Produit
TIMABAK
Société pharmaceutique
(THEA PHARMA)
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
Timabak 0,25%, collyre en solution
Timabak 0,50%, collyre en solution
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Timabak 0,25 %, collyre en solution:
• La substance active est timolol 12,5 mg. Elle est présente sous forme du maléate de timolol
(17,15 mg), ce qui équivaut à 12,50 mg de timolol.
Timabak 0,50%, collyre en solution:
• La substance active est timolol 25 mg. Elle est présente sous forme de maléate de timolol
(34,3 mg), ce qui équivaut à 25 mg de timolol.
Pour les excipients, cfr section: "Liste des excipients".
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Collyre en solution (sans conservateur).
4. DONNEES CLINIQUES
4.1 Indications thérapeutiques
Timabak est utili pour réduire la pression intra-oculaire élevée dans les cas suivants:
- Hypertonie intra-oculaire
- Glaucome chronique à angle ouvert
4.2 Posologie et mode d'administration
Pour voie ophtalmique
Posologie chez l’adulte:
La posologie initiale recommandée est dune goutte de Timabak 0,25 % dans lœil (les yeux) malade(s), 2 fois par jour. Si la réponse
clinique est insuffisante, la posologie peut être augmene à une goutte de la solution à 0,50 % deux fois par jour dans lœil (les yeux)
atteint(s).
La normalisation de la tension oculaire par le timolol requiert parfois quelques semaines, dès lors lévaluation du traitement doit inclure
une termination de la tension intra-oculaire après une période de traitement denviron 4 semaines. En raison des variations normales
nycthémérales de la tension intra-oculaire, il est pférable dévaluer lefficacité du timolol en mesurant la tension à différents moments
de la journée.
Dans un certaine nombre de cas, ladministration quotidienne d’une seule goutte de collyre peut savérer suffisante en particulier
lorsque la stabilisation de la pression intra-oculaire a été obtenue.
Posologie chez l’enfant:
La posologie initiale recommandée est dune goutte de Timabak 0,25 % toutes les 12 heures dans l’œil (les yeux) atteint(s) en
association avec dautres anti-glaucomateux. La posologie peut être augmentée à une goutte de la solution à 0,50 % deux fois par jour
dans lœil (les yeux) atteint(s), si nécessaire.
Lusage du Timabak nest pas recommandé chez les prématus et les nouveau-nés..
Mode d’emploi:
• Se laver soigneusement les mains avant de pratiquer linstillation.
• Eviter le contact de l’embout avec lœil ou les paupières.
• Instiller 1 goutte dans lœil en regardant vers le haut et en tirant légèrement la paupière vers le bas, fermer lœil quelques secondes.
• Lœil fermé, essuyer proprement lexdent.
• Reboucher le flacon après utilisation.
Le temps dapparition dune goutte est plus long qu’avec un flacon de collyre classique.
Le médicament sera utilisé dans les 8 semaines qui suit la première ouverture du flacon.
Association avec dautres traitements:
Lophtalmologue pourra, s’il le juge nécessaire, associer au traitement par collyre Timabak:
- Soit un collyre antiglaucomateux sympatho- ou parasympathomimétique,
- Soit un traitement par voie générale à laide d’un inhibiteur de lanhydrase carbonique, pour obtenir un résultat maximal.
Dans le cas Timabak doit prendre le relais:
- Dun autre collyre bêtabloquant: ce collyre doit être arrêté à la fin d’une journée complète de traitement, et Timabak doit être
commen le lendemain avec une goutte à 0,25% dans lœil malade deux fois par jour. Si la ponse clinique est inadéquate, Timabak
0,50% deux fois par jour devra être utilisé ;
- Dun autre traitement antiglaucomateux par un agent unique autre quun β-bloquant, superposer les 2 traitements pendant une
journée, avec une goutte de Timabak 0,25% deux fois par jour. Le jour suivant, arrêter le traitement par lagent antiglaucomateux
utili prédemment, et continuer avec le Timabak. Si une réponse plus importante est requise, la posologie peut être augmentée à une
goutte de la solution à 0,50% deux fois par jour dans lœil (les yeux) atteint(s).
Quand on doit substituer Timabak à plusieurs antiglaucomateux associés, le médecin peut, en fonction du cas, en interrompre certains
ou décider de les arrêter tous. Mais les suppressions ne doivent impliquer quun seul médicament à la fois.
Lorsque les malades passent des myotiques à Timabak, un examen de le réfraction peut savérer nécessaire quand les effets des
myotiques ont disparu.
Le malade se conformera strictement à la prescription médicale, qui sera accompagnée de la surveillance de la pression intra-oculaire,
surtout durant la période dajustement de la posologie.
4.3 Contreindications
• lasthme bronchique
• antécédents de lasthme bronchique ou une affection pulmonaire obstructive chronique
• bradycardie sinusale
• bloc auriculo-ventriculaire du second ou du troisième degré
• insuffisance cardiaque manifeste
• choc cardiogénique
• Atteinte vasculaire périphérique sévère (phénomènes de Raynaud) et affections périphériques.
• Angor de Prinzmetal.
• Phéochromocytome non traité.
• Hypotension.
• Dystrophie cornéenne.
• Hypersensibilité au timolol ou à lun des excipients et/ou à dautres bêta-bloquants.
• Rhinite allergique sévère et hyperactivité bronchique.
• Association à la floctafénine (voir rubrique: "Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interaction").
• Association au sultopride (voir rubrique: "Interactions avec dautres médicaments et autres formes d’interaction").
4.4 Mises en garde sciales et précautions particulières d’emploi
Comme avec les autres collyres, le timolol contenu dans Timabak peut nétrer dans la circulation générale et donner lieu à des effets
systémiques (cfr. rubrique Effets insirables).
Linsuffisance cardiaque doit être adéquatement contlée avant dinstaurer un traitement au maléate de timolol. En cas danamnèse de
maladie cardiaque sévère, on surveillera lapparition éventuelle de signes d’insuffisance cardiaque et on contrôlera la fréquence
cardiaque.
Des réactions respiratoires, y compris la mort due à un bronchospasme chez des patients asthmatiques, et des complications
cardiaques associées à une décompensation cardiaque et incluant rarement la mort, ont été rappores suite ladministration de maléate
de timolol.
En cas de glaucome à angle fermé, lobjectif immédiat du traitement est la ouverture de langle. Ceci nécessite la contraction de la
pupille par un myotique. Le maléate de timolol nayant pas d’effet sur la pupille, il ne sera utili quen association avec un myotique (et
jamais seul) pour duire la pression intra-oculaire élevée dans le glaucome à angle fermé.
Une surveillance particulier doit être exercée chez les patients prenant des β-bloquants par voie orale en plus de Timabak afin déviter
une potentialisation au niveau du tonus oculaire ou sur les effets secondaires connus.
Une surveillance ophtalmologique est nécessaire en cas de traitement concomitant par un collyre contenant de ladnaline (risque de
mydriase).
Le port de lentilles de contact demande une surveillance particulière en raison du risque de diminution de la sécrétion lacrymale et de
lhypoesthésie cornéenne liées, d’une manière générale, aux bêta-bloquants.
Une diminution de la ceptivité au timolol pourrait appartre après traitement prolongé; laugmentation des doses serait sans effet. Il
convient, dans les traitements au long cours, de vérifier chaque année labsence « d’échappement thérapeutique ».
Lattention des sportifs sera attirée sur le fait que ce médicament contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des
tests pratiqués lors des contles antidopage.
Comme cest le cas avec dautres médicaments topiques à usage ophtalmique, Timabak peut être résorbé dans la circulation
systémique, ce qui peut induire des effets secondaires comparables à ceux qu’on observe avec les bêta-bloquants oraux.
Il faut donc l’utiliser avec prudence chez les patients ayant une maladie du sinus, une acidose métabolique ou une faible tension
sanguine.
Il faut utiliser Timabak avec prudence chez les patients ayant un bloc auriculo-ventriculaire du premier grade.
Il faut exclure une insuffisance cardiaque avant d’instaurer le traitement. Il faut suivre les patients ayant des antécédents datteinte
cardiaque vère et surveiller la survenue éventuelle de symptômes précoces d’insuffisance cardiaque. Les bêta-bloquants peuvent
masquer certains symptômes dhyperthyroïdie (par exemple, une tachycardie). Il faut contler attentivement les patients suspectés de
développer une thyrotoxicose, et il faut éviter un art brutal du traitement par ta-bloquants, car cela pourraitclencher une crise
thyrotoxique.
Généralement, le médicament ne peut pas être associé à lamiodarone, aux antagonistes du calcium (bépridil, vérapamil, diltiazem) ou
aux bêta-bloquants (voir rubrique :‘Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interaction’).
Il faut éviter lutilisation concomitante d’IMAO.
Aubut du traitement, il faut conseiller aux patients diatiques de renforcer lautocontrôle de leur glymie. Les signes et les
symptômes dune hypoglycémie, en particulier la tachycardie, les palpitations et les sueurs, peuvent être masqués.
4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
Associations contre-indiquées
Floctafénine
En cas de choc ou d’hypotension causés par la floctafénine, les bêta-bloquants inhibent les mécanismes cardiovasculaires
compensatoires.
Sultopride
Risque accru d’arythmie ventriculaire, en particulier torsades de pointe.
Associations déconseillées
Amiodarone
Linhibition des mécanismes sympathiques compensatoires peut donner lieu à la survenue de troubles de la conduction et de la
contractilité myocardique.
Antagonistes du calcium
Bradyarythmies (bradycardie excessive, bloc sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire ou auriculo-ventriculaire par effet
synergétique.
La nature de tout effet insirable cardiovasculaire semble dépendre du type dantagoniste calcique utilisé. Lesrivés de la
dihydropyridine (tels que la nifédipine) peuvent donner lieu à la survenue dune hypotension, tandis que le vérapamil ou le diltiazem ont
plut tendance à induire des troubles de la conduction AV ou une insuffisance ventriculaire gauche, lorsquon les associe à un bêta-
bloquant.
ta-bloquants oraux
Lorsqu’on utilise le gel oculaire à base de timolol chez les patients traités par des bêta-bloquants oraux, tant la réduction de la pression
intraoculaire que les effets sysmiques associés à lactivité bêta-bloquante peuvent se renforcer.
Il faut suivre étroitement la ponse de ces patients.
Associations nécessitant la prise de mesures de précaution
Médicaments réduisant les taux de catécholamines (par exemple, la réserpine)
Une observation attentive du patient est recommandée quand un bêta-bloquant est administré aux patients recevant des médicaments
dépresseurs, des catécholamines tels que la réserpine, vu leffet additif potentiel et lapparition d’une hypotension et/ou dune
bradycardie marquée, qui peut produire des vertiges, une syncope, ou une hypotension orthostatique.
Glycosides digitaliques
Lutilisation concomitante de glycosides digitaliques et de bêta-bloquants peut ralentir la conduction auriculo-ventriculaire.
Anti-arythmiques de classe I
Les anti-arythmiques de classe I (par ex., disopyramide, quinidine, lidocne i.v.) et lamiodarone peuvent exercer un effet potentialisant
sur la conduction auriculaire. Par conséquent, ils peuvent donc induire un effet inotrope négatif.
Anesthésiques halogés volatiles
Diminution des mécanismes cardiovasculaires compensatoires par les bêta-bloquants (pendant lintervention, on peut contrecarrer
linhibition bêta-adrénergique au moyen de médicaments bêta-stimulants). D’une manière générale, on ne peut pas interrompre le
traitement par bêta-bloquants et dans tous les cas, il faut éviter un arrêt brutal du traitement. Il faut informer lanesthésiste concernant
ce traitement.
Potentialisation des effets systémiquesta-bloquants des gouttes oculaires et élévation des taux plasmatiques
On a rapporté une élévation des taux plasmatiques du bêta-bloquant lorsqu’on administre simultanément les gouttes oculaires à base du
bêta-bloquant et la quinidine, probablement suite à linhibition du métabolisme du bêta-bloquant par la quinidine (effet décrit pour le
timolol). De plus, la cimétidine peut augmenter les concentrations plasmatiques de timolol.
Clonidine et autres antihypertenseurs d’action centrale (méthyldopa, guanfacine, moxonidine, rilménidine)
Il est conseillé de surveiller étroitement le patient. Afin d’éviter une hypertension de rebond, il faut éviter un arrêt brutal du traitement.
Insuline, substances hypoglycémiantes orales
Tous les bêta-bloquants peuvent masquer certains symptômes dhypoglymie : palpitations et tachycardie.
La plupart des ta-bloquants non cardiolectifs augmentent la fréquence et la sévérité de lhypoglymie.
Il faut avertir le patient et lui conseiller de renforcer lautocontle de la glymie, surtout au début du traitement.
4.6 Grossesse et allaitement
Grossesse
En pratique clinique, à ce jour, on na rapporté aucun effet tératogène, et les résultats détudes prospectives contrôlées réalisées avec
certains bêta-bloquants nont démontré aucune malformation chez le nouveau-né.
Les données issues d’études ne révèlent aucun effet tératogène.
Les bêta-bloquants duisent la circulation placentaire, ce qui peut donner lieu au décès du fœtus ou à une naissance pmaturée.
De plus, des effets insirables (surtout une hypoglymie et une bradycardie) peuvent également survenir chez le fœtus.
Chez les enfants issus de mères traitées, leffet desta-bloquants persiste pendant plusieurs jours après la naissance. Ils peuvent
induire une bradycardie, une détresse respiratoire et une hypoglymie, mais ces effets nont généralement aucune conséquence
clinique.
anmoins, suite à l’inhibition des mécanismes sympathiques compensatoires, une insuffisance cardiaque peut survenir et nécessiter
des soins intensifs. Il faut éviter ladministration de liquides par voie intraveineuse, afin de réduire le risque de survenue d’un œme
pulmonaire aigu.
Par conséquent, on peut utiliser les gouttes oculaires de timolol pendant la grossesse, si cela s’avère nécessaire. Si lon poursuit le
traitement jusqu’à laccouchement, il est conseillé de contrôler étroitement le nouveau-né (fréquence cardiaque et hypoglycémie,
pendant les trois à cinq premiers jours suivant la naissance).
Allaitement
Chez un enfant allaité, on a décrit un cas d’hypoglymie et de bradycardie, suite à lutilisation de ta-bloquants ayant un faible taux
de liaison aux protéines. Par conséquent, lallaitement est conseillé pendant l’utilisation des gouttes oculaires à base de timolol.
4.7 Effets sur laptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Linstillation de gouttes de maléate de timolol peut provoquer des troubles visuels et diminuer ainsi lhabilité à aliser des tâches
hasardeuses telles que la conduite d’un véhicule ou lutilisation de machines.
4.8 Effets insirables
Les effets insirables suivants ont été rapporté:
Affections psychiatriques: dépression.
Affections du sysme nerveux: vertige.
Affections oculaires: symptômes d’irritation oculaire incluant conjonctivite, blépharite, kératite, hypoesthésie cornéenne et quelques cas
de troubles visuels comprenant des modifications de la réfraction (dues parfois à larrêt du traitement par les myotiques), diplopie et
ptosis;
Rare: décollement choroïdien après chirurgie filtrante et œme maculaire cystde de laphaque. Bien quune relation de cause à effet
n’a pas été établie, de très rares cas de cataracte de survenue rapide ont été rappors.
Affections cardiaques: bradycardie, arythmie, hypotension, syncope, bloc auriculo-ventriculaire, accidents vasculaire rébral, ischémie
cérébrale, décompensation cardiaque, palpitations, arrêt cardiaque.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: bronchospasmes (surtout en cas d’antédents d’affection bronchospastique),
insuffisance respiratoire, dyspnée.
Affections de la peau et du tissus sous-cutané: réactions d’hypersensibilité locales ou générales, alopécie.
Affections musculo-squelettiques et systémiques: augmentation des signes et des symptômes de myasthénie.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration: céphalées, nausées, asthénie, douleur thoracique.
Les effets insirables suivants ont été rapportés avec le maléate de timolol administ par voie orale, et peuvent être consirés
comme des effets insirables potentiels des solutions ophtalmiques de maléate de timolol:
Affections hématologiques et du système lymphatique: purpura non thrombopénique.
Troubles du métabolisme et de la nutrition: hyper- ou hypoglymie.
Affections psychiatriques: nervosisme, diminution de la concentration, hallucinations, cauchemars, augmentation de la fréquence des
rêves, insomnie, dépression, somnolence, diminution de la libido.
Affections du sysme nerveux: paresthésies, faiblesse localisée.
Affections oculaires: sécheresse de lœil.
Affections de l'oreille et du labyrinthe: bourdonnements doreilles.
Affections cardiaques: bloc sino-auriculaire, syncope, hypotension, œme, œme pulmonaire, phénomène de Raynaud, mains et
pieds froids, claudication, aggravation dune insuffisance de la circulation artérielle, aggravation d’un angor, vasodilatation.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: râles, toux.
Affections gastro-intestinales: dyspepsie, vomissements, diarrhée , naues, gastralgie, une bouche sèche.
Affections de la peau et du tissus sous-cutané: rash, prurit, transpiration, dermatite exfoliative.
Affections musculo-squelettiques et systémiques: arthralgies.
Affections du rein et des voies urinaires: impuissance, difficultés à la miction.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration: douleurs dans les extrémités, diminution de la tolérance à leffort.
Biologique (« Investigations »):
Légère augmentation de lue sanguine, de la kaliémie, de l’urimie et des triglycérides; légères diminutions de lhémoglobine, de
lhématocrite et de HDL-cholesrol; mais ces changements n’étaient ni évolutifs, ni accompagnés de manifestations cliniques.
On a observé de rares cas d’anticorps antinucléaires, qui ne s’accompagnaient qu’exceptionnellement de sympmes cliniques tels
qu’un syndrome lupique et qui se duisaient à larrêt du traitement.
Affections du sysme immunitaire:
Lupus érythémateux disminé.
Affections des organes de reproduction et du sein: (comme une diminution de la libido, l impuissance), le syndrome de Peyronie.
4.9 Surdosage
Il n’existe pas de données relatives au surdosage chez lhomme. Les symptômes les plus couramment observés au cours d’un
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