iv
REMERCIEMENTS
Entreprendre des études de doctorat tout en étant parent, époux et employé à temps
plein est un exercice difficile. En effet, cette entreprise exige que soit maintenu, à tout
moment, un équilibre entre la vie familiale et la rigueur permanente qu’exige, désormais, le
monde du travail. Pour moi, cette entreprise a été possible grâce à la contribution de
plusieurs personnes. Elles se reconnaîtront dans cette thèse. Les mots ne pourraient suffire
pour leur exprimer toute ma gratitude. Ainsi, à tous les membres de ma famille (frères,
sœurs, oncles, tantes, cousins, cousines, neveux, nièces, beaux-frères, belles-sœurs, beaux
fils, belles-filles, gendre…), à tous mes amis ainsi qu’à tous mes collègues, je dis, le plus
simplement GRAND MERCI. Je suis un créancier conscient, mais insolvable!
Je remercie particulièrement les professeurs Simon Laflamme et Rachid Bagaoui,
pour avoir accepté de codiriger cette thèse. Tout le long de ce processus, vous m’avez non
seulement aiguillé sur le plan de la démarche scientifique, mais aussi, et surtout, transmis la
passion pour la recherche. Je ne pourrais passer sous silence la contribution du professeur
Osée Kamga, troisième membre de mon comité de thèse, pour sa générosité et ses
commentaires positifs et constructifs.
Je me dois de remercier mon papa, feu Bernard Bululu Luboya wa Kabue, et ma
maman, Thérèse Kanku wa Dikengu, pour m’avoir transmis les valeurs de respect, de
justice ainsi que le sens des responsabilités. C’est de vous que je retiens ce principe vital de
ne rien prendre pour acquis.
Cette thèse n’aurait JAMAIS pu aboutir sans la patience et le soutien inconditionnel
de mon épouse, Véronique, et de mes enfants, Joyce et Maxim. Je vous remercie du fond de
mon cœur. Cette thèse est la vôtre. Je vous aime!