ORIENTATION20160303Liège19477
- Utiliser la police « arial 14 » avec un interligne de 1,5 pour les feuilles et les manuels
scolaires, et ne pas utiliser le verso des documents afin de faciliter les apprentissages.
- Organiser le temps d’apprentissage de façon plus souple.
- Créer des classes de 15 à 18 élèves cogérées par deux enseignants en même temps.
- Fusionner les réseaux afin de diminuer les couts de l’enseignement.
- Revoir la formation initiale.
- Développer des modules de formation continue sur « comment on apprend ? ».
- Privilégier les examens oraux pour pouvoir aider plus facilement les élèves en
difficulté ;
- Rendre l’intégration dans l’enseignement ordinaire plus accessible pour des élèves
ayant des troubles d’apprentissage, et donc diminuer les formalités administratives
nécessaires pour ce faire.
- Supprimer le mot « trouble » car il n’est pas adéquat (voir point 1).
- Rendre l’enfant « acteur » de ses apprentissages et l’observer davantage afin de
comprendre comment il apprend.
- Développer l’accompagnement global des élèves (logopèdes, éducateurs, artistes,
artisans…)
- Ne pas multiplier les supports visuels et les affichages dans la classe c’est-à-dire
éviter de mettre en évidence ce qui n’est pas essentiel aux apprentissages, qui
détourne l’attention de l’élève ou bien qui se détourne de l’objectif d’apprentissage
visé.
- Apprendre aux élèves à réaliser des tables de matières avec les objectifs de travail, à
réaliser des « arbres de compétences » (cartes mentales), à utiliser le « mind
mapping ».
- Développer la collaboration entre parents, enseignants, élèves et personnel
spécialisé (logopède, psychologue,….) avec l’aide d’un médiateur extérieur si
nécessaire.
- Mettre à la disposition des élèves tous les supports existant tels que logiciels,
tablettes, programmes, ordinateurs…)
- Accepter d’adapter les consignes en fonction des difficultés, des « dys » de l’élève.
- Proposer le même type de consigne pendant les cours et lors des évaluations. Créer
un lexique de consignes avec les élèves afin de faciliter leur compréhension des
consignes et enrichir leur vocabulaire.
- Ne pas regrouper les « dys » dans une même classe, il faut garder des classes
hétérogènes.
- Développer un investissement plus important de l’Ecole face à ces élèves en
difficulté.