La pourriture du bois - NRC Publications Archive

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NRC Publications Archive
Archives des publications du CNRC
La pourriture du bois
Baker, M. C.
Publisher’s version / Version de l'éditeur:
Digeste de la construction au Canada, 1972-09
NRC Publications Record / Notice d'Archives des publications de CNRC:
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Digeste de la Construction au Canada
Division des recherches en construction, Conseil national de
recherches Canada
CBD 111F
La pourriture du bois
Publié à l'origine en septembre 1972
M.C. Baker
Veuillez noter
Cette publication fait partie d'une série qui a cessé de paraître et qui est archivée en tant que
référence historique. Pour savoir si l'information contenue est toujours applicable aux pratiques
de construction actuelles, les lecteurs doivent prendre conseil auprès d'experts techniques et
juridiques.
On a retrouvé, dans les tombeaux d'anciens rois, des objets en bois parfaitement conservés, et
les charpentes de toit en bois ont souvent traversées les siècles sans se détériorer. On
rencontre aujourd'hui dans les maisons et les musées des instruments et des meubles aussi
solides et utilisables qu'ils l'étaient au moment de leur fabrication, il y a des siècles. Les
fondations sur pilotis, sur l'eau ou en terrain meuble, démontrent également la durabilité du
bois.
D'autre part, la Bible fait allusion à la lèpre des maisons, pourriture provoquée par les
champignons, ce qui prouve que le problèmes existe depuis que l'homme a appris à se servir
du bois comme matériau de construction. Aujourd'hui, de nombreux cas ont été portés à
l'attention de la Division des recherches en bâtiment, où des planchers et des toits de bois ont
été considérablement endommagés en aussi peu de temps que deux ou trois ans. Parfois,
lorsqu'on ne s'est pas aperçu à temps que la pourriture commençait à faire son oeuvre, la
destruction presque totale s'est effectuée en quelques années à peine. Il est généralement
difficile, voire impossible, de réparer les dommages causés; la seule solution reste à remplacer
complètement la partie touchée du bâtiment.
Le bois ne pourrit pas seulement parce qu'il est mouillé, mais parce qu'il est attaqué par les
champignons dans des conditions assez spéciales d'humidité et de température. La
désintégration ultime du bois, connue sous le nom de pourriture, est le résultat de l'action des
champignons sur les fibres du bois. 11 est nécessaire, pour prévenir la pourriture, de connaître
la nature des champignons qui attaquent le bois et les conditions nécessaires à leur croissance.
Il peut alors être possible de modifier certains facteurs ou de traiter le bois de manière à
prévenir la croissance des champignons.
Nature des Champignons
On considère généralement les champignons comme une classe particulière de plantes
excessivement nombreuses qui manifestent une grande diversité d'espèces et de formes, et
possèdent un pouvoir incroyable de prolifération. Le champignon est une plante sans
chlorophylle; contrairement aux végétaux verts, il est incapable de faire la synthèse du sucre et
de l'amidon à partir du gaz carbonique qui se trouve dans l'atmosphère. Les champignons se
nourrissent d'une grande variété de matières organiques qu'ils décomposent. Ils se
reproduisent par des corpuscules communément appelés spores, analogues aux graines des
plantes supérieures, mais beaucoup plus petites et habituellement beaucoup plus nombreuses.
Les spores qui tombent dans un milieu humide favorable germent un peu à la manière des
graines. La paroi de la spore éclate, donnant naissance à un filament minuscule, l'hyphe.
L'hyphe se ramifie et les filaments ténus s'infiltrent dans le sol, le compost ou le bois sur lequel
les hyphes croissent. Dans le cas des champignons destructeurs du bois, l'hyphe se répand au
travers du bois, désintègre les parois des cellules et réduit leur résistance. L'enchevêtrement
ou la masse compacte que forment les ramifications des hyphes constitue le mycélium,
communément appelé blanc. Si les hyphes s'agglutinent, les formations mycéliennes auront
l'aspect de cordons radicelliformes; si elles constituent une masse compacte, ces formations
auront plutôt l'aspect de couches épaisses.
Lorsque la croissance des champignons est assez avancée, et que ces derniers ont constitué un
mycélium suffisant, il se forme habituellement des corps germinatifs, parfois appelés
sporopores, à la surface du support, ayant l'aspect de champignons vénéneux, de tablettes
charnues ou ligneuses, ou de couches incrustées. Leur présence indique généralement un stade
assez avancé de pourriture du bois. C'est sur le corps germinatif que se forment les spores
nouvelles, et leur emplacement sur la surface externe leur permet de se libérer dans l'air afin
de compléter le cycle de croissance.
Le pouvoir de reproduction des champignons est fantastique si l'on considère qu'une surface
d'un pied carré de corps germinatif de champignon provoquant une pourriture sèche peut
produire cinq millions de spores par minute sur une période de plusieurs jours. Ces particules
microscopiques, tel des grains de poussière, s'échappent en nuage du corps germinatif mature,
et étant très légères, peuvent rester en suspension dans l'air et être charriées sur de fortes
distances. Par conséquent, selon toute vraisemblance, il y aura des spores de champignons
destructeurs du bois chaque fois qu'on utilisera du bois.
Conditions Favorables à la Croissance des Champignons
La pourriture du bois dépendra des conditions d'exposition plus ou moins favorables à la
croissance des champignons. La germination et la croissance sont conditionnées par cinq
facteurs principaux, et il serait normalement possible de prévenir la pourriture du bois, si l'on
élimine un seul de ces facteurs. En voici la liste:
1.
2.
3.
4.
5.
Source d'infection,
Support favorable (nourriture),
Quantité suffisante d'humidité,
Oxygène,
Température favorable.
Source d'infection
Si le bois infecté vient en contact avec du bois sain, la maladie se propagera au bois sain par
croissance normale des hyphes fongiques provenant du bois pourri, même sans production de
spores. L'infection peut également se propager directement du sol au bois en contact avec lui,
parce que la plupart des sols renferment une grande quantité de matières organiques
favorables à la croissance des organismes fongiques. Même s'il n'y a pas de contact entre le
bois sain et le matériau infecté, l'espace qui les sépare peut être relié par des spores véhiculées
par l'air, comme on l'a déjà indiqué. Bien que certains emplacements soient plus favorables à
l'infection que d'autres, il est presque certain qu'il y aura par-tout des spores de champignon
véhiculées par l'air.
Support
Le bois constitue un support favorable à la croissance des champignons; d'autre part, la
cellulose, la lignine et d'autres constituants des parois des cellules et des tissus du bois leur
procurent une nourriture appropriée. Certaines essences du bois sont naturellement plus
durables parce qu'elles renferment des substances toxiques aux champignons, et le coeur du
bois de ces essences ne sera attaqué que par certains champignons. Cependant, on peut
généralement supposer qu'il n'y a pas de bois à l'épreuve des attaques, s'il est placé dans des
conditions favorables à la croissance des champignons, tout en admettant que toutes les
essences de bois ne sont pas sujettes aux attaques au même degré. Il est possible d'éliminer la
source de nourriture en la traitant avec certaines substances toxiques aux champignons mais
inoffensives à l'homme et aux animaux. C'est le fondement du traitement de préservation du
bois.
Humidité
La croissance des champignons sur le bois dépend en grande partie du degré hygrométrique;
tous les champignons destructeurs du bois ne demandent pour leur croissance qu'une quantité
modérée d'eau. S'il n'y a pas assez d'humidité une fois la croissance est commencée, le
champignon ne mourra pas nécessairement, mais restera tout simplement inactif. La
croissance active peut recommencer, parfois des années plus tard, lorsque l'humidité sera
suffisante.
Il est nécessaire que le support soit humide et que l'humidité de l'atmosphère environnante soit
élevée pour faire germer les spores fongiques. Le bois renferme toujours une certaine quantité
d'eau; le bois séché à l'air peut en contenir jusqu'à 18 pour cent, bien qu'on considère
généralement qu'il est, dans ces conditions, immunisé contre l'attaque des champignons. Une
humidité de 35 à 50 pour cent est requise pour favoriser la croissance des champignons
destructeurs du bois, et celle-ci dépend de l'espèce de champignons et de l'essence du bois.
Les spores fongiques ne germent pas facilement sur un bois dont le degré hygrométrique est
inférieur au point de saturation des fibres, qui se maintient habituellement entre 25 et 30 pour
cent. On ne peut pas considérer, toutefois, que le bois est immunisé, tant que son degré
hygrométrique se maintient en deçà de 20 pour cent, comme c'est le cas dans la plupart des
bâtiments au Canada (CBD 85F et 86F). Lorsque bois à faible teneur en eau est mis en
oeuvre, des conditions subséquentes peuvent hausser l'hygrométrie en certains endroits, ce qui
peut favoriser la croissance des champignons. Une fois commencés, les champignons peuvent
produire une certaine quantité d'humidité par décomposition chimique du bois, et ainsi
augmenter le degré hygrométrique du bois, si la perte par évaporation est faible.
Oxygène
Tout champignon destructeur du bois a besoin d'air pour croître, et plusieurs espèces meurent
rapidement si elles en sont privées. Par conséquent, l'équilibre air-humidité dans les cellules du
bois est un élément des plus importants pour contrôler l'aptitude du bois à la pourriture. Les
champignons ont besoin d'oxygène pour oxyder les sucres, qu'ils utilisent pour croître et
comme source d'énergie. La décomposition des hydrates de carbone, par le processus de la
respiration, produit de l'eau et du gaz carbonique.
Si l'air n'est pas remplacé, le champignon meurt par suffocation due au gaz carbonique. Par
exemple, lorsque l'espace entre les cellules est complètement rempli d'eau, comme dans un
bois submergé dans l'eau, l'approvisionnement d'air est coupé et la croissance s'arrête. Un
corps enterré plus profondément que le niveau de la nappe phréatique sera similairement
coupé de tout approvisionnement d'air.
Température
La croissance des champignons destructeurs du bois est influencée par la température, tout
comme celle des plantes vertes ordinaires. Elle est plus rapide par temps chaud que par temps
froid. Cependant, les effets de la température se font sentir de diverses façons. Pour chaque
espèce, il y a une température idéale à laquelle les champignons croissent plus rapidement.
Des épreuves menées par les Laboratoires de produits forestiers et autres sur certaines
espèces de champignons communs au Canada indiquent que la température idéale pour le
croissance des champignons se situe entre 65°F et 95°F. La croissance est très faible, voire
inexistante, aux températures de congélation ou légèrement au-dessus de ce point, mais la
plupart des champignons destructeurs du bois ne sont pas détruits par les températures bien
au-dessous du point de congélation. Ils peuvent résister au froid de l'hiver à l'état dormant, et
reprendre leur croissance active lorsque les températures augmentent encore, si d'autres
conditions sont favorables.
Le rythme de croissance relentit à mesure que les températures s'élèvent au delà de 95°F, et
cesse pour la plupart des champignons à des températures légèrement supérieures à 100°F.
Une exposition à des températures légèrement supérieures au maximum de croissance, ou
même de brèves expositions à des températures bien au delà du maximum peuvent tuer
complètement le champignon. Le point de mortalité réel est influencé par la température, la
durée et le degré hygrométrique.
Par conséquent, la conclusion pratique est que la pourriture est plus marquée en été qu'en
hiver dans la plupart des endroits où l'on utilise du bois dans des éléments de construction.
Autres facteurs
Outre les facteurs essentiels qui favorisent la croissance des champignons destructeurs du bois,
il en existe d'autres qui peuvent exercer un certain effet. La lumière, par exemple, a
habituellement une influence retardatrice, et l'exposition à la lumière intense, comme en plein
soleil, peut tuer le mycélium de certaines espèces. La plupart des espèces ont une croissance
plus vigoureuse, sous une lumière tamisée, mais certaines ne se développent pas normalement
dans l'obscurité complète.
L'acidité et l'alcalinité du bois peuvent aussi avoir un effet. Presque tous les champignons
destructeurs du bois prolifèrent sur des matériaux légèrement acides, et très peu peuvent
tolérer un milieu alcalin. La croissance des champignons produit des acides organiques, ce qui
augmente l'acidité du bois. Cela peut constituer un facteur de corrosion des raccords
métalliques en contact avec le bois.
Le traitement du bois par des matériaux azotés stimule la croissance des champignons et sa
contamination par l'urine ou les excréments peut augmenter sa sensibilité à la pourriture.
Les Effets de la Pourriture
La décomposition du bois par les champignons se présente sous deux types principaux, qu'on
désigne souvent sous le nom de pourriture brune et pourriture blanche. Dans le cas de la
pourriture brune, la cellulose et les pentosans sont attaqués alors que la lignine reste plus ou
moins intacte. Cela fait foncer le bois, qui se contracte et fendille, formant des éclisses
cubiques ou oblongues qu'on peut facilement briser et effriter entre ses doigts en poudre
brune.
Dans le cas de la pourriture blanche, tous les constituants du bois, y compris la lignine,
peuvent être décomposés et utilisés par le champignon en croissance. La pourriture blanche ne
produit pas de fendillement, mais le bois devient plus pâle, parfois en poches ou en traînées de
dimensions variées, voisinant avec le bois sain, et peut éventuellement devenir une masse
blanchâtre fibreuse. Dans certains cas de pourriture blanche, toutefois, la cellulose peut
demeurer intacte.
Le bois pourri est moins dense que le bois sain; il peut subir une perte de résistance, même au
début de la pourriture; il peut se contracter excessivement au séchage, montrer un
changement de coloration et souvent un changement d'odeur. Lorsque le bois est rendu à un
état avancé de décomposition, il peut devenir mou et spongieux, fibreux, roulé, piqué ou
friable. La perte de poids du bois attaqué par la pourriture brune est d'environ 70 pour cent
étant donné que la lignine existe encore, mais dans le cas de la pourriture blanche, la
destruction totale est possible. Même une légère décomposition peut réduire la dureté ou la
résistance au choc du bois et causer un bris sous l'impact même s'il paraît encore dur et ferme
au toucher. Les champignons qui causent la pourriture brune amènent habituellement une
baisse plus rapide de la plupart des propriétés mécaniques que ceux qui causent la pourriture
blanche, mais les deux types réduisent la résistance au choc de tout bois qu'ils attaquent.
L'odeur fraîche et résineuse du bois sain fait ordinairement place à une odeur de champignon
distincte à mesure que le bois pourrit, et certains champignons qui causent la pourriture du
bois produisent des odeurs douceâtres ou aromatiques.
Types de Champignons
Les pathologistes du bois peuvent souvent identifier une espèce avec assez de certitude en
examinant la pourriture et tout corps fructifère, mais il peut être parfois difficile même pour des
spécialistes de faire une telle identification et de déterminer si les espèces sont actives ou non.
Il peut être nécessaire d'effectuer des travaux de laboratoire poussés. Il est essentiel de
consulter les experts pour les identifier d'une façon exacte, mais le constructeur doit être averti
en général des champignons qui peuvent entrer en jeu.
La Division des Laboratories des produits forestiers du Ministère canadien des forêts et de
l'expansion rurale énumère cinq types de champignons causant la pourriture des bâtiments qui
ont une certaine importance. Ce sont: Lenzites saepiaria, Lenzites trabea, Fomes roseus,
Lentinus lepideus et Merulius lachrymans. Ils peuvent tous être des agents actifs de destruction
du bois, en milieu humide, mais deux d'entre eux sont peut-être les plus communs. Le Lenzites
saepiaria est probablement le destructeur de bois tendre le plus actif et on l'a identifié dans
plusieurs toitures de bois détériorées au Canada. Le Merulius lachrymans, qu'on considère
parfois comme le véritable champignon responsable de la "pourriture sèche", cause des
dommages considérables aux bâtiments en Europe, et se rencontre assez fréquemment pourri
s'effrite facilement en poudre entre les doigts. Des corps fructifères se forment et prennent
l'apparence de crêpes sur les surfaces horizontales, mais sont étagés sur des surfaces
verticales. La surface des corps est dure et ridée, et sur cette surface se forme des millions de
spores rouges.
Des centres de prolifération du Merulius lachrymans, le champignon peut émettre des filaments
mycéliens qui transperceront la brique, le plâtre ou tout autre matériau de construction. Ces
filaments peuvent transporter de l'eau d'un endroit humide où le champignon s'est d'abord
établi au bois ayant une faible teneur en eau situé à quelque distance de là, humectant ainsi le
bois et favorisant la croissance d'autres champignons.
Conclusion
L'humidité est une des cinq conditions essentielles qui favorisent la croissance des
champignons. Elle devrait être la plus facile à contrôler. On enrayera la pourriture du bois si
l'on utilise en construction des matériaux secs et si l'on empêche l'humidité de s'étendre ou de
s'installer dans le bois de finition. On peut attribuer la présence d'humidité dans le bois d'un
bâtiment ou de certains éléments de construction au manque de considération apportée au
problème au moment de la conception, à un travail de mauvaise qualité au moment de la
construction, à des négligences d'entretien, ou la combinaison de ces facteurs. Afin d'empêcher
la croissance des champignons, le concepteur doit accorder une attention toute particulière à la
pénétration de la pluie dans les bâtiments, la ventilation et la condensation, problèmes traités
dans des digests précédents. L'entrepreneur devra veiller à la protection des matériaux contre
l'humidité et prendre soin des détails de construction pour éviter l'infiltration d'eau par les
ouvertures. Si la conception et la construction d'un bâtiment sont raisonnablement
satisfaisantes, l'entretien sera très facile, mais une fuite inaperçue du toit ou du système de
drainage peut être la cause de la présence d'humidité nécessaire à la pourriture. Il est donc
essentiel d'inspecter et d'entretenir régulièrement les bâtiments.
Lorsqu'on ne peut contrôler l'humidité ou que le bois ne peut être placé ailleurs que dans un
milieu humide, un traitement adéquat au moyen de préservatifs enrayera efficacement la
pourriture.
Bibliographie
1. Canadian Woods; their Properties and Uses. Canada, Forest Products Laboratories, Ottawa 1951.
2. Findlay, W. P. K. Dry Rot and Other Timber Troubles, London, Hutchinson, 1953.
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