Psycologie sociale de MOSCOVICIS

Psychologie des minoritées actives et Psycologie sociale de MOSCOVICIS.
Il s’agit de pscyco-sociologie. Notion de conformité et d’obeissance. Relation entre l’inno-
vation et l’influence des minorités.
Cadre contextuelle : la psychologie sociale et la sociologie sont les deux sciences les plus
proches. Elles étudient les rapports des individus entre eux ou les rapports des individus à
leur environnement sociale. Elles s’intéressent également à des groupes sociaux particulier ou
alors à des champs sociaux particulier ou encore à des comportments sociaux.
Mais elles différent dans les points de vue qu’elles adoptes. La psychologie sociale va étudier
les phénoménes sociaux sous l’angle des individus. La sociologie, elle, va davantage privilé-
gier l’angle du groupe, et tout ce qui va permettre de généralisé.
La sociologie a emprinté à la psychologie sociale des éléments d’analyses axés sur des rela-
tions inter-individuelles (notion d’hatitudes, de représentation sociale). Inversement, la psy-
chologie sociale a besoin de ce référée à la socilogie pour des études plus spécialisées (socio-
logie politique, de la famille, du travail, etc.).
Le groupes en tant que vecteurs de changement.
Un des motif de recherche de MOSCOVICIS réside dans la volonté de bousculer un certain
nombres d’idées établit notament celle d’une propagande médiatique toute puissante qui dic-
terai les comportements des individus. Les enquétes qu’il a mené sur le terrain montrent que le
fonctionnement sociale n’est pas aussi simpliste et prescriptible.
Pour MOSCOVICIS, il y a du changement dans la société, il y a de l’innovation et ces proces-
sus sont d’avantage le fait de petit groupes. Il va préciser et articuler les concepts suivants : le
concept d’influence, de minorité active, d’innovation. Il va mettre en perspective l’influence et
le pouvoir. Elles ne sont pas des notions interchangables; ont constate par exemple que les indi-
vidus ou les groupes qui exerce une influence ne sont pas forcement ceux qui détiennent le pou-
voir et inversment ceux qui détinnent le pouvoir ne sont pas forcement ceux qui exerce une
i n f l u e n c e .
Le pouvoir ce définit comme la capacité a obligé les acteurs d’un système sociae à remplir
leur obligation collective. L’influence pourrait être la capacité a obligé l’adhésion d’un indivi-
du ou d’un groupe par persuasion. MOSCOVICI conteste l’influence du plus grand nombres.
Cette proposition repose sur le postulat que plus le groupe serait important plus fort serait
les liens de dépendance des individus à ce groupe.
Trois concepts :
le pouvoir, la domination,
l’ordre et le contrôle.
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Donc plus grand serait la conformité. Pour MOSCOVICIS, la dépendance à un groupe n’im-
plique pas mécaniquement la conformité. Il ne nie pas le fait que le pouvoir et l’influence sont
lier d’une certaine façon. Ce qui exerce une influence détiennent un certain pouvoir. Mais ce
que précise MOSCOVICIS est que ce lien n’est pas unilatérale, il existe une réciprocité. Dans ce
cadre, l’influence apparait comme un processus de négociation entre le collectif et ces compos-
s a n t e s .
M O S COVICIS étudie deux formes d’influence :
- La conformité : elle se réfère à l’idée qu’une personne modifie sa position en direction de la posi-
tion d’un groupe. La conformité n’est pas un état stable, c’est un mouvement (elle est sujette à
variablité). Il peut y avoir conformité ans influence du groupe et l’uniformité du comportement.
Les conditions de conformité: facteurs de variabilité, caractéristique individuelle de sexe et de
nationalité; la relation de l’individu au groupe c’est-à-dire son niveau d’interdépendance; le
degré d’attirance de l’individu pour le groupe; le statut dont dispose l’individu dans le groupe.
Analyse de la raison de la conformité:
- une influence informationnelle (pour détermùiner notre position, on a besoin de la comparer à
c e l l e contre l’individu). S’il y a désaccord, et inversement.
- l’exercice d’une influence normative qui est liée au fait de la peur de la sanction du groupe, ou
de la récompense.
- elle se démarque d’une relation de dépendance (au contraire des deux autres) elle est basée sur
l’idée de dépendance au groupe, l’individu peut négocier sa conformité comme solution parmi
d’autres ( qui fait partie du groupe aussi).
Le processusd’innovation sotr de là. l’innovation suppose un mot de l’individu vers le groupe.
-L ’ o b é i s s a n c e : elle a lieu quand l’individu modifie son comportement pour se soumettre à l’ordre
d’une autorité légitime.
Il faut définir les facteurs de variation de l’obéissance:
- la proximité physique de la victime. (P44, book 2)
- le prestige plus ou moins grand de la source d’autorité
- les effets de groupe.
Les motifs de l’obéissance: ils surviennent lorsque le sujet devient ( rapport de subordina-
tion à la hiérarchie, perte ; perte de responsabilité par rapport à ses actes.
Innovation et influence des minorités.
La définition de Moscovic de l’innovation est :“comme un processus d’influence sociale ayant
généralement pour source une minorité ou un individu qui s’efforce d’introduire ou de créer des
idées nouvelles.
- définition de la minorité (ou source d’influence minoritaire): définition relative, la minorité se
définit de façon une petite fraction d’individus partageant des opinions qui diffèrent de
ceux que partagent la fraction la plus nombreuse.
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Qu’est-ce qui permet l’innovation pour Moscovic? Cette question engage les caractéristiques des
groupes concernés; c’est l’activité ou la du groupe qui dépend du fait qu’on a fait
d’un groupe o u .
C’est un groupe qui se constitue en tant que par opposition à un groupe dominant. C’est un grou-
pe qui n’est pas capable de ses propres règles. Il existe parce qu’il s’oppose.
Inversement, la a besion de se référer à la pour des études plus spécialisées
(socio-ppolitique de la famille, du travail, etc...)
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