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2011
Jalal Sakhan
[
E.C.G
]
Jalal Sakhan
Introduction :
Il a été dit « qu'un homme est un travail pièce».
La complexité de l'être humain corps et nos systèmes biologiques dépassent les
machines plus complexes que nous peut produire.
Notre système nerveux et les processus synaptiques ne sont toujours pas
pleinement compris par les scientifiques plus rusés.
Considérons le muscle cardiaque. Ce bit licat et complexe du tissu peut être
comparé à une pompe simple. Maintenant si nous prenons les moyennes, cette
pompe déplace environ deux et demi onces de liquide par battement de cœur. Si
nous supposons une fréquence cardiaque moyenne de 72 bats en une minute, notre
muscle cardiaque se déplace sur un gallon par minute, environ 1900 litres par jour,
plus de 700 000 litres par an. Si nous ce mener toute une vie, au moment nous
parvenir à soixante-dix ans notre cœur a pompé plus de 45 millions de litres ! Pas
mal pour un livre de la moitié de la pompe qui C'est la taille de votre poing ! Une
autre fonctionnalité fascinante du muscle cardiaque est sa capacité de continuer à
battre automatiquement, jour et jour sort, pour notre vie entière. Le cœur contient un
bâti en stimulateur cardiaque qui régule le rythme du muscle. Cela peut être ajusté
en le reste de notre système nerveux. Tous ces nerfs « tirant » causent une sortie
électrique que nous pouvons mesurer réellement.
Jetons un regard plus étroit sur le muscle cardiaque et son fonctionnement. Le
muscle cardiaque contient quatre chambres individuelles, avec service de gauche et
de droite et les ventricules qui contrat lorsque poussant le sang dans tout
l'organisme. Ce remplissage et pousser l'action est réalisée à l'aide spécialisée une
façon vannes. Il y a quatre de ces soupapes, un pour chaque chambre. Ces valves
permettre le sang quitter quand les contrats de chambre, puis laissez près la
Chambre pour garnir les sangs frais pour le prochain battement. Le côté droit du
cœur est consacrée au pompage la l'oxygène appauvri en sang les poumons. Après
les poumons ont oxygénés le sang Il est retourné à gauche du cœur l'on pompée
tout au long du corps.
Jalal Sakhan
Définition :
L’EC
G (Electrocardiographe) enregistre les variations des potentiels électriques de
l’appareil cardiaque (décharges produites lors des contractions du cœur).
Le capteur s’accompagne d’un ensemble contenant une centaine d’électrodes en
argent/chlorure d’argent
pouvant être placées sur la peau.
Le capteur comprend un boîtier électronique avec un câble de connexion pour le
relier à l’interface du multi
d’électrodes sont reliés au boîtier du capteur ECG du côté opposé au câble reliant
cette interface.
Le circuit électrique du capteur protège l’utilisateur des chocs électriques de deux
façons :
-
Le signal transmis au capteur voyage dans un ci
-
Un transformateur assure le transit de la puissance électrique au capteur.
Le circuit électrique protège des surtensions éventuelles à hauteur de 4000 volts.
Mode de fonctionnement :
Les cellules musculaires du
membranes cellulaires sont sujettes à des gradients de concentration en ions. Un
excès d’ions sodium à l’extérieur de la membrane engendre un surplus de charges
positives par rapport à l’intérieur de la
potentiel d’environ 90
millivolts
membrane. Cette différence de 90 mV est appelée potentiel au repos. Une
pouvant être placées sur la peau.
relier à l’interface du multi
-
enregistreur via un brochage de type DIN. Trois fil
Le signal transmis au capteur voyage dans un ci
rcuit optique d’isolation.
Mode de fonctionnement :
Les cellules musculaires du
cœur
sont polarisées au repos. Cela signifie que les
positives par rapport à l’intérieur de la
membrane. L’intérieur de la cellule est à un
millivolts
(mV) en moins par rapport à l’extérieur de la
G (Electrocardiographe) enregistre les variations des potentiels électriques de
l’appareil cardiaque (décharges produites lors des contractions du cœur).
Le capteur s’accompagne d’un ensemble contenant une centaine d’électrodes en
Le capteur comprend un boîtier électronique avec un câble de connexion pour le
enregistreur via un brochage de type DIN. Trois fil
es
d’électrodes sont reliés au boîtier du capteur ECG du côté opposé au câble reliant
Le circuit électrique du capteur protège l’utilisateur des chocs électriques de deux
rcuit optique d’isolation.
Un transformateur assure le transit de la puissance électrique au capteur.
Le circuit électrique protège des surtensions éventuelles à hauteur de 4000 volts.
sont polarisées au repos. Cela signifie que les
membranes cellulaires sont sujettes à des gradients de concentration en ions. Un
excès d’ions sodium à l’extérieur de la membrane engendre un surplus de charges
membrane. L’intérieur de la cellule est à un
(mV) en moins par rapport à l’extérieur de la
membrane. Cette différence de 90 mV est appelée potentiel au repos. Une
Jalal Sakhan
membrane cellulaire normale est relativement imperméable aux ions sodium.
Cependant, la stimulation d’une cellule musculaire cause un accroissement de sa
perméabilité au sodium. Les ions sodium migrent vers l’intérieur de la cellule grâce à
des canaux spécifiques au sodium. Cela engendre un changement (dépolarisation)
du champ électrique autour de la cellule. Ce changement du potentiel cellulaire du
négatif vers le positif et inversement est une impulsion électrique appelée potentiel
d’action cellulaire. Dans les cellules musculaires, le potentiel d’action engendre une
contraction musculaire. D’autres ions et molécules chargées sont impliqués dans la
dépolarisation et repolarisation du muscle cardiaque, à savoir le potassium, le
calcium, le chlore et des protéines chargées électriquement. L’ensemble des
potentiels d’action générés durant la dépolarisation et repolarisation du muscle
cardiaque peuvent être enregistrés par des électrodes placées à la surface de la
peau. Un enregistrement de l’activité électrique du cœur est appe : un
électrocardiogramme (ECG). La dépolarisation des cellules musculaires du cœur
déclenche une contraction.
Les cellules formant le système de conduction cardiaque dépolarisent spontanément.
Cette dépolarisation spontanée est mieux détectable dans un groupe de cellules du
muscle cardiaque situé dans la partie supérieur ure de l’oreillette droite. Ce groupe
de cellules est appelé : le stimulateur (également connu en tant que nœud sinusal ou
nœud SA). La dépolarisation du stimulateur génère un courant qui mène à la
dépolarisation de toutes les autres cellules cardiaques. L’onde dépolarisante voyage
de l’oreillette droite vers l’oreillette gauche assez rapidement pour que les deux
oreillettes se contractent, par essence, au même moment.
Les oreillettes et les ventricules sont isolés électriquement les uns des autres par des
tissus conjonctifs qui agissent comme l’isolant sur un fil électrique. La dépolarisation
des oreillettes n’affecte pas directement les ventricules. Il existe un autre groupe de
cellules dans l’oreillette droite appelé : nœud atrio-ventriculaire ou nœud AV, qui
mène la dépolarisation des oreillettes vers un faisceau de fibres conductrices
spécifiques (appelé faisceau de Hits) aux ventricules.
La paroi musculaire contient des fibres de Purkinje, un système spécifique de fibres
musculaires qui dirigent lapolarisation à toutes les parties des ventricules de
manière quasi-simultanée. Ce mécanisme engendre un court temps de retard, c’est
pourquoi un léger arrêt se produit après la contraction des oreillettes et avant la
contraction des ventricules. Comme les cellules cardiaques sont interconnectées,
Jalal Sakhan
cette onde depolarisation, la contraction et la repolarisation se répandent à
travers toutes les fibres musculaires de l’appareil cardiaque.
Lorsqu’une partie du cœur est polarisée et la partie contigüe dépolarisée, un courant
électrique se met à parcourir le corps. Ce courant est d’autant plus important
lorsqu’une moitié de la partie connectée du cœur est polarisée et que la partie
contigüe ne l’est pas.
Le courant décroît lorsque le ratio entre les tissus polarisés et non polarisés est
inférieur à un pour un. Les variations de ces courants peuvent être mesurés,
amplifiés et tracés en fonction du temps. L’ECG représente l’addition de tous les
potentiels d’action du cœur, captés en surface du corps. Il ne mesure pas les
contractions mécaniques du cœur de manière directe.
L’impulsion prenant naissance au nœud SA cause une contraction des oreillettes, ce
qui fait passer le sang dans les ventricules. Peu après cette contraction, les
ventricules se contractent à cause du signal qui leur parvient des oreillettes. Le sang
quitte les ventricules par l’aorte et les artères pulmonaires.
La polarité des cellules musculaires du cœur revient à la normale et le cycle
cardiaque recommence.
L'électrocardiogramme :
L'électrocardiogramme (ECGM) est une signature visuelle de l'activiélectrique du
cœur. Un tracé typique consiste en une série d'oscillations se déroulant lors de
cycles consécutifs. Ces oscillations se présentent à partir d'une ligne de base
appelée ligne isoélectrique. Toute déviation de cette ligne isoélectrique dénote une
activité électrique Les lettres P, Q, R, S et T désignent les cinq déviations principales
vues sur un ECGM. Un cycle cardiaque est représenté par un ensemble
d'oscillations commençant par l'onde P, suivie par l'onde composée QRS, et finissant
avec l'onde T.
L'onde P représente la polarisation des oreillettes et est associée à leur
contraction.
L'onde composée QRS comprend trois parties. La première déviation négative est
l'onde Q, suivie d'une déviation positive appelé onde R. L'onde composée se termine
par une déviation négative appelée onde S. L'onde composée QRS concerne la
dépolarisation des ventricules et est associée à leur contraction. La repolarisation
des oreillettes se roule pendant la dépolarisation des ventricules. Pour cette
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