Jamais traversée ne se fit seul :
Plusieurs âmes m’épaulèrent au long des Cercles
D’un bref battement d’aile qui décuple la rame
Quand je fus repris par les vents forts,
Me hélant sur l’autre rive
Quand ma barque menaçait en Haute Nuit
De se perdre.
— Ainsi :
M. Barbaras, Mme Caeymaex, M. Cartier, M. Riquier, jury de ce doctorat que je
remercie à plus d’un titre : d’avoir accepté de me lire, d’avoir consenti à discuter l’enjeu
philosophique de mon essai, mais sans doute plus encore pour avoir abreuvé et infléchi — et
chacun de façon singulière — la ligne génératrice de mon travail.
M. le Professeur Pierre Rodrigo qui a dirigé le présent travail avec une
disponibilité, une patience et une largesse d’esprit qui honorent l’Université française.
En m’accordant une confiance sans faille, il m’a permis de porter à ce terme provisoire
cette lutte de Titans — le travail de la pensée.
M. Nicolas Grimaldi pour sa générosité lors de nos échanges.
M. Didier Cartier pour la qualité de son regard sur mon travail et la valeur
irremplaçable de son éclairage sur la pensée grimaldienne.
M. Pierre Ancet dont les compétences et l’amitié m’ont soutenu tout au long de
mon passage à l’Université de Bourgogne et dont je garde le plus heureux souvenir.
M. Philippe Cabestan pour ses conseils de lecture avisés concernant la pensée
sartrienne.
M. Philippe Caumières qui, en dépit d’une trop brève rencontre, songea à me
fournir quelques sérieuses pistes de lecture.