Au dessus du toit, un lanternon qui couvre la partie centrale du toit de la coupole, signifiant qu'il y a un
oculus central au sommet de la coupole.
Les supports architecturaux sur le mur et le dallage signale la structuration de l'édifice. Travée centrale
dans l'axe de laquelle est aménagée la salle carrée. Chaque dallage est aligné avec des pilastre corinthien,
plaqués contre les murs, et on vois aussi les travées latérales (voir plan)
Contraste de matière et de couleur entre les murs enduits et peints et les éléments d'ordres réalisés dans du grès
local, gris, nommé la "Pietra Serena" (utilisé au début du quattrocento au début). Correspond à une architecture
qui répond à des critères précis en termes de géométrie.
La coupole principale se développe sur la travée centrale et les deux travées latérales. (on le vois grâce aux
pendentifs.
Quelques éléments colorés : médaillons
Dans les pendentifs de la coupole principale ils représentent les 4 évangélistes (nouveau testament)
Au sommet de chaque travée des murs qui représentent les apôtres du christ et qui sont figurés avec les
attributs qui permettent de les identifier.
Il y a trois grandes sources : littéraires (dans les récits des philosophes, épopées, …), la mythologie antique, la
source chrétienne (bible, évangiles, … ). Il faut des clefs de représentation pour identifier ces différents
éléments.
En général on utilise des attributs. L'auréole est une marque visuelle pour signifier la sainteté du personnage. Le
livre est la référence à son Evangile. La présence d'un lion indique St Marc. Un ange indique St Mathieu.
Médaillons en terre cuite vernissés, réalisé par la famille Della Robbia (sculpteurs). C'est un des descendant qui
est venu en France réaliser des décors identique.
Au dessus de la gallerie, une voûte en bercau avec des caissons décoratifs pleins de motifs floraux
=> Grand développement dans la conception mais aussi dans le soin au décors.
Alberti
1404-1472, théoricien de l'architecture, qui à une incidence majeure sur le cour de l'architecture du XV en
Italie. Il donne des plans de bâtiments mais ne dirige pas les chantiers de construction.
Le temple Malatesta
Édifice cultuel pour les hommes illustre d'Italie, projet ambitieuse pas fini. Transformation d'église en tombeau
effectuée par Alberti en utilisant tout le nouveau vocabulaire de l'architecture. Avec des emprunts de
l'architecture antique facilement identifiables.
Au départ, une façade sur 2 niveaux. Le premier niveau est achevé, avec une sous bassement imposant, qui
support 4 colonnes canelées. 3 través. UN entablement. Des travées. Un aménagement d'arcades. Dans les
travées latérales des arcades en plein cintre aveugles (elles sont fermées). Devant il devait y avoir les
sarcophages des époux. Au dessus des arcs, des occulis percés dans les écoinçons. Dans la travées centrale,
absence du sous-bassement, et l'entrée de l'église est au niveau du sol. Un arcade en plein cintre, profonde, qui
fait une arche. A l'intérieur se trouve la porte, rectangulaire, surmontée d'un fronton triangulaire. Répertoire issu
de l'observation des bâtiments antiques
Les deux arcades latérales sont plus basses et plus étroites que l'arcade centrale. Ce rythme est directement
inspiré du thème de l'arc de triomphe, important dans l'architecture de l'antiquité romaine. Ce motifs est
parfaitement maîtrisé, connu, réutilisé dans un batiment qui répond au besoins d'alberti. Les arcs de triomphe
sont en réalité des portes triomphales le plus souvent éphémères construites pour commémorer le succès d'un
chef militaire ou pour honorer l'arrivée d'un empereur.
Palais Rucelli
1448 1455, Florence, famille la plus puissante de Florence. Grands mécènes. On apelle palais la résidence
principale et urbaine des seigneurs italien. On peut comprendre quels sont les apports essentiels. Cetraines
propositions sont inédites. Il c'est inspiré du thème du palais florentin. Il y a des éléments qui relèvent de la
tradition, et des nouveaux, modernes.
Traditionnels :
facade avec au minimum trois niveaux, qui sont limités par des entablements (des corniches). Ces
entablements et la corniches permettent d'insister sur la ligne horizontale et accentuent l'impression de strates
superposées.
La répartition des ouvertures dans les façades : un premier niveau peu ouvert percé de portes et de
petites ouvertures qui ne permettent pas facilement l'accès. Les niveaux supérieurs sont plus largement ouverts,
avec des fenêtres nombreuses et vastes. Ce dispositif correspond à une protection pour que le palais puisse
servir de forteresse en cas d'urgence.
La forme des fenêtres : baies florentines.
Fenêtres rectangulaire, géninée (donc l'ouverture est divisée par des supports architecturaux
intermédiaires = subdivisée). Une colonnette.