Je remercie avant tout M. Dominique COLAS d’avoir accueilli avec bienveillance ce
projet de recherche. Et de m’avoir accompagnée de près dans sa réalisation du début jusqu’à
la fin.
Je souhaite dire ma reconnaissance à tous les enseignants qui m’ont découvert la théorie
politique. Je remercie en particulier Mme Camille FROIDEVAUX-METTERIE et M. Didier
MINEUR alors à l’IEP ; M. Jean-Marie DONEGANI, M. Marc SADOUN, à l’Ecole
doctorale, ainsi que M. Jean BAUDOUIN ; M. Gil DELANNOI et M. Lucien JAUME, au
CEVIPOF.
Je remercie Mme Marie-Hélène KREMER pour sa disponibilité et sa patience à toute
épreuve.
Ma gratitude va tout particulièrement à M. Pierre MANENT qui, depuis si longtemps,
entretient le goût de l’intelligence des choses politiques chez tous ses étudiants. Je souhaite
exprimer ma reconnaissance à M. Philippe PORTIER, qui m’a dirigée avec bienveillance
dans les premiers temps de ma recherche. Je remercie également M. Robert LEGROS, pour
son amour communicatif de la phénoménologie politique et pour ses conseils. J’adresse un
remerciement particulier à M. Alexander SCHNELL dont l’enseignement rend simple la
phénoménologie compliquée et à cause de la confiance qu’il a d’emblée mise en moi.
Je remercie le directeur, les enseignants et le personnel de l’IEP de Lille qui m’ont si
bien accueillie. Je remercie en particulier M. Michel HASTINGS pour ses conseils et ses
encouragements à terminer la thèse.
Je remercie M. Julien FRETEL qui m’a montré le chemin de l’enseignement et parce
qu’il pratique la sociologie politique la plus compréhensive qui soit.
Merci à toutes les petites, ou plutôt grandes mains qui ont relu ma thèse, morceau par
morceau.