Mardi 8 novembre | Réalisez vos devoirs de parents !
“Obéissez à Ses commandements... afin que vous et vos enfants y trouviez le bonheur...”Deutéronome 4.40
Les valeurs spirituelles sont plus faciles à “attraper” qu'à enseigner. En tant que parents
chaque heure de votre vie expose, aux yeux de vos enfants, les valeurs auxquelles vous croyez,
aussi : 1- Apprenez-leur à prier. Aidez votre enfant à comprendre que c'est par la prière que
nous entretenons et approfondissons notre relation d'amitié avec Dieu. Eux aussi auront be-
soin d'une relation personnelle avec Lui, surtout à partir du moment où vous ne serez plus à
leurs côtés pour les encourager. Montrez-leur que Dieu est toujours près d'eux, et qu'ils peu-
vent Le contacter 24 heures sur 24. 2- N'essayez pas de leur donner des leçons, montrez-leur
la bonne façon d’agir par votre conduite. C'est vous qui formez en eux l'image qu'ils se font
de Dieu : si vous êtes pleins d'affection et toujours prêts à les protéger, ils grandiront en voyant
Dieu de la même manière, à travers les expériences qu'ils vivront auprès de vous, tandis que
si vous êtes froids et distants envers eux, ils imagineront Dieu de la même manière. Par exem-
ple Dieu n'est jamais trop affairé qu'Il ne puisse être interrompu par vos questions, et vous,
comment vous comportez-vous vis-à-vis de vos enfants ? Dieu nous dit sans cesse combien Il
nous aime, et vous ? Il ne nous impose jamais Sa présence, et vous ? 3- Apprenez-leur à voir
Dieu à travers les autres. Une fois que vos enfants auront pris l'habitude de voir Dieu à l'œuvre
dans leur propre vie, ils distingueront également Sa main dans la vie des autres. Aussi appré-
cieront-ils et respecteront-ils les enfants de Dieu rencontrés sur leur chemin et gagneront-ils
leur respect. Une telle attitude renforcera leur foi et leur assurance devant Dieu ! 4- Ne les
envoyez pas seulement à votre église, accompagnez-les ! Vos enfants ont besoin d'abord de
croire puis de sentir qu'ils font partie d'une grande famille. Montrez-leur qu'ils mourront spi-
rituellement s'ils se déconnectent de la famille de Dieu, de la même manière qu'un organe du
corps humain ne peut survivre tout seul. Ce sentiment d'appartenance fera qu'ils ne se senti-
ront jamais isolés et perdus. La Bible dit : “Enseigne à l'enfant la voie qu'il doit suivre dans la
vie et il s'en souviendra” (Proverbes 22.6). Leur montrer le bon chemin à suivre est le plus
beau cadeau que vous puissiez leur faire !
Mercredi 9 novembre | Porter du fruit n’est pas une option !
"Cet évangile qui porte du fruit et croît à travers le monde..." Colossiens 1.6
Nous affirmons parfois : “Tout ce que Dieu attend de nous c'est que nous Lui soyons fidèles”,
mais c'est faux ! Il attend de nous, non seulement que nous Lui soyons fidèles, mais aussi que
nous portions beaucoup de fruit. Porter du fruit est l'un des thèmes majeurs du Nouveau Tes-
tament. Ecoutez : 1- “C'est Moi qui vous ai choisis et Je vous ai chargés d'aller et de porter des
fruits et des fruits durables” (Jean 15. 16). Dieu aime voir que votre engagement donne des
résultats qui perdurent, plutôt que des résultats éphémères. 2- “La gloire de Mon Père se ma-
nifeste quand vous portez beaucoup de fruits et que vous vous montrez Mes disciples” (Jean
15. 8). Si notre ministère est florissant, cela prouve que nous suivons l'exemple que nous a
laissé Jésus-Christ. 3- “Nous prions... que vous vous conduisiez d'une façon digne du Seigneur,
en faisant toujours ce qui Lui plaît, portant du fruit en toute bonne œuvre...” (Colossiens 1.
10). Notre but primordial devrait être de faire plaisir à Dieu dans tout ce que nous faisons
quotidiennement. La nation d'Israël perdit ses privilèges lorsqu'elle cessa de porter du fruit :
“Je vous le déclare : le Royaume de Dieu vous sera enlevé pour être confié à un peuple qui en
produira les fruits” (Matthieu 21. 43). Le même principe s'applique aujourd'hui à nos églises.
Nous avons tous été témoins de la décadence d'églises, jadis abondamment bénies par Dieu,
parce qu'elles ont cessé de porter du fruit, absorbées qu'elles étaient par leur propre réputation
et leur propre importance. L'absence de fruit a entraîné inexorablement le retrait des béné-
dictions divines. Le mot “fruit” est utilisé environ 55 fois dans le Nouveau Testament et s'ap-
plique à la repentance (Matthieu 3. 8), à la poursuite de la vérité (Matthieu 7. 16-21), à la
réponse à nos prières (Jean 15. 7-8), à nos dons à Dieu (Romains 15. 26-28), au salut d'âmes
perdues (Romains 1. 13). Dieu tient certes à ce que nous demeurions fidèles, mais aussi que
nous portions beaucoup de fruit. Tant qu'il reste ici-bas une seule âme encore perdue, mais
pour qui Christ est mort, notre travail ne peut être achevé !
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Bible en 2 ans : Ecclésiaste 9. 10
Bible en 2 ans : Ecclésiaste 11. 12