Mais il exista une constante: jusqu’à très récemment, les
sociétés étant quasi- exclusivement patriarcales, le discours fut
celui des mâles et, dans ce domaine, refléta leurs expériences et
leurs craintes.
Jusqu’au 20ième siècle, qu’elles soient d’essences mythique,
théologique ou médicale, les représentations de la sexualité
féminine ont donc présenté une constante, celle d’être presque
toujours porteuses d’un point de vue qui stigmatise les excès
affectifs et/ou sexuels des femmes.