LOMIR
(DAIICHI SANKYO BELGIUM)
1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT :
LOMIR 2,5 mg, comprimés enros
LOMIR retard 5 mg, gélules à liration prolongée
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
LOMIR 2,5 mg : isradipine 2,5 mg/comprimé
LOMIR retard 5 mg : isradipine 5 mg/gélule
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique: Liste des excipients.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
LOMIR 2,5 mg : comprimés enrobés
LOMIR retard 5 mg : gélules à liration prolongée
4. DONNÉES CLINIQUES
4.1 Indications thérapeutiques
Hypertension légère à modée
4.2 Posologie et mode dadministration
La posologie optimale pour la plupart des patients est de 2,5 mg (1 comprimé Lomir) 2 fois par jour ou d'1 gélule Lomir retard (5 mg)
par jour.
Un abaissement significatif de la pression artérielle est généralement observé aps une semaine de traitement. Cependant 3 à 4
semaines peuvent être nécessaires pour atteindre un effet maximal.
Dans certains cas, après 4 semaines de traitement, la posologie de 5 mg par jour peut s'avérer insuffisamment efficace: il est alors
recomman soit d'associer un autre antihypertenseur (de préférence un diurétique thiazidique, un IECA ou un bêtabloquant), soit
d'augmenter la posologie du Lomir jusqu5 mg 2 fois par jour.
D'autre part, le Lomir peut être ajouté à un traitement antihypertenseur existant en commençant par une posologie de 1,25 mg 2 fois
par jour.
Lorsque le Lomir est administré en même temps que de la cimétidine, sa posologie devrait être réduite moitié (cf. Interactions avec
dautres médicaments et autres formes dinteraction).
Mode d'emploi :
Les comprimés enros peuvent être divisé en deux.
Les gélules à libération prolongée doivent être avalées entières.
Utilisation chez les patients âgés et les patients présentant des troubles de la fonction rénale ou hépatique
Chez les patients âgés et chez ceux présentant des troubles de la fonction rénale ou hépatique, il est pférable de commencer le
traitement avec 1,25mg (1/2 Comprimé enrobé) 2 fois par jour.
Utilisation chez les enfants
Des études cliniques avec des antagonistes du calcium nont pas été effectuées chez les enfants. Bien que des données rétrospectives
limitées soient disponibles pour les patients pédiatriques, Lomir n’est pas recommandé chez ces patients.
4.3 Contre-indications
Hypersensibilité à l’isradipine, à un autre antagoniste du calcium du type dihydropyridine, à l’un des excipients ou résidus.
(voir rubrique Liste des excipients ).
Comme avec les autres antagonistes du calcium du type dihydropyridine, Lomir ne sera pas utili chez les patients présentant lune des
affections suivantes :
- Choc cardiogénique
- Angor instable
- Lors d’un infarctus du myocarde et durant le mois qui suit un infarctus du myocarde
Les patients souffrant de problèmes héréditaires dintolérance au galactose, d’une déficience en Lapp lactase ou de malabsorption du
glucose-galactose ne devraient pas prendre Lomir 2,5 mg car il contient du lactose.
Lomir retard 5mg ne contient pas de lactose et nest donc pas contre-indiqué dans ce cas.
4.4 Mises en garde spéciales et précautions demploi
Chez les asthmatiques, le Lomir peut être administré puisque des doses orales uniques ont diminué la réponse bronchospastique à
l'exercice.
Chez les diabétiques, le Lomir peut être administ puisqu'il n'a pas d'effet cliniquement significatif sur l'homéostase glucidique.
Il est recomman d'individualiser la posologie du Lomir chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale ou hépatique,
chez les patients présentant une insuffisance cardiaque chronique ainsi que chez les patients âgés.
La prudence est requise chez les patients présentant un syndrome du noeud sinusal confirmé ou fortement suspecté et qui n'est pas
corrigé par un pacemaker. Un traitement concomitant avec lamiodarone doit être évité. Il en est de même chez les patients dont la
pression artérielle systolique est basse.
Les dihydropyridines peuvent provoquer une hypotension aiguë pouvant conduire à une hypoperfusion et à une tachycardie réflexe
(angor paradoxal).
Une prudence particulière est conseillée lorsqu'on administre des dihydropyridines à des patients présentant une sténose aortique
sévère.
Ladministration concomitante de rifampicine ou d’autres médicaments inducteurs enzymatiques doit être évitée (voir : Interactions avec
dautres médicaments et autres formes dinteractions).
Le traitement par le Lomir sera arté si des signes d'hypersensibilité au produit apparaissent.
Chez les enfants, l'efficaci et la sécurité du Lomir n'ont pas été établies.
Un angor peut survenir, principalement chez les patients ayant une cardiopathie ischémique préexistante. Chez les patients ayant un
angor préexistant, la fréquence, la due et la sévérité des crises d'angor peuvent augmenter en cas d'augmentations rapides de la
posologie ou au début du traitement.
4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes dinteraction
Ladministration concomitante de rifampicine réduit significativement les concentrations plasmatiques de lisradipine. Dès lors,
l’administration concomitante de rifampicine ou d’autres médicaments induisant lactivi enzymatique du foie (p.ex. des anticonvulsifs
comme carbamazépine et phénobarbital) devrait être évitée.
Ladministration concomitante avec la phénytoïne est à éviter vu les risques connus liés à l’administration concomitante de la phénytoïne
et les antagonistes du calcium.
Des taux plasmatiques accrus ainsi quune augmentation de l’activi médicamenteuse et des effets insirables (p. ex. œdème
périphérique) ont été rapportés lorsque les dihydropyridines sont administrées de manière concomitante avec des inhibiteurs du
cytochrome P450 3A. De telles interactions sont peu vraisemblables avec l’isradipine, mais la prudence est requise en cas de co-
administration avec de puissants inhibiteurs du CYP450 3A tels que les antibiotiques macrolides (p. ex. érythromycine, clarithromycine,
troléandomycine), les inhibiteurs des protéases virales HIV (p. ex. ritonavir, indinavir, nelfinavir) ou les inhibiteurs de la transcriptase
réverse (p. ex. delavirdine) et les antifongiques azolés (p. ex. kétokonazole, itraconazole, voriconazole).
Comme avec tous les antihypertenseurs, il est probable qu’un traitement concomitant avec du baclofène oral augmente davantage la
possibilité dune chute de la tension sanguine. Aussi, il peut s’avérer nécessaire de surveiller la tension sanguine et dajuster en
conquence la posologie de l’isradipine.
Ladministration concomitante de cimétidine conduit à une augmentation denviron 50 % de la biodisponibilité de lisradipine (voir :
Posologie et mode d’administration) .
La concentration plasmatique maximale disradipine augmente denviron 20% durant une co-administration avec du diclofénac, mais,
comme l’exposition à l’état déquilibre reste inchangée, on ne s’attend pas à ce quil y ait une répercussion clinique.
La pharmacocinétique disradipine n'est pas modifiée par l'administration concomitante de digoxine, de propranolol, de warfarine,
l'hydrochlorothiazide ou de ciclosporine.
Le Lomir est lié aux protéines d'une manière non spécifique; néanmoins la plus grande prudence est recommane en cas d'utilisation
concomitante de médicaments fortement liés aux proines (anti-coagulants, AINS).
Effets de l’isradipine sur les autresdicaments / systèmes enzymatiques
Lisradipine ne semble pas inhiber de manière cliniquement significative les enzymes du système CYP P450, en particulier le CYP450
3A.
Lisradipine n'affecte pas les pharmacocinétiques de la digoxine, de la warfarine, de l'hydrochlorothiazide, du diclophénac, de la
théophylline, du triazolam ou de la ciclosporine mais il induit une légère augmentation (27 %) de la biodisponibilité (aire sous la courbe
- AUC) du propranolol.
Interaction avec lamiodarone : Voir : « Mises en garde spéciales et précautions particulières demploi».
Ladministration de Lomir et de médicaments ayant une activi antihypertensive est à surveiller en raison du risque d’hypotension.
Interactions alimentaires
La prise concomitante de jus de pamplemousse peut augmenter la biodisponibilité de l’isradipine.
4.6condité, grossesse et allaitement
Les données sur un nombre limi de femmes enceintes (63) exposées au Lomir pendant le troisième trimestre nindiquent pas deffets
insirables de l’isradipine sur la grossesse ou sur la santé du fœtus ou du nouveau-né. A ce jour, aucune autre donnée
épimiologique pertinente nest disponible. Les études sur animaux ne montrent aucun effet nocif, direct ou indirect, sur la grossesse,
le développement embryofoetal, la mise bas ou le développement postnatal à des doses thérapeutiquement importantes.
Lutilisation de Lomir par voie orale durant le dernier trimestre n’a pas été associée à un changement de la fquence cardiaque foetale
ou du flux sanguin utéroplacentaire et leffet tocolytique semble faible.
Toutefois, l'expérience clinique chez la femme enceinte est insuffisante pour pouvoir justifier l’utilisation durant la grossesse (surtout au
cours des 3 premiers mois) sauf si le bénéfice pour la mère est supérieur au risque potentiel pour lenfant.
Chez la femelle du rat, de petites quantités disradipine passent dans le lait. Quoique l’exrimentation animale n’ait montré aucun effet
insirable avec l’isradipine administrée durant lallaitement, la sécurité du médicament auprès des enfants allaités au lait maternel n’a
pas été établie. Aussi, les femmes traitées par Lomir ne devraient pas allaiter.
Les observations chez l'animal suggèrent que des doses élevées disradipine peuvent augmenter la due du travail.
4.7 Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines :
Il n’y a pas de données sur les effets du Lomir sur laptitude à conduire ou à utiliser des machines. Les patients doivent être prudents
lorsqu’ils conduisent un véhicule ou utilisent des machines puisque, comme avec les autres antagonistes du calcium, des sensations de
vertiges peuvent appartre, en particulier au début du traitement.
4.8 Effets insirables
Les effets les plus souvent constatés dans les études cliniques avec les comprimés sont modérés, généralement dose-dépendants et liés
aux propriétés vasodilatatrices du Lomir : vertiges, céphalées, flush, tachycardie, palpitations et oedème périphérique localisé d'origine
non cardiaque (Une dilatation artérielle locale est plus probable qu’une rétention deau).
Ils tendent à s'atténuer ou dispartre lors de la continuation du traitement.
Les effets insirables observés lors détudes cliniques (survenus plus fréquemment avec lisradipine qu’avec le placebo) et ceux
compilés de rapports spontanés sont présens ci-dessous, en rapport avec leur classe dorganes.
Estimation de la fquence : très fquent 10%, fréquent 1% à < 10%, peu fréquent 0,1% à < 1%, rare 0,01% à < 0,1%, ts
rare < 0,01%
Affectionsmatologiques et du système lymphatique
Très rare : thrombopénie, leuconie, anémie.
Affections du système immunitaire
Très rare : réactions dhypersensibilité
Troubles dutabolisme et de la nutrition
Très rare : perte dappétit et anorexie.
Affections psychiatriques
Très rare: dépression, anxiété, nervosité.
Affections du système nerveux
Très fréquent: céphalées.
Fréquent: sensations de vertiges.
Très rare : hypoesthésie, paresthésie, somnolence.
Affections oculaires
Très rare : troubles visuels, vision trouble.
Affections cardiaques
Fréquent : tachycardie, palpitations.
Très rare : arythmie ventriculaire, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, angine de poitrine, fibrillation auriculaire, bradycardie.
Affections vasculaires
Très fréquent : flush, œme périphérique.
Peu fréquent : hypotension.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent : dyspnée
Très rare : toux.
Affections gastro-intestinales
Fréquent : inconfort abdominal.
Très rare : vomissements, naue, hyperplasie gingivale.
Affectionspatobiliaires
Très rare : élévation des tests de la fonction hépatique. Une augmentation des taux des transaminases sériques a é signalée dans
quelques cas exceptionnels. Ces changements étaient réversibles soit pendant le traitement, soit après son interruption. Cas isolés
dhépatite.
Affections de la peau et du tissus sous-cutané
Fréquent : rash.
Très rare : réaction allergique cutanée, prurit, transpiration, réactions anaphylactiques et angio-oeme, cas isolés de photosensibilité.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Très rare : arthralgie, douleur du dos, crampes musculaires, douleur des membres.
Affections du rein et des voies urinaires
Fréquent : polyurie
Affections des organes de réproduction et du sein
Très rare : dysfonctionnement de lérection, cas isolés de gynécomastie.
Troubles géraux et anomalies au site dadministration
Fréquent : fatigue, malaise.
Très rare : asthénie.
Investigations
Peu fréquent: accroissement pondéral.
Lors de l’utilisation de Lomir, on a observé les effets insirables suivants après l’obtention de l’enregistrement: accident vasculaire
cérébral, syncope, accident ischémique transitoire, léthargie, sécheresse buccale, constipation, diarrhée, insomnie, douleur thoracique.
Etant donné que ces cas sont rapportés au sein dune population non clairement définie et qu’il existe une multitude de facteurs de
confusion, il est impossible deffectuer une évaluation fiable de la fquence.
Une amélioration de la tolérance peut être obtenue en utilisant les gélules retard : l'incidence des céphalées, des flushes et des oedèmes
périphériques est plus basse qu'avec les comprimés.
4.9 Surdosage
Lexrience avec un surdosage de Lomir est limitée. Les données disponibles suggèrent qu'un surdosage pourrait se manifester par de
l'hypotension marquée et prolongée nécessitant un support cardiovasculaire (p.ex. i.v. de solutions physiologiques ou succédanés du
plasma), avec monitorage de la fonction cardio-respiratoire et du volume sanguin circulant. Des vasoconstricteurs peuvent être
bénéfiques, si leur utilisation n'est pas contre-indiquée. Le calcium i.v. peut aussi être utilisé.
5. PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : antagonistes du calcium sélectifs, action principalement vasculaire, code ATC : C08CA03
Lisradipine, principe actif du Lomir, est un antagoniste calcique du groupe dihydropyridine posdant une affini plus marquée pour
les canaux calciques des muscles lisses artériels que pour ceux du myocarde. Il dilate donc les lits vasculaires artériels y compris ceux
du coeur et du cerveau, sans déprimer la fonction cardiaque. C'est la vasodilatation périphérique qui est responsable de la diminution
de la pression sanguine artérielle.
L'expérimentation animale montre que lisradipine exerce une action inhibitrice sélective sur le noeud sinusal mais qu'il n'alre ni la
conduction auriculo-ventriculaire ni la fonction contractile myocardique. Dès lors, la tachycardie réflexe est modérée et il n'appart pas
de prolongement de l'intervalle PQ, même après un prétraitement par un bêtabloquant. L'expérimentation animale a également montré
un effet anti-athérogène. Lisradipine posde aussi une activité natriurétique modérée mais significative confirmée par une étude à long
terme chez le patient hypertendu.
Chez les patients hypertendus, une réduction, dose dépendante, de la pression sanguine en position couchée, assise et debout est
atteinte 2-3 heures après la prise d'un seul comprimé. Les augmentations de la fquence cardiaque au repos sont minimes (moins de 5
battements/min) et ne sont pas dose dépendantes. Des modifications de la fréquence cardiaque ne sont généralement pas observées
avec les gélules retard.
Aucune diminution de l'effet antihypertenseur du Lomir n'est apparue au cours des études cliniques allant jusqu2 ans.
Propriétés pharmacocinétiques
Après une résorption de 90-95 % dans le tractus gastro-intestinal, le Lomir présente un effet de premier passage élevé d'où une
biodisponibilité d'environ 16-18 %. Après administration par voie orale d'une dose unique de 2,5 à 20 mg, le produit est détecté dans
le plasma 20 minutes après la prise.Le pic de concentration plasmatique (Cmax) est atteint après approximativement 2 h. Pour une
dose unique, la Cmax est de 1 ng/mL et de 1,8 ng/mL à l'état d'équilibre.
Environ 50 % de lisradipine contenue dans le Lomir retard sont résors dans les 10h qui suivent leur administration et la
concentration plasmatique maximale est atteinte après approximativement 5 à 7 h.
La liaison aux protéines est d'environ 95 % et le volume apparent de distribution est de 283 l. Après administration orale de doses
allant jusqu 20 mg, la concentration plasmatique maximale et l'aire sous la courbe présentent toutes deux une relation linéaire fonction
de la dose.
La clairance totale du Lomir est de 43 l/h. Son élimination est biphasique, avec une demi-vie terminale de 8,4 h. Le métabolisme est
complet puisque aucun produit inchangé n'est détectable dans les urines. Environ 60-65 % de la dose administrée sont excrés dans
les urines et 25-30 % dans les fèces.
Les métabolites n'ont pas d'activi pharmacologique significative.
Les études montrent qu'il n'existe aucune corrélation claire entre la fonction rénale et la pharmacocinétique : chez les patients présentant
des troubles de la fonction rénale, on a observé soit une augmentation soit une diminution de la biodisponibilité. On a rappor une
biodisponibilité plus grande chez les patients âgés et chez ceux présentant des troubles de la fonction hépatique (jusqu27 %).
Données decurité préclinique
Données non fournies.
6. DONNÉES PHARMACEUTIQUES
6.1 Liste des excipients
Lomir 2,5 mg :
Laurylsulphate de sodium, sarate de magnésium, polyvinylpyrrolidone, amidon de ms, lactose.
Lomir retard 5 mg :
Oxyde de silicium colloïdal anhydre, stéarate de magnésium, palmitate de cétyle, cellulose microcristalline,
méthylhydroxypropycellulose, gélatine, dioxyde de titane, oxyde de fer jaune, gomme laque, oxyde de fer noir, spiritus industriel
méthylé, eau purifiée, alcool-N-butyl, alcool isopropylique, propylène glycol.
6.2 Incompatibilités
Sans objet
6.3 Due de conservation
Lomir 2,5 mg, Comprimé enro: 5 ans.
Lomir retard 5 mg, Gélule à liration prolongée: 3 ans
riode de validité : jusqu'au dernier jour du mois de la date exprimée en mois et en année sur l'emballage après EXP.
6.4 Précautions particulières de conservation
Tenir hors de la portée et de la vue des enfants.
Pas de précautions particulières de conservation.
6.5 Nature et contenu de l’emballage
Lomir 2,5 mg: plaquette thermoformée de 56 comprimés sécables.
Lomir retard 5 mg: plaquette thermoformée PVC/Aluminium de 30 et 60 gélules.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6 Précautions particulières délimination
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE LAUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ
DAIICHI SANKYO BELGIUM S.A., Rue Fond Jean-Pâques 5, B-1348 Louvain-la-Neuve
8. NUMÉRO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ
LOMIR 2,5 mg, comprimés enros : BE 145984
LOMIR retard 5 mg, gélules à liration prolongée : BE 155836
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION / DE RENOUVELLEMENT DE LAUTORISATION
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