
A mon p’tit père,
Pour ton soutien tout au long de ces longues, très (trop ?) longues études, que d’ailleurs je
prolonge plus que de raison,
Pour supporter, en patriarche, ta tribu de filles,
Pour accepter d’héberger ma ménagerie quand le devoir (ou les vacances…) m’appelle
ailleurs,
Et en souvenir des jeux du samedi midi dans la cuisine de notre chère petite maison de la
Boissière, qui nous ont fait découvrir la capitale du Turkménistan (que j’ai oubliée d’ailleurs),
et surtout le plaisir d’apprendre…
Mais pas pour le nez !!
A Anne, ma grande grande sœur, trop longtemps perdue de vue,
Pour avoir eu le courage de faire le premier pas,
Pour avoir été là quand nous avons eu besoin de toi…
Et pour tes deux petits bouts d’chou…
Au bonheur de t’avoir retrouvée, et à notre avenir en famille…
A Flo, ma grande sœur,
Pour être passée avant moi, et m’avoir tracé le chemin tout au long de notre enfance, et
même après d’ailleurs, quand tu me briefais sur les méandres de la prépa, au Pizza Del Arte
du boulevard Saint-Michel…
Bref, pour tous tes conseils avisés sur la vie…
Et aussi pour avoir accepté de corriger l’orthographe de ce pavé sans même en comprendre
le contenu, même si tu n’auras pas à le faire, car je n’aurai pas le temps de te l’envoyer !!
A Céc, la petite,
Pour nos Barbies du dimanche à 6h, ou nos jeux d’école le premier jour des vacances, puis
nos disputes, parce que j’étais pas rapide dans la salle de bain et que toi, tu gargouillais le
dentifrice de bon matin, pour tes pertes de téléphone, pour tes voyages pas toujours très
bien organisés, pour t’être occupée de mon Babou quand il était pas propre…
Pour toutes ces années de vie commune…
Mais surtout pour ta force de caractère et ton franc parler qui te rendent parfois si chiante…
mais si indispensable…
A mon Grand-père et ma Grand-mère,
Pour l’affection inconditionnelle que vous nous portez à toutes les trois,
Pour votre douceur et votre gentillesse,
Pour nous avoir donné une Maman si formidable,
Malgré l’éloignement, et la rareté de mes appels téléphoniques, sachez combien vous
comptez pour moi…