Spécial Hôpitaux Avec environ 320 000 nouveaux malades par an

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SEIN
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Spécial Hôpitaux
Avec environ
320 000 nouveaux
malades par an et
920 000 personnes
traitées, le cancer
est un enjeu
de santé publique
majeur. Ces dernières
années, de grands
progrès ont été réalisés
grâce au dépistage
précoce, à une meilleure
connaissance des
facteurs de
prédisposition
génétique et à la
découverte de
nouveaux
biomarqueurs pour
le diagnostique.
Des traitements plus
ciblés et mieux tolérés
se développent
également.
Cellules cancéreuses du sein détruites (en violet) par un traitement
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Cancer
Prostate
La
maladie
C'est
le plus fréquent des
cancers chez l'homme
en France, maîs le
quatrieme seulement
pour la mortalite Glande
du systeme uro-genital
masculin de la taille
d'une châtaigne, la
prostate se situe sous la
vessie, devant le rectum,
Chiffres
71220
nouveaux cas
diagnostiques en
France chaque annee
128,8
cas
pour 100 000
hommes
71 ans
Age moyen au
moment du diagnostic
ADRESSES UTILES
SUR LE CANCER
Cancer info
N° azur 0810 810 821
La Ligue contre
le cancer
N° azur 0810 lll 101
Tel OI 53 55 24 00
Euro Cancer
N°vert 0800940883
La Maison du cancer
Umcancer
et enserre l'urètre Le
cancer apparaît quand les
cellules qui la constituent
commencent a se diviser
de façon anarchique
sous l'influence des
androgenes, des
hormones masculines qui
participent a la sécrétion
du liquide séminal
Les cellules anormales
peuvent rester a l'intérieur
de la glande, diffuser
au-delà de l'enveloppe
de celle-ci, ou migrer vers
d'autres parties du corps
(metastases) Ce cancer
reste longtemps localise
Le diagnostic est pose
par l'examen au
microscope de biopsies
guidées par echographie
Le traitement Si l'on suspecte un cancer de
la prostate suite à un toucher rectal, un dosage
de l'antigène spécifique prostatique (PSA)
dans le sang permet d'affiner le dépistage.
Lorsque le taux est élevé, la biopsie s'impose
pour confirmer le diagnostic et déterminer la
stratégie thérapeutique à suivre. La décision
sera prise en concertation entre les différents
spécialistes impliqués.
Ce cancer étant le plus souvent d'évolution
lente, il est possible, dans un premier temps,
de mettre en place une simple surveillance
consistant à effectuer des dosages réguliers.
s que le cancer est considéré comme
agressif, l'ablation totale de la prostate et
des vésicules séminales - prostatectomie
totale - est indiquée. Cette intervention
entraîne souvent des effets secondaires
tels qu'une incontinence urinaire ou des
troubles de l'érection. Une technique
alternative, la curiethérapie (lire ci-contre),
permet de les éviter. Elle consiste à poser des
implants radioactifs au coeur de la prostate,
qui détruisent avec précision les cellules
cancéreuses sur une zone de petite taille.
Mais on ne peut l'employer en cas de tumeur
étendue. Dans ce cas, après ablation, il est plus
approprié de recourir à une radiothérapie
externe. La chimiothérapie peut être prescrite
pour traiter des cancers métastatiques
hormone-résistants, des douleurs osseuses
(métastases), ou encore en cas de l'altération
de l'état général ou de progression rapide de
la maladie. Il est aussi possible d'avoir recours
à l'hormonothérapie pour contrer l'action
d'une hormone masculine, la testostérone qui
favorise la croissance des cellules cancéreuses
(lire l'encadré ci-contre), rn Fred Gratian
Les 15 services dè pointe
BORDEAUX
Institut
Bergonié
Tel 05 56 33 33 33
www bergonie org
CRÉTEIL
Hôpital
Henri-Mondor
Service d'urologie
Tel OI 49 81 21 ll - www aphp fr/hopital/henn-mondor
GRENOBLE
HôpitalMichallon
Pôle de cancérologie
Tel 04 76 76 75 75 - www chu-grenoble fr
LILLE
Hôpital
Claude-Huriez
Service d'urologie
Tel 03 20 44 59 62 - www chru-lillefr
LYON
HôpitalEdouard-Herriot
Service d'urologie
Tel 04 72 ll ll 42 - www chu-lyon fr
MARSEILLE
Hôpital
Nord
Service de chirurgie urologique - Tel 04 91 38 00 00
http //fr ap-hm fr/nos-hopitaux/hopital-nord
MONTPELLIER
CentreVal-d'Aurelle
Tel 04 67 61 31 00
www icm umcancer fr
PARIS
HôpitalCochin
Service d'urologie -
Tel OI 58 41 41 41 - aphp fr/hopital/cochm
PARIS
Hôpital
de la
Pitié-Salpêtrière
Service d'urologie -
Tel OI 4216 00 00 - www aphp fr/hopital/pitie-salpetnere
PARIS
Hôpital
Saint-Louis
Service d'urologie
Tel OI 42 49 49 49 - www aphp fr/hopital/samt-louis
PARIS
Institutcurie
(lirea-contre)
Tel OI 56 24 55 00
http //curie fr
PARIS
Institut
mutualiste
Montsouris
Service d'urologie
Tel OI 56 61 66 SO - www imm fr
SAINT-ETIENNE
Hôpital
Nord
Service d'urologie
Tel 04 77 82 80 00 - www chu-st-etienne fr
SURESNES
Hôpital
Foch
Service d'urologie
Tel OI 46 25 25 25 - www hopital-foch org
TOULOUSE
HôpitalRangueil
Departement d'urologie
Tel 05 61 77 22 33 - www chu-toulouse fr
Adresses utiles
Voir aussi, ci-dessus, les adresses sur le cancer en général
Association nationale des malades du cancer de la prostate Tel 05 56 65 13 25
Association française d urologie
f Retrouvez les sites internet de ces organismes, les associations de patients et des infos sur la maladie sur http://bit.ly/LKxD6g
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Le traitement consiste à implanter dans la prostate des grains d'iode radioactifs
de quèlques millimètres seulement de rayon d'action
La curiethérapie, des
rayonnements ultraciblés
Moins invasive et traumatisante que l'ablation et la radiothérapie classique,
c'est une alternative aujourd'hui reconnue pour des tumeurs limitées.
A
u département de radiothé-
rapie de l'Institut Curie, le
defi cst constant : il s'agit d'aug-
menter les doses de radiations
sans risquer d'endommager les
organes voisins. Une équation
résolue par la curiethérapie, c'est-
à-dire la délivrance de rayonne-
ments au sein même de l'organe
malade. Alors que dans la radio
thérapie classique les rayons sont
administrés de l'extérieur, dans
la curiethérapie, sa variante
« interne », les radiations res-
tent confinées à l'intérieur de
l'organe traité, leur champ d'ac-
tion étant de seulement quèlques
millimètres. Résultat : une plus
grande précision et une moindre
agressivité pour les tissus sains
environnants.
« Cette technique, qui consiste à
implanter a l'intérieur de la tumeur
de petits grains métalliques radioac-
tifs, réduit considérablement les
inconvénients de la radiothérapie,
confirme le professeur Jean-
Marc Gosset, du service de radio-
thérapie oncologique. Avec elle,
les risques d'incontinence sont
presque inexistants (I % des cas).
C'est plutôt le contraire qui se pro
duit » : une rétention urinaire,
HORMONOTHERAPIE
Contrer l'action dè la testostérone
Hormonosensible, le cancer
de la prostate est favorisé
par la testostérone, hormone
masculine. Afin de bloquer
son action sur la croissance
des cellules cancéreuses
et le développement de
métastases, diverses
stratégies d'hormonothérapie
sont possibles : retirer les
testicules qui produisent la
testostérone; administrer
au patient un traitement
qui bloque sa production;
ou encore recourir à des
anti-androgènes qui, en
entrant en compétition
avec la testostérone au
niveau des récepteurs
hormonaux des cellules
tumorales, empêchent sa
fixation. L'hormonothérapie
a pour objectif de ralentir ou
d'arrêter le développement de
la maladie. Utilisée seule ou
en complément de la chirurgie
ou de la radiothérapie, elle
est indiquée dans le cas de
cancer de la prostate avec
atteinte ganglionnaire et dans
les cancers métastatiques.
F. G.
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Les grains d'iode, au nombre d'environ 70,
cessent d'irradier dans un délai de quatre a six mois
qui ne survient néanmoins que
dans 3 % à 4 % des cas. Quant à
l'impuissance, autre effet indé-
sirable courant de la radiothéra-
pie, elle est rarement complète
et répond bien aux médicaments
traitant la dysfonction érectile.
Le principal effet secondaire de
la curiethérapie reste la toxicité
urinaire, avec des signes d'irrita-
tion qui s'atténuent pour dispa-
raître en général en 6 à 12 mois.
L'Institut Curie a été le premier
centre français, en 1998, à adop-
ter la technique pour les cancers
de la prostate. Très vite, elle s'est
imposée comme une alternative
à la prostatectomie totale et à la
radiothérapie externe. D'abord
pour les cancers localisés à faible
risque, puis, de plus en plus, pour
ceux à risque intermédiaire. C'est
ainsi que, chaque année, l'unité
de curiethérapie réalise plus de
200 implantations. Une méthode
qui a fait ses preuves, le taux de
survie à 10 ans étant supérieur
à
90%.
Parfois contre-indiquée en
raison des effets secondaires
L'opération s'effectue sous anes-
thésie générale. Une échogra-
phie endorectale permet de
visualiser le volume de la pros-
tate, de planifier la disposition
des implants et d'en contrôler la
mise en place. Les grains d'iode
125, d'une longueur de 4 mil-
limètres pour un diamètre de
0,8 millimètre, sont introduits
dans des aiguilles creuses qui
traversent le périnée jusqu'à la
prostate, où ils sont déposés un
à un selon un positionnement
très précis. Il faut d'abord « tra-
cer le contour de la prostate en ins-
tallant les implants à intervalles
régulier, puis les répartir de façon à
quadriller tout l'organe », détaille
le Pr Gosset. Au total, environ
70 grains d'iode sont injectés
dans la prostate. Ils sont défini-
tivement laissés sur place. On
estime que l'irradiation cesse
totalement dans un délai de 4 à 6
mois. Limplantation des grains,
qui dure environ 90 minutes,
nécessite, en général, deux jours
d'hospitalisation.
Si la tumeur n'est pas trop éten-
due, la curiethérapie peut être
utilisée comme traitement foca-
lisé. Dans ce cas, « un nombre
réduit d'implants est concentré sur
environ un tiers du volume total
de la prostate », précise le Pr
Gosset. Mais elle ne s'adresse
pas aux patients dont le cancer
s'est étendu au-delà des limites
de la prostate. De plus, il faut
que la taille de cet organe ne
soit pas trop importante (infé-
rieure à SO centimètres cubes).
En présence d'une obstruction
urinaire ou d'une irritation
sévère, la technique peut être
contre-indiquée en raison de
ses effets secondaires.
Hugo Jalinière
D
+ NUMÉRIQUE
Retrouvez une interview
du Pr Jean-Marc Gosset
sur le site de Sciences et
Avenir
http://bit.ly/ldrSrKz
'arole d'expert
PR GUY VALLANCIEN, INSTITUT MUTUALISTE MONTSOURIS (PARIS)
"* * ' « Le dépistage individuels SO ans est logique »
« La controverse sur la
pertinence du dépistage
précoce est toujours en
cours. Maîs c'est un faux debat. Car on sait
qu'en prenant un cancer de la prostate a
temps, la mortalite diminue de 33 %. Ce
dépistage comprend un toucher rectal et
la mesure du taux d'antigène prostatique
spécifique (PSA) dans le sang. Certes,
un seul examen n'est pas toujours fiable.
Maîs en réalisant plusieurs dosages
successifs, on peut détecter un éventuel
accroissement des valeurs du PSA.
Conséquence majeure de ce diagnostic
précoce : l'utilisation de thérapies focales,
qui ne ciblent que la zone malade. Et
représentent donc une alternative aux
traitements plus agressifs (prostatectomie,
radiothérapie), avec moins d'effets
indésirables. Le dépistage individuel des
SO ans est donc logique. » H. J.
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Cancer
Rectum
La
maladie
En
raison
de leurs similitudes le
cancer du rectum est
souvent associe a celui
du côlon (lire pp 112-113)
sous la dénomination de
cancers colorectaux Maîs
son traitement peut être
spécifique Ce cancer
se caractérise par une
prolifération anormale de
Chiffres
12000
nouveaux cas de
cancers du rectum en
France chaque annee
5000
personnes
en décèdent
tous les ans
30%
'O
des cancers
colorectaux sont des
cancers du rectum
0,8 cas pour
100 000
hommes,
1,1 cas pour
IOU 000
femmes
cellules tapissant la paroi
interne du rectum
Le plus souvent, il
naît d'un polype
adenomateux, tumeur
benigne a evolution
lente Sa taille, sa
profondeur dans la
muqueuse, ainsi que
l'atteinte ou non des
ganglions voisins du
rectum déterminent
son evolution
Autre pathologie, le
cancer du canal anal
Celui-ci se situe dans la
partie terminale du tube
digestif et mesure trois
a quatre centimètres,
entre le rectum et l'orifice
anal Ce cancer est rare et
prédomine chez la femme
Le traitement II repose principalement
sur la chirurgie. Elle consiste à retirer la
tumeur avec une marge de tissu sain de
part et d'autre de la zone cancéreuse, ainsi
que les ganglions lymphatiques situes à
proximité. Le type de chirurgie est fonction
de la zone du rectum concernée et de
sa localisation par rapport au sphincter
anal. Une radiothérapie pré-opératoire,
parfois associée à de la chimiothérapie,
peut être indiquée. L'objectif est, dans
la mesure du possible, de piéservei le
sphincter afin d'éviter au patient la pose
d'un anus artificiel. Cette intervention
particulièrement lourde entraîne en effet
de nombreux effets secondaires (douleur,
fatigue, troubles intestinaux et sexuels, etc.).
L'examen anatomo-pathologique des
tissus prélevés permet de préciser
le stade d'évolution du cancer et de
déterminer si des strategies thérapeutiques
complémentaires doivent être envisagées.
Le plus souvent, afin dc limiter les
risques de récidive, des séances de
radiothérapie (rayons à haute energie)
sont programmées. En effet, la rechute
locale est le problème majeur du cancer
colorectal. Par ailleurs, pour éviter le
risque de métastases, des séances de
chimiothéi apie post-opél atoll es peuvent
être prescrites. La prise en charge est
globale, ct comprend notamment un suivi
diététique et psychologique.
Pour les cancers du canal anal, la
cunethérapie a faible dose est un
traitement standard, en complément de la
chimiothérapie, évitant ainsi la chirurgie
(colostomie).
Fred Gratian
Les 15 services dè pointe
BESANÇON
Hôpital
Jean-Minjoz
Service d'oncologie-radiotherapie
Tel 03 81 66 81 66 www chu besancon fr
BORDEAUX
Hôpital
Saint-André
Service de chirurgie colorectale
Tel 05 56 79 56 79 - www chu-bordeaux fr
BOULOGNE-BILLANCOURT
Hôpital
Ambroise-Paré - Service de chirurgie generale et digestive
Tel OI 49 09 50 00 - www aphp fr/hopital/ambroise-pare
DIJON
Centre
Georges-Francois-Leclerc
Tel 03 80 73 75 00
www cgfl fr
LILLE
Centre Oscar-Lambret
Tel 03 20 29 59 59
www centreoscarlambret fr
LYON
CentreLéon-Bérard
Tel 04 78 78 28 28
www centreleonberard fr
MARSEILLE
InstitutPaoli-Calmettes
Tel 04 91 22 33 33
www institutpaohcalmettesfr
MONTPELLIER
CentreVal-d'Aurelle
Tel 04 67 61 31 00
www icm unicancer fr
NANCY
Centre
Alexis-Vautrin
Tel 03 83 59 84 00
www ici lorraine fr
NICE
CentreAntoine-Lacassagne
Tel 04 92 03 10 00
www centreantomelacassagne org
PARIS
HôpitalBeaujon
Service de chirurgie colorectale
Tel OI 40 87 50 00 - www aphp fr/hopital/beaujon
PARIS
Hôpital
Saint-Antoine
Service d'oncologie medicale
Tel OI 49 28 20 00 www aphp fr/hopital/samt antoine
PARIS
Hôpital
Saint-Louis
Service de radiothérapie
Tel OI 42 49 49 49 - www aphp fr/hopital/samt-louis
ROUEN
HôpitalCharles-Nicolle
Service d'hepato-gastro-enterologie
Tel 02 32 88 89 90 - www chu-rouen fr
VILLEJUIF
InstitutGustave-Roussy
Tel
OI 42 ll 42 ll
www gustaveroussy fr
* Nos cr teres de selection page 101
Adresses utiles
D
Voir aussi les adresses sur le cancer en général p. 104
Association France colon
Federation des stomises de France Tel OI 45 57 40 02 ou OI 45 58 41 27
v Retrouvez les sites internet de ces organismes, les associations de patients et des infos sur la maladie sur http://bit.lj/LKxD6g
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