Remerciements
AU DEBUT DE TOUTE HISTOIRE, il y a un commencement, et au commencement de
celle-ci, il y a Mme Annie Bertin. En effet, cette thèse n’aurait jamais vu le jour sans Mme
Bertin, ma directrice de thèse, qui m’y a invitée, incitée, encouragée. Qui a su éclairer ma
route et me conduire sur de nouvelles pistes, toujours plus passionnantes. Qui a su se
rendre disponible et à l’écoute de mes questions. Et surtout qui y a cru, quand moi-même je
n’y croyais plus. Pour tout cela, et pour tout le reste qui n’a pas été dit, je remercie Mme
Bertin, et j’espère que cette collaboration passée n’était que les prémisses de celles à venir.
Je tiens également à remercier chaleureusement Mme Gerda Haßler, ma co-directrice de
thèse, pour sa constante disponibilité, ses précieux conseils et sa grande patience, ce fut un
réel plaisir de travailler ensemble, et j’espère que cela aura l’occasion de se représenter. Je
remercie Bernard Combettes, Sylvain Kahane et Peter Koch d’avoir accepté de faire partie
de mon jury de thèse, ce dont je suis très honorée. Je remercie en outre Bernard Combettes
de s’être toujours montré ouvert à la discussion, en diverses occasions. Je tiens à remercier
tout particulièrement Sylvain Kahane pour les nombreuses occasions que nous avons eu
d’échanger nos points de vue, occasions qui, je l’espère, évolueront vers davantage de
collaborations, ainsi que pour ses relectures et nombreuses suggestions, exigeantes et
critiques. Je remercie également l’École Doctorale 139 et l’Université Paris Ouest Nanterre
La Défense qui ont permis la réalisation de cette thèse dans le cadre d’un contrat
d’allocataire de recherche et l’École Doctorale Franco-allemande dans le cadre de laquelle
cette thèse a pu s’inscrire en co-tutelle avec l’Université de Potsdam.
UNE HISTOIRE NE PEUT GRANDIR SANS ARRIERE-PLAN, qui marquera son évolution.
Je remercie ainsi les enseignants de l’Université Paris Ouest Nanterre et mes collègues du
laboratoire MoDyCo pour m’avoir formée, accompagnée, encouragée, conseillée, (et
supportée !) tout au long de ces années, et en particulier D. Leeman, C. Noyau, J.-L. Minel,
M.-L. Elalouf, pour m’avoir, à un moment ou un autre, apporté une aide particulière, A.
Delaveau et S. de Voguë, pour mes premiers cours de syntaxe et de linguistique, dont je
me souviendrai encore longtemps, et Isabelle Weill, pour m’avoir, un jour, suggéré de
travailler sur cet objet étrange, la parataxe.
UNE HISTOIRE NE PEUT SE DEROULER SANS RENCONTRES, et c’est de ces rencontres
mêmes qu’elle prendra sa forme. Je ne saurais comment remercier assez, dans ces quelques
lignes, Mathieu Avanzi, Christophe Benzitoun et Cécile Barbet, qui m’ont toujours incitée
à plus de doutes, m’ont toujours amenée à plus de remises en question, et particulièrement
Christophe, qui a toujours su poser les bonnes questions, auxquelles cette thèse cherche à