population ciblée, j’ai
rtincontré le Cadre infirmier de l’Unité que j’avais for-
mé au toucher-massage de réflexologie et avec laquelle
j’échangeais régulièrement sur notre pratique respec-
tive au sein du service de gérontologie.
Nous référant à nos antécédents de pratique du tou-
cher-massage de réflexologie (Annexe
1)
et aux bénéfi-
ces non négligeables obtenus face à des problémati-
ques en lien avec des altérations de la communication
et/ou des perceptions sensorielles, l’isolement social et
la perturbation de l’image corporelle, nous avons envi-
sagé de recourir à cette approche pour enrichir les
réponses possibles de soins, face aux problématiques
précitées spécifiques aux personnes âgées de l’unité
souffrant de DTA.
Néanmoins, même si nous pratiquons régulièrement le
massage de réflexologie, notre expérience est quasi
inexistante en ce qui concerne cette population de
patients atteints de démence de type Alzheimer. Alors,
est-ce une approche judicieuse
?
D’autres équipes ont-
elles travaillé sur le sujet
3
A notre connaissance, peu ou pas d’études font état
d’interventions de toucher-massage de réflexologie au-
près de cette population, bien que celles-ci soient au-
jourd’hui courantes dans la pratique infirmière comme
moyen privilégié d’entrer en contact avec les bénéficiai-
res de soins. Les interventions de toucher affectif ou autres
formes de toucher auprès des personnes âgées atteintes
de déficits cognitifs, sont peu décrites.
Devant ces différentes considérations éthiques et notre
conviction profonde que cette approche peut être bé-
néfique pour communiquer autrement avec une per-
sonne souffrant de ces symptômes, nous ne pouvons
approfondir nos connaissances et pratique qu’en entre-
prenant un travail de recherche clinique en Soins Infir-
miers sur le mode descriptif, afin de :
-
décrire les effets de cette action de stimulation non
verbale associant le toucher-massage de réflexologie
sur les réactions verbales, non verbales et comporte-
mental& intra-individuelles et collectives de cette po-
pulation ciblée ;
-
être à même de dégager des critères en faveur de
bénéfice positif ou d’absence de bénéfice pour une
future recherche ;
-
enfin, d’en mesurer les perspectives pour l’équipe
référente.
Recherche en soins infirmiers N”49 -juin 1997
1.2 Question de recherche
«
Quelles sont les répercussions d’une
stiriwlation
non
verbale associant le toucher-massage réflexologique
sur l’expression des comportements dysfonctionnels de
la personne âgée souffrant de déficits cognitifs,en lien
avec une démence de type Alzheimer et hébergée en
long séjour
3
u.
Sous-questions
l Concernant la
perso”ne
âgée
1. Quelles sont les réactions non verbales face à cette
intervention
?
2. Quelles sont les éventuelles réactions
verbal&
face
à cette intervention
?
3. Quelles répercussions cela entraîne-t-il sur les com-
portements dysfonctionnels
?
Y-a-t-il diminution, aug-
mentation de ceux-ci
?
4. Quelles répercussions sur la vie
quoti&nne
et la
satisfaction des besoins fondamentaux
?
5. Y a-t-il des mouvements qu’elle supporte mal
!
. concernant l’équipe soignante
référente
6. Quelle place l’équipe soignante donne-t-elle
à
cette
activité
!
7. Quel questionnement cela induit-il dans l’équipe
?
8. Quelles répercussions cette activité a-t-elle sur la
vision des soins à dispenser que se fait l’équipe
?
l Concernant
les
investigatrices
9.
Quels sont, à partir de la technique initiale du toucher-
massage de réflexologie, les éventuelles adaptations à
faire pour rejoindre la personne âgée démente
?
10. Quelles sont les adaptations comportementales à
avoir pour pouvoir donner ce massage 3
11. Quelles sont les répercussions de cette activité sur
6 mois, sur la conception des soins des investigatrices
!
‘-‘.j
1.3 Hypothèse de recherche
Chez la personne âgée hébergée en long séjour, at-
teinte de déficits cognitifs liés à une démence de type
Alzheimer, la stimulation non verbale, et plus particu-
lièrement le toucher-massage incluant le massage ré-
flexologique, diminue transitoirement l’expression des
comportements dysfonctionnels.
-
Variable indépendant@ : l’action de toucher-mas-
sage réflexologique décrite.
-- Variable dépendante : les réactions verbales et non
verbales
qui induisent une modification des comporte-
ments dysfonctionnels du sujet qui reçoit le massage.
1.4 Définition des termes
Personne âgée hébergée en long séjour
Nous parlons ici d’homme ou de femme de plus de
65 ans vivant dans une même unité fermée d’un service
de long séjour
gérontologique.
Déficits cognitifs
Ensemble de symptômes d’ordre mental pouvant se
traduire, à différents degrés d’intensité et de,présence,
par des pertes de mémoire, des perturbations de la
pensée, des difficultés de jugement, d’attention, de
concentration, de la désorientation temporo-spatiale
et, quelquefois, de la labilité émotionnelle et des trou-
bles du langage.
Démence
Le terme de démence désigne un tableau clinique qui
implique une détérioration globale des fonctions cog-
nitives survenant dans un état de conscience normal.
Cette détérioration est d’une gravité suffisante pour
avoir des répercussions sur le comportement social,
professionnel et sur la personnalité.
Le DSM
Ill
(Annexe 2.A) précise les critères s’appliquant
au diagnostic de démence. C’est sur cette référence que
nous nous appuyons pour parler de démence.
Démence de type Alzheimer
(DTA)
Le diagnostic de cette démence s’effectue en éliminant
les autres affections qui entraînent des symptômes sem-
blables. La DTA est un type de démence dont l’issue est
irrémédiable actuellement.
Nous nous référons aux Critères de diagnostic de la
maladie
d’Alzheimer
établis par la NINCDS ADRDA
(Annexe 2.B) pour parler ici de démence de type
Al-
zheimer.
Stimulation non verbale
Action de stimuler, d’accroître l’activité de la fonction
sensori-perceptuelle par l’intermédiaire du recours aux
différents sens (ouïe, vue, odorat, toucher) visant à
augmenter les interactions entre le résident,
I’investiga-
trice, l’environnement et à encourager une forme diffé-
rente de communication centrée sur la pr&ence,
l’écoute et le respect du rythme de celui qui reçoit la
stimulation.
Recherche en soins infirmiers N”49 -Juin 1997
BÉNÉFICE THÉRAPEUTIQUE DU TOUCHER-MASSAGE
DANS LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE LA PERSONNE AGÉE DÉMENTE
Toucher-massage
de réflexologie
2. CONTEXTE DE LA RECHERCHE
Cette forme particulière de toucher-massage s’entend
telle que définie dans son aspect conceptuel (Chapitre
Récession des écrits : paragraphe 2.1.7) et dans sa
description technique (Chapitre Méthodologie : para-
graphe 3.5 et annexe 1 .D).
2.1
Récension
des écrits
Comportements dysfonctionnels 2.1
.l
Préapbule
La personne âgée atteinte de démence a des troubles
fonctionnels qui entraînent des comportements quali-
fiés de dysfonctionnels parce qu’ils l’empêchent d’ac-
complir ses activités quotidiennes, sociales et/ou pro-
fessionnelles de la même façon qu’avant sa maladie. Le
qualificatif de
«
dysfonctionnel
»
ne fait pas référence
à une éventuelle norme sociale à laquelle la personne
âgée ne se conformerait pas.
Deux démarches ont permis de réaliser cette récen-
sion
:
-
Plus de 180 articles ou publications de langue fran-
cophone ont été étudiés. N’ayant trouvé aucune réfé-
rence de publication concernant directement le thème
de recherche, cinq orientations ont guidé notre quête :
1. les publications concernant les démences,
Trois grandes sources de facteurs induisent les compor-
tements dysfonctionnels (Annexe 2.C) :
2. celles concernant les déficits cognitifs de la per-
sonne âgée et les comportements dysfonctionnels asso-
ciés
-
facteurs étiologiques (lésions cérébrales) ;
-
facteurs contribuants individuels (données biogra-
phiques, réactions émotives à la DTA, état physique
général)
;
-
facteurs contribuants environnementaux knviron-
nement
physique, social).
3. les publications concernant la communication chez
la personne âgée, et plus particulièrement les troubles
de communication associés aux déficits cognitifs,
4.
celles relatives au toucher comme moyen de com-
munication non verbale,
5. enfin celles traitant de la réflexologie.
Les manifestations dysfonctionnelles sont clairement
conceptualisées dans le paragraphe 2.1.5 de la récen-
sion
des écrits qui fait ici référence.
Réactions non verbales (Annexe 8)
-
La rencontre de collègues québécoises infirmières
qui ont effectué des travaux de recherche proches de
notre propre thème de travail :
Réactions observables chez la personne âgée atteinte
de déficits cognitifs en lien avec une DTA tels que
mouvements de la tête, mimiques faciales, mouve-
ments des yeux, gestes des mains, postures corporelles,
respiration ; ces réponses peuvent se manifesterdurant
la séance et 15 minutes post-activité.
v
Diane SAULNIER, M. SC., Directrice du Service de
Soins Infirmiers du Centre Hospitalier Côte des Neiges
(Montréal), auteur d’un mémoire de maîtrise intitulé :
«
Réactions au toucher affectif de I’lnfirmière des per-
sonnes âgées qui émettent des cris répétitifs
»,
réalisé
en février 1989.
Réactions verbales (Annexe 8)
Réponses sonores émises par la personne âgée telles
que syllabes, phrases, paroles, chants, cris ou autres
bruits émis durant la séance et 15 minutes post-activité.
Consignes aux lecteurs: Dans les chapitres qui suivent, les citations
bibliographiques se présentent sous deux formes :
-
soit
par numérotation entre parenthèses avec renvoi en bas de
page précisant le nom de l’auteur et
I’ann&
concem&;
-
soit
par
r6fkence
d’emblk dans le texte, au nom de l’auteur
suivi de
I’ann&
concernée entre parenthèses.
Les
citations et réf&ences d’auteurs sont clasr&s alphabétiquement
dans la bibliographie en fin d’ouvrage.
l Louise FRANCOEUR, M. SC., Infirmière Clinicienne
Spécialisée au centre Hospitalier Côte des Neiges
(Montréal), co-auteur, avec Francine DUCHARME,
Ph. D. (Professeur Agrégé
à
la Faculté des Sciences
Infirmières
-
Université de Montréal) et Diane BLAN-
CHARD,
B.
SC. (Candidate à la maîtrise à la Faculté des
Sciences Infirmières
-
Université de Montréal), d’un
Rapport Synthèse d’un Projet Pilote intitulé :
«
Evalua-
tion
des
effets
de
/a
thérapie de validation
»,
effectué en
septembre 1992 et subventionné par le Comité Aviseur
pour le Développement de la Recherche Clinique (CA-
REC)
-
Centre Hospitalier Côte des Neiges.
Leur parfaite maîtrise de la langue anglophone garantit
la fiabilité de leurs citations de références bibliographi-
/
1
5
r7’,TTIII
L
,i
Recherche en soins infirmiers N”
49
-Juin
1997
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