Plus fort que le phosphate sérique! Phosphonorm Chélateurs du phosphate ® Le traitement individuel Principe actif: aluminium hydroxydatum chloratum hydratum 300 mg Rapide et efficace! Phosphatémie difficile à contrôler • Patient peu sensible à l’importance de l’alimentation • Peu intéressé • Problèmes de compréhension Phosphonorm® donne un contrôle rapide du phosphate sérique chez vos patients! Avec Phosphonorm® , vous aidez le patient dialysé à atteindre rapidement une phosphatémie conforme aux objectifs des KDOQI. Phosphonorm® vous offre en plus Valeurs stables de phosphatémie • Patient très sensible à l’importance de l’alimentation • Coopératif Bon pronostic Pronostic moyen • Nécessité d’une diminution efficace du phosphate • Calcium sérique normal à bas • Il faut s’attendre à une prise irrégulière des médicaments • La résorption est un problème d’importance secondaire • • • • Patient nouvellement dialysé Calcium sérique normal à bas Faible risque de calcification des vaisseaux Pronostic moyen car antécédents médicaux multiples • Bon pronostic, p. ex. avant une transplantation • Réduire au minimum le risque de calcification des vaisseaux • Le bénéfice justifie un coût plus élevé l’avantage d’une observance optimale pour une meilleure sécurité thérapeutique. Aluminium Acétate de calcium Acétate de calcium Carbonate de calcium Lanthane Sevelamer Aluminium • Diminution efficace du phosphate • Traitement sûr • Des coûts journaliers diminués • Efficace – même sous blocage de la sécrétion acide Baisse rapide! • Calcium sérique élevé • Réduire au minimum le risque de calcification des vaisseaux • Grand nombre de comprimés pour des hautes valeurs de phosphatémie sans calcium Lanthane Aluminium Sevelamer «Un très bon point pour Phosphonorm®!» Salmon Pharma GmbH St. Jakobs-Strasse 90 CH-4002 Basel Tel. + 41-61-313.79.65 Fax + 41-61-313.79.66 [email protected] Phosphonorm® C: Aluminium hydroxydatum chloratum hydratum 300 mg. I: diminution de la résorption du phosphate en cas d’insuffisance rénale avancée avec hyperphosphatémie et hyperparathyroïdie secondaire en tant que traitement initial de l’hyperphosphatémie jusqu’à normalisation du phosphate sérique (puis poursuite du traitement par des chélateurs de phosphate à base de calcium), ou en tant que traitement combiné par des chélateurs de phosphate à base de calcium lorsque la diminution du taux de phosphate est insuffisante avec une monothérapie par des sels de calcium, ou en tant que traitement lors d’une hypercalcémie concomitante. P: elle doit être déterminée en fonction du taux de phosphate sérique et du nombre de repas ainsi que de leur teneur en phosphate. En général, la posologie et de 3 à 6 capsules par jour. A avaler sans les croquer, la prise étant réparties sur la journée peu avant les repas. CI: hypophosphatémie, signes d’intoxication à l’aluminium (ostéomalacie des dialysés, dialyse, encéphalopathie, anémie microcytaire hypochrome associée à l’aluminium), nourrissons (moins d’un mois), constipation, sténose colique connue, hypersensibilité à l’un des composants. MG: surveillance du taux plasmatique d’aluminium, détermination de la teneur en aluminium des os tous les 6 mois, examens neurologiques réguliers (y compris EEG), afin de reconnaître précocement un début d’intoxication à l’aluminium. Chez les enfants en bas âge (de 28 jours à 23 mois), l’administration de Phosphonorm n’est justifiée que si une diminution satisfaisante du taux sérique de phosphate n’a pas pu être atteinte par d’autres moyens. Des contrôles fréquents sont indispensables. Ne doit être administré durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Le principe actif passant dans le lait maternel, Phosphonorm ne devrait pas être administré pendant l’allaitement. EI: constipation, occlusion intestinale, augmentation du taux sérique d’aluminium, formation de dépôts d’aluminium dans les tissus osseux et nerveux, intoxication manifeste à l’aluminium avec ostéomalacie, encéphalopathie (symptômes caractéristiques: troubles de l’élocution, troubles de la coordination motrice, diminution des capacités mentales (allant de troubles de la concentration jusqu’à la démence), crises convulsives (souvent myoclonies, plus rarement crises tonico-cloniques), psychoses toxiques avec hallucinations et délire), anémie microcytaire hypochrome, myopathie proximale, ostéomalacie fréquente en cas d’insuffisance rénale terminale (ostéomalacie des dialysés, douleurs osseuses persistantes, fractures spontanées). IA: tétracyclines, antibiotiques de type quinolones (inhibiteurs de la gyrase), p. ex. ciprofloxacine et ofloxacine, digoxine, captopril, cimétidine, ranitidine, famotidine, théophylline, propranolol, aténolol, kétoconazole, acide chénodésoxycholique, chlorpromazine, sels de fer, acide citrique, citrates (p. ex. citrate de calcium en tant que chélateur du phosphate), jus de fruits, vin. P: emballages à 100 capsules. Liste B. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le Compendium Suisse des Médicaments (www.kompendium.ch). Salmon Pharma GmbH, Bâle. 12/03 Acétate de Calcium Salmon Pharma 500 mg C: 500 mg d’acétate de calcium. I: hyperphosphatémie d’origine rénale. P: elle doit être déterminée en fonction du taux de phosphate et doit être ajustée individuellement pour chaque patient. Recommandation: commencer par une dose initiale journalière de l’ordre de 1 000 mg de calcium (corresp. à 8 comprimés d’Acétate de Calcium), puis ajustement selon le taux de phosphate sérique désiré pour le patient. Les capsules doivent être avalées sans être croquées, la prise étant réparties sur la journée lors des repas. CI: hypercalcémie, hypophosphatémie, calculs rénaux contenant du calcium, traitement par la vitamine D3, hypersensibilité aux composants du produit. MG: en raison du risque d’hypercalcémie, une surveillance étroite (au début 2x par semaine) de la concentration sérique de calcium s’impose. Chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique, une hypercalcémie due aux apports alimentaires de calcium peut apparaître. Aucune autre préparation contenant du calcium ne doit être prise pendant le traitement par Acétate de Calcium. Lorsqu’un traitement prolongé par Acétate de Calcium s’avère nécessaire chez un insuffisant rénal chronique, notamment en cas d’administration concomitante de préparations de vitamine D, les taux sériques de phosphate et de calcium doivent être contrôlés. L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été étudiées chez l’enfant et l’adolescent. Il n’existe pas de données cliniques concernant l’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement. La prudence est de mise en cas d’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement. EI: hypercalcémie. Hypercalcémie légère: asymptomatique ou faiblesse musculaire et douleurs gastro-intestinales telles que douleurs abdominales, constipation, nausées, vomissements. Hypercalcémie persistante et grave: troubles de l’état de conscience (p. ex. léthargie, et dans des cas extrêmes, confusion, stupeur et coma). IA: ergocalciférol (vit. D2), cholécalciférol (vit. D3), calcitriol, alfacalcidol, bisphosphonates, hormones thyroïdiennes, tétracyclines, céphalosporines, quinolones telles que ciprofloxacine et norfloxacine, préparations administrées par voie orale de fluorure, d’estramustine ou de fer, kétoconazole, glucosides cardiotoniques. P: emballages à 100 comprimés pelliculés. Liste B. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le Compendium Suisse des Médicaments (www.kompendium.ch). Salmon Pharma GmbH, Bâle. 01/09 AcetaPhos® 750 mg C: 750 mg d’acétate de calcium. I: Hyperphosphatémie d’origine rénale. P: Doit être adapté en fonction des taux de phosphate et doit être ajusté individuellement chez chaque patient. Recommandation: dose journalière initiale d’env. 5 comprimés d’AcetaPhos® 750 mg. Ceci correspond à env. 1000 mg de Ca++. Les doses peuvent ensuite être adaptées chez le patient jusqu’à l’obtention du taux de phosphate sérique souhaité. Prise des comprimés sans les croquer, avec les repas, en les répartissant sur la journée. CI: Hypercalcémie, hypophosphatémie, calculs rénaux contenant du calcium, traitement par la vitamine D3, hypersensibilité à l’un des composants du produit. Pr: En raison du danger d’hypercalcémie, surveillance étroite (2 fois par semaine au début) des taux sériques de calcium. Les patients souffrant d’insuffisance rénale chronique peuvent développer une hypercalcémie due à l’apport de calcium par la nourriture. Prise d’aucune autre préparation contenant du calcium pendant le traitement par l’acétate de calcium. Lorsqu’un traitement au long cours par l’acétate de calcium est requis au cours d’une insuffisance rénale chronique, les taux sériques de calcium et de phosphate doivent être contrôlés, en particulier en cas de traitement concomitant par des produits contenant de la vitamine D. Efficacité et sécurité non étudiées chez l’enfant et l’adolescent. Aucune donnée clinique concernant l’emploi pendant la grossesse et l’allaitement. Prudence requise en cas d’utilisation chez des femmes enceintes et qui allaitent. EI: Hypercalcémie; hypercalcémie légère: asymptomatique ou faiblesse musculaire et troubles gastro-intestinaux tels que douleurs abdominales, constipation, nausées et vomissements. Hypercalcémie prolongée et sévère: troubles de la conscience possibles (p. ex. léthargie, dans les cas extrêmes, également confusion, stupeur et coma). IA: Ergocalciférol (vitamine D2), cholécalciférol (vitamine D3), calcitriol, alfacalcidol, biphosphonates, hormones thyroïdiennes, tétracyclines, céphalosporines, quinolones telles que ciprofloxacine et norfloxacine, produits contenant du fluorure, de l’estramustine ou du fer par voie orale, kétoconazole, glucosides cardiotoniques. P: Emballages de 100 comp. pelliculés. Liste B. Pour de plus amples informations, consulter le Compendium Suisse des Médicaments (www.kompendium.ch). Salmon Pharma GmbH, Bâle 10/09 Carbonate de calcium Salmon Pharma 500 mg C: Calcii carbonas 500 mg. I: hyperphosphatémie dans l’insuffisance rénale chronique, en particulier chez les patients sous dialyse. P: elle doit être déterminée en fonction du taux de phosphate et doit être ajustée individuellement pour chaque patient. Recommandation: commencer par une dose journalière initiale de l’ordre de 1 200 mg de calcium (corresp. à 3 g de Carbonate de calcium soit 6 comprimés de Carbonate de calcium), puis ajustement selon le taux de phosphate sérique désiré pour le patient. Les capsules doivent être avalées sans être croquées, la prise étant réparties sur la journée lors des repas. Les données sont insuffisantes pour formuler des recommandations posologiques chez l’enfant ou l’adolescent. CI: hypercalcémie, hypophosphatémie, vitamine D3, hypersensibilité à l’un des composants du produit. MG: patients avec ulcère gastrique. En raison du risque d’hypercalcémie, une surveillance étroite (au début 2x par semaine) de la concentration sérique de calcium s’impose. Utilisation restreinte chez l’enfant et l’adolescent du fait de l’insuffisance des données. EI: constipation, sécrétion d’acide gastrique réactionnelle («acid rebound»), ballonnements gastriques, éructations, hypercalcémie, alcalose métabolique. IA: ergocalciférol (vit. D2), cholécalciférol (vit. D3), calcitriol, alfacalcidol, tétracyclines, préparations de fer administrées par voie orale, kétoconazole, glucosides cardiotoniques, dérivés hydroxylés de la vitamine D. P: emballages à 100 comprimés. Liste B. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le Compendium Suisse des Médicaments (www.kompendium. ch). Salmon Pharma GmbH, Bâle. 02/08