dominic sonic

publicité
DOMINIC SONIC
DOSSIER DE PRESSE
Album «Phalanstere #7»
(Village Vert)
Sortie le 15 octobre 2007
Bureaux : 18 Rue St Marc 75002 Paris
Tél : 01 75 00 05 10 / Fax : 01 75 00 05 19
Infrarouge # 94 sept. 07
RENTRÉE EN NOUVEAUTÉS MUSICALES
L’ÉTÉ, C’EST LE MEILLEUR MOMENT POUR ÉCOUTER DE LA MUSIQUE, REVENIR SUR LES ALBUMS SORTIS ET TESTER
LES DISQUES QUI SORTENT À LA RENTRÉE. PANORAMA TOTALEMENT SUBJECTIF DES NOUVEAUTÉS ET AUTRES
RÉJOUISSANCES À VENIR.
LES DERNIERES CHRONIQUES...
(le 21/11/2007 à 00h04)
CAFZIC
DOMINIC SONIC « Phalanstère #7 » (Le Village Vert)
Pfiou ! Ca faisait un bail… DOMINIC SONIC découvert pour ma part via les stocks du
CAFEMUSIC’ revient 6-7 ans après, la curiosité aidant le CD arrive sur ma platine après un
emprunt…toujours dans les mêmes bacs. Avant de le ramener, cette petite chronique
s’impose…Album vraiment original, super énergique avec un max d’expérimentations, des
variations étonnantes et des rythmes de folie le tout de manière assez minimaliste. Quelques
ovnis au milieu où le rythme se pose comme « Je suis comme un chat », étonnant alors
qu’on avait débuté via de l’électro-rock bien plus dansant de « Down and low » et « Fuel ».
Par moment ça m’a rappelé ULTRA ORANGE. Si je ne suis pas toujours fan de ce son, c’est
quand même suffisamment original pour intercepter n’importe quel amateur actuel postpunk, écoutez donc « Blush » où sont donc les BLOC PARTY, les RADIO 4, DOMINIC
SONIC était là bien avant, qu’ils se mettent à genoux et vite… Par contre la pochette est
super moche ! ! ! Comme quoi l’expérience ne paye pas toujours…
DOMINIC SONIC: dominicsonic.free.fr.
Dominic Sonic - Phalanstere #7
2007 – 11 titres – 40’57
Style : Rock
Label : Le Village vert / Wagram
C’est un long long chemin que vient de
parcourir Dominic Sonic pour revenir
d’entre les morts (ou plus précisément les
licenciés d’Universal). Phalanstere #7, le
cinquième album du chanteur breton,
marque véritablement sa résurrection, tout
juste 20 ans apres ses premiers pas en
solo (de 79 à 87, il oeuvrait au sein de
Kalashnikov déjà alors). Un CV long
comme le bras, des collabarations aussi
prestigieuses que celles de Bashung,
Cantat, John Frayer ou des Stooges,
Dominic Sonic n’a jamais vraiment
côtoyé le succès de trop près. Son talent a
pourtant toujours été grand et reconnu par
ses pairs.
Ce nouvel album s’oriente vers des titres
majoritairement en anglais, comme à ses
débuts et, comme pour dire merde à
l’industrie française du disque et en
particulier à Pascal Nègre, pour qui, il doit
vouer une rancoeur certaine.
Son premier single, Down and Low, utilise
guitares et machines programmables.
Note : 8.5/10
Le son est très rock, efficace, sans jouer
dans la modernité absolue. C’est d’ailleurs
avec ce même compromis que Dominic
Sonic poursuit l’album avec le titre Fuel.
Par la suite, l’album s’oriente Rock, Rock
et encore Rock, toutes guitares devant. Un
second single potentiel J’ai dû rêver, en
milieu d’album, renoue avec ses plus
récentes productions, celles « des
Leurres » (et des tromperies). La plus
belle de tous les hommes continue sur
cette piste, allant même replonger dans
nos plus profonds souvenirs de la grande
époque de La folle de Saint Lunaire.
Malgré les galères discographiques,
Dominic Sonic sort en 2007 la tête de l’eau
et ne baissant ni les bras ni sa culotte,
reprend son chemin de croix indie, comme
si de rien n’était.
Un retour aussi inattendu qu’inespéré pour
un album riche et puissant, sans
concession aucune.
dominicsonic.free.fr
Sortie le 15 Octobre 2007
Mike S.
LIKESUNDAY.COM
DOMINIC SONIC
sampler promo 4 titres (Le Village Vert)
posté le vendredi 27 juillet 2007
Avant Miossec, il y eut Sonic. Aucun rapport, si ce n’est la localisation bretonne.
Sauf que Sonic vient de Rennes et que ça change tout. C’est un peu notre Ronnie
Bird des années 80 : l’amour du rock et l’oubli. Et pourtant se pavaner aujourd’hui
sur les Kills, c’est déjà avoir un pied chez Dominic. Car l’homme, au milieu de tout
ce rock’n’roll actif des 80’s (l ’alterno en masse, le revival garage et la vague
australienne) se rangeait déjà mal dans les casiers musicaux, alternant l’électricité et
l’acoustique, la classe froide plutôt que la déjanterie, tantôt du côté de Thunders,
tantôt Stooges, un coup Velvet, un coup Suicide. Suicide car Sonic avait
commencé en enregistrant avec une boite à rythme, continuant après sa signature
sur le label belge (Crammed) à alterner machines et guitare « sèche ».
En 89 son album « Cold Tears » lui aura ouvert les portes des radios et du public.
Plus tard « à s’ y méprendre » sera en rotation dans toutes les bonnes stations
locales. Et puis Universal rachetera tout et remerciera les indé (pendants/sirables).
Et ensuite...
J’ai lu que Sonic avait été invité par les Stooges en 2002 et qu’il revenait d’un an et
demi en tant que backliner de Deportivo, qu’il préparait une pièce de théâtre, un
DVD, un album.
Est arrivé ce maxi et rien n’à changé (si ce n’est ma journée qui débutait bien), cette
« nonchalance racée », cette voix sombre, ce minimalisme puissant, tout est là.
On pardonnera le remix de « When my tears run cold » qui n’apporte rien si ce
n’est l’envie de se repasser l’original et on attend Aôut pour la sortie de l’album.
Sonic revient (de loin) mais il semble qu’il puisse encore en remontrer à certains.
www.myspace.com/dominicsonic
le Blob (Morlock)
HEXALIVE – Sept.07
Dominic Sonic - Phalanstere #7
Genre: Rock / Electro / Punk
« Phalanstère #7 », nouvel album de Dominic Sonic a été enregistré à Rennes avec
les membres de l'ancien combo Sonic Machine : Patrick Sourimant (guitares, basses,
claviers, machines diverses, arrangements, chœurs), Franck Haurel (guitares,
arrangements), Yves-André Lefeuvre (batteries, arrangements) entre février et
avril 2007. Le mixage revient à Mick Prima, également ingénieur du son live du
groupe.
L'album comprend de nouvelles compositions aux teintes électro-rock, arrangées à grand renfort de sons et
instruments vintage. D'autres compositions sont plus anciennes mais ont été réarrangées par Patrick
Sourimant. L'enregistrement s'est déroulé de manière très libre et ouverte, chaque musicien ayant accès à
tous les instruments à sa disposition.
Ainsi tout le monde a cherché des arrangements, qu'ils soient de batterie, de cordes, de percussions, de
claviers, de guitares, de basses et de voix. Aucune règle ne venant brider les idées, la décision finale quant
aux choix s'est prise en groupe.
Il en résulte une cohérence sonore entre tous les morceaux. Cet album est donc le premier que l'on pourrait
qualifier d'album de groupe. Pour confirmer ce choix, les musiciens ont choisi de co-signer toutes les
chansons à quatre quelque fut le compositeur à la base.
Cette méthode fait évoluer la musique de Dominic Sonic vers des univers très actuels tout en préservant
cette « patte » qui lui a toujours été particulière.
Alternant des morceaux en anglais et en français axés sur des riffs de guitare très efficaces, l'album
comporte quelques morceaux plus lents dont deux ballades « Je suis comme un chat » (composé avec l'ami
Chris Georgelin) et « Mother » (une reprise de John Lennon).
L'album comprend de nouvelles compositions aux teintes électro-rock, arrangées à grand renfort de sons et
instruments vintage. D'autres compositions sont plus anciennes mais ont été réarrangées par Patrick
Sourimant. L'enregistrement s'est déroulé de manière très libre et ouverte, chaque musicien ayant accès à
tous les instruments à sa disposition.
Ainsi tout le monde a cherché des arrangements, qu'ils soient de batterie, de cordes, de percussions, de
claviers, de guitares, de basses et de voix. Aucune règle ne venant brider les idées, la décision finale quant
aux choix s'est prise en groupe.
Il en résulte une cohérence sonore entre tous les morceaux. Cet album est donc le premier que l'on pourrait
qualifier d'album de groupe. Pour confirmer ce choix, les musiciens ont choisi de co-signer toutes les
chansons à quatre quelque fut le compositeur à la base.
Cette méthode fait évoluer la musique de Dominic Sonic vers des univers très actuels tout en préservant
cette « patte » qui lui a toujours été particulière.
Alternant des morceaux en anglais et en français axés sur des riffs de guitare très efficaces, l'album
comporte quelques morceaux plus lents dont deux ballades « Je suis comme un chat » (composé avec l'ami
Chris Georgelin) et « Mother » (une reprise de John Lennon).
Chronique
Dominic Sonic n'en est pas à son coup d'essai. Son nom est associé à quelques grands noms, presque
références de la scène indépendante depuis les années 80 : ex-Kalashnikov, ex-crammed discs, ayant
collaboré avec Pierre Corneau, Bertrand Cantat, Blaine Reninger (Tuxedomoon), Frédéric Renaud (Marquis
de Sade, les nus)...
Cet album pourrait être considéré comme son cinquième opus, si l'on exclut quelques singles et mini albums.
Autant dire que le bonhomme se fait assez rare. Il nous livre un CD assez remarquable de cohérence, du bon
rock puissant et presque académique, si ce n'est que le son et les voix bénéficient d'un traitement assez
actuel. Les morceaux sont construits intelligemment, ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas un instant.
On pense à Love and Rockets assez souvent, on se rapelle la bonne époque, et on se dit que Dominic Sonic
fait du bon travail, reste fidèle à ses amours musicales et nous livre des chansons bien râpeuses, sans
artifices de composition, et qu'on l'aime bien dans ce registre "pêchu", surtout quand vient la fin de l'album
avec une ballade peu convaincante et trop prévisible : la grande qualité de ce disque réside dans son
énergie, une énergie sincère, contagieuse et respectable.
Julien Ash
Téléchargement