— 5 —
introduction
Cet ouvrage expose les grands secrets de la subversion et des révolutions qui ont
renversé les gouvernements patriotes civils ou militaires qui ont surgi dans le monde,
pour empêcher que leurs pays ne tombent dans l’anarchie, le chaos ou l’esclavage tota-
litaire collectiviste, dissimulés sous le masque du socialisme ou du communisme.
L’exposé de ces grands secrets donnera à ces gouvernements patriotes et à leurs
chefs militaires et policiers, ainsi qu’aux peuples menacés par cette grande fraude,
la connaissance profonde des tactiques occultes qu’em ploie surtout le Super Secret
Révolutionnaire, pour renverser ces régimes, ainsi que de l’aide mondiale sur laquelle
comptent les agents de la subversion et de la révolution.
Le principal succès de ces deux manœuvres a consisté depuis des siècles à dissimu-
ler la tête secrète de ces mouvements subversifs ; tête dont par malheur actuellement
la majorité des gouvernements patriotes, choisis par elle comme victimes, ignorent la
nature et l’origine. Ne sachant pas qui est la tête, ils s’abstiennent de la combattre.
Ceci entraîne comme conséquence que les gouvernements patriotes — tout en
détruisant pour un moment quelques tentacules de la pieuvre, et en paciant le pays
pendant quelques années — ne peuvent empêcher que la tête de la pieuvre, qu’ils n’ont
pas détruite, ni même combattue, puisse reformer ses tentacules, le moment venu,
pour détruire le gouvernement ignorant et naïf, qui l’a laissée vivre.
Les anciennes monarchies, française, russe, allemande, espagnole, portugaise et
autres ont pu écraser des révolutions et se maintenir, au moins tant qu’elles attaquèrent
et détruisirent en partie la tête de la pieuvre qu’elles connaissaient, mais comme la
plupart la laissèrent subsister, celle-ci nit par renverser ces monarchies au cours des
siècles, en assassinant des millions d’hommes et parfois de femmes et d’enfants, les
criminels de la secte secrète à laquelle nous nous référons.
Dans le seul empire russe, cette secte, dirigée par le gouvernement soviétique, a as-
sassiné en temps de paix soixante millions d’habitants de l’ancien empire russe, comme
nous en informe Alexandre Soljenitsyne, dans son ouvrage L’Archipel du Goulag.