19.03.2016 : 440. Manger sain : Eviter les infections alimentaires
Une alimentation saine et équilibrée vaut plus que n’importe quel régime : des aliments variés et en
quantités adaptées en sont la base.
Régulièrement, les médias se font l'écho de problèmes infectieux liés à la présence d'une listeria,
d'une salomonella, d'une escherichia coli... dans tel ou tel aliment. Manger sain, c'est donc aussi
éviter une infection alimentaire qui peut être très grave de conséquences.
Ce problème est d'autant plus important que l'on identifie un nombre toujours plus élevé de bactéries
résistantes aux antibiotiques.
Parmi les précautions à prendre :
> Laver régulièrement son réfrigérateur avec un produit javélisé.
> Se laver les mains à chaque fois que l'on fait la cuisine, et avant de manger.
> Ne pas briser la chaîne du froid, en utilisant ou consommant des aliments surgelés.
> Ne pas utiliser les mêmes ustensiles pour différents aliments (viandes, légumes...).
> Bien nettoyer régulièrement les plans de travail utilisés en cuisine.
Et les polluants ?
Des centaines de milliers de substances chimiques existent. Un bon nombre sont utilisés dans
l'industrie agro-alimentaire permettant de meilleures productions. Si les effets attendus sont donc
louables... malheureusement certains effets pervers se sont révélés, avec en particulier des risques
d'intoxication aiguë, mais le plus souvent chronique pour les consommateurs.
Manger sain revient bien entendu à éviter au maximum l'absorption de ces substances chimiques,
comme les pesticides, les engrais... La DJA (dose journalière admissible) définit la quantité maximale
qui "peut être administrée" à un organisme. Cette valeur est souvent un sujet de discorde entre les
experts, et les DJA sont souvent réévaluées selon les substances.
Manger sain, c'est aussi peut-être se méfier des aliments irradiés (le but de l'irradiation est de tuer les
germes, de réduire le pourrissement des aliments, etc.). Mais la teneur en vitamines dans ces
aliments, n'est-elle pas altérée ? Quels sont les effets de ces irradiations sur la production de
substances cancérigènes ? Là encore, des interrogations persistent concernant ces irradiations.
A noter que ces polluants ont révélé qu'ils peuvent être dangereux pour les professionnels qui les
utilisent souvent (en agriculture).
Pour éviter les effets de ces polluants, le mieux est certainement de consommer des aliments
provenant de l'agriculture biologique ou de l'agriculture raisonnée, à condition que cette agriculture
respecte des règles d'hygiène rigoureuses.
15.03.2016 : 439. CHRYSANTHELLUM : l’allié de votre foie
Le Chrysantellum americanum (ou Chrysanthellum) a été introduit dans la phytothérapie européenne,
il y a 30 ans environ.
Pratiquement inconnu il y a deux décennies, le Chrysanthellum pourrait apparaître, dans un proche
avenir, comme un remède hépato-vasculaire majeur, doué en outre de propriétés anti-lithiasiques,
hypoglycémiantes et anti-inflammatoires non négligeables.
C’est une plante tropicale à l’activité polyvalente et puissante, d’une importance essentielle en
phytothérapie, qui est utilisée principalement :
Dans les troubles hépatiques pour son rôle hépato-protecteur, en particulier dans les intoxications
d’origine alcoolique, les excès alimentaires et les suites d’hépatite.
Pour traiter les lithiases (calculs) de toute origine.
Comme traitement principal antihyperlipidémique et traitement d’appoint hypocholestérolémiant.
Pour améliorer la micro circulation périphérique et la résistance capillaire (jambes lourdes, artérites,
couperose).
Pour accroître la sécrétion biliaire et stimuler le système digestif.
Les activités pharmacologiques du Chrysanthellum (Chrysantellum americanum) sont déduits de sa
composition:
Les flavonoïdes sont hépatoprotecteurs et favorisent la microcirculation.
Les saponosides sont veinotropes et ont des propriétés de tensio-actif, ils potentialisent ainsi l’activité
des flavonoïdes pour faciliter leur passage à travers la membrane cellulaire.
Cette plante semble rencontrer déjà, en France, un certain succès, et il nous a semblé utile de
regrouper ici un ensemble de données que nous avons pu recueillir, sans que cet essai
monographique soit exhaustif, car la science est encore loin de tout connaître sur Chrysanthellum «
americanum ».
Posologies conseillées
Voici les posologies qui ont montré leur efficacité (y compris en milieu hospitalier) dans les différentes
indications suivantes :
Anomalies métaboliques des lipides (hypertriglycéridémie et hypercholestérolémie)
Prendre 2 à 3 gélules au milieu des repas, en cure de 15 jours par mois (3 mois)
Cures d’entretien de 10 jours par mois.
Troubles et maladies fonctionnelles de l’appareil digestif (aérophagie, ballonnements, éructations,
diarrhée, constipation,…)
Prendre 2 à 3 gélules au milieu des repas, en cure de 15 jours par mois (3 mois)
Cures d’entretien de 10 jours par mois.
Troubles et maladies de la fonction hépato-biliaire (intoxications alimentaires, alcool, médicaments
mal supportés,… hépatites et séquelles d’hépatites)
Prendre 2 à 4 gélules par jour, cure de 20 jours/mois.
Posologie progressive chez les sujets de susceptibilité biliaire.
Chrysanthellum americanum : Précautions et effets indésirables
Diverses recherches de toxicité aiguë et chronique ont été réalisées sur le rat, la souris et le chien,
avec des extraits de la plante, à des concentrations différentes : aucune toxicité ni aucune
manifestation de mutagénicité n’a pu être mise en évidence.
L’extrait de Chrysanthellum americanum semble donc être d’une innocuité totale.
10.03.2016 : 438. Une personne unifiée qui rassemble :
« Avant d’exercer son autorité sur les autres, il faut commencer par un travail sur soi-même. Quand un
être qui a tout d’abord travaillé sur ses propres enfants (les cellules de son organisme) doit s’occuper
d’autres enfants, à l’extérieur, en tant que parent, enseignant, etc., ou même exercer des
responsabilités qui lui donnent de l’autorité sur des adultes, ses paroles, ses gestes les
impressionnent par leur accent d’authenticité. Ceux qu’il instruit, éduque ou dirige sentent qu’il ne joue
pas un rôle, mais qu’il est tout entier dans ce qu’il dit comme dans ce qu’il fait. C’est pourquoi sa
présence est magique et il obtient des résultats. Ses habitants au-dedans de lui le soutiennent et lui
donnent des forces, parce qu’il s’est habitué depuis longtemps à travailler dans une direction unique :
le bien, la lumière.
Un être n’a de véritable autorité que lorsque toutes ses cellules dégagent quelque chose d’unifié,
d’harmonisé. Sinon, tandis que la partie qui parle fait entendre un certain son, tout le reste de la
personne crie le contraire, et les autres, qui le sentent, ne peuvent pas le prendre au sérieux. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
05.03.2016 : 437. Phycocyanine par Michel DOGNA :
La Phycocyanine
ADN et cellules souches
La phycocyanine est issue de la fraction hydrosoluble de la spiruline. Cette
fraction est un phytopigment protéique fluorescent bleu qui absorbe et
capture les photons.
Cette énergie lumineuse est ensuite transformée en énergie électro-
biochimique qui contient des sels minéraux, des acides aminés, des
protéines, des sucres, des vitamines hydrosolubles et des enzymes.
Réfection de l'ADN endommagé
D'après de nombreuses expériences alisées in vitro, on a conclu que diverses formes de
cancer sont le résultat de la dégradation des enzymes dites endonucléases qui réparent l’ADN
cellulaire lorsqu’il est endommagé. Or, ces expériences ont montré que les polysaccharides
contenus dans l’extrait de spiruline fraîche (Phycocyanine) permettent d’améliorer l’activité
enzymatique du noyau cellulaire et d’entamer ainsi un processus de réparation de l’ADN.
Par ailleurs, la phycocyanine a la faculté de neutraliser les radicaux libres, qui en trop grand
nombre, peuvent créer des lésions au niveau de l'ADN.
Régénération du sang et traitement de la leucémie
Les globules blancs
Dans leurs recherches sur la leucémie, les scientifiques et chercheurs chinois ont montré que la
phycocyanine agissait sur la production des cellules souches situées dans la moelle osseuse qui
est à la base de la formation sanguine. En l’occurrence, elle permet de normaliser le nombre de
globules blancs, renforçant le système immunitaire et d’empêcher l’évolution d’une leucémie.
A noter que la médecine a souvent recours à la greffe de moelle pour normaliser cette production
de globules blancs dans les cas de leucémies. Dès lors, on sait que la phycocyanine peut agir en
amont et éviter des interventions lourdes et en outre sans garantie.
Les globules rouges
La phycocyanine, par le biais des cellules souches, renforce aussi la production des globules
rouges, ce qui augmente la capacité d’oxygénation de l’organisme. Ceci est d’autant plus
intéressant quand on sait que la cancérisation est toujours associée à une hypoxie cellulaire.
En particulier, les scientifiques chinois ont prouvé que la phycocyanine, en stimulant
l'hématopoïèse, reproduisait l'effet de l'hormone EPO. C’est cette hormone qui, produite par
les reins, règle par les cellules souches, la production des globules rouges dans la moelle
osseuse. L’érythropoïétine, plus connue sous le nom d’EPO est l’hormone
responsable de la différenciation et de la prolifération des globules rouges. En cas de diminution
de ces globules rouges, la médecine a donc recours à l’EPO afin de récupérer la capacité du
sang à transporter l’oxygène. D’ailleurs dans le milieu sportif, c’est une pratique
illégale bien connue en tant que doping.
Refaire des globules blancs suite à des irradiations
Les scientifiques affirment également que la phycocyanine règle la production de cellules
blanches, même quand les cellules souches dans la moelle osseuses se trouvent endommagées
sous l’effet de produits chimiques toxiques et surtout de radioactivité.
Expérience sur des enfants irradiés de Tchernobyl
Après l’accident de Tchernobyl, 270 enfants irradiés ont été traités à la phycocyanine. Leurs
globules blancs étaient au plus bas et leur organisme ne se défendait plus contre les maladies.
Les cellules souches de leur organisme, endommagées par l’effet toxique de l’irradiation, ont pu
être ainsi restaurées après 6 semaines de traitement.
La phycocyanine a pu corriger les effets de l’exposition aux rayons X, normaliser les lymphocytes
T et réduire le taux de radioactivité des jeunes malades. 80% des enfants traités pendant 3 à 6
mois n’ont pas fait de cancer de la thyroïde par la suite, alors que la majorité enfants non-traités
l’a développé.
Une puissante activité antivirale
La faculté de médecine de l’université d'Harvard à Boston a démontré la capacité de la
phycocyanine à inhiber des virus tels que ceux de la grippe A, des oreillons, de la
rougeole, de l’herpès simplex et du cytomégalovirus et ce, sans aucun danger.
Ces études ont démontré l’aptitude de la phycocyanine à protéger les cellules en empêchant la
pénétration des virus pathogènes à travers leur membrane. Ces virus ne pouvant plus se
multiplier finissent par être éliminés.
Régénération du foie
La phycocyanine ressemble à une structure protéique proche des pigments biliaires de l'homme,
ce qui pourrait expliquer son fort potentiel de détoxication et son effet hépato-protecteur.
La fibrose du foie est une maladie chronique du foie qui peut dégénérer en cirrhose à cause de la
prolifération des cellules de Kupffre. Or, des études ont pu mettre en évidence que la
phycocyanine apporte des effets antiprolifératifs sur ces cellules après seulement 12 heures de
traitement.
22.02.2016 : 436.
Ashwagandha (Withania somnifera)
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