L'HISTOIRE OCCULTÉE DES FAUX HÉBREUX
Préface
Benjamin H. Freedman
Benjamin Freedman fut élevé comme un « juif non pratiquant ». Il vivait à
New York, et devint un homme d’affaire très efficace, et très riche. À une certaine
période de sa vie, il était le principal actionnaire de l’immense Compagnie des
Savons Woodbury.
Il fut témoin, et même un peu acteur, des manipulations qui permirent aux
Talmudistes de dominer la politique et les médias des États-Unis. Dans ses
différentes fonctions au service des intérêts sionistes, il eut l’occasion d’avoir un
grand nombre d’entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des
États-Unis.
À la fin de la seconde Guerre Mondiale, il fut écœuré par ce à quoi il avait
assisté, et il devint dès lors un « transfuge du sionisme ». Il décida de révéler tout
ce qu’il pourrait. Il rompit avec le judaïsme, et se convertit au catholicisme. En
1946, il fonda la Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine ; puis passa le reste de
sa vie, et une grande partie de sa fortune considérable, à lutter contre la tyrannie
sioniste qui enserrait les États-Unis. Il consacra à cette activité plus de 2 millions
et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel.
L’ironie du sort voulut que ce transfuge fut justement l’une des personnes
qui devait avoir le plus de choses à raconter ; Benjamin Freedman avait appartenu
au plus haut niveau de l’organisation juive. Il a connu personnellement : Bernard
Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph
Kennedy, et John F. Kennedy. Comme on l’a dit, Monsieur Freedman était très
riche, et disposait d’un carnet d’adresses exceptionnel, ce sont sans doute les
raisons qui l’ont maintenu en vie.
Le magazine Commentary, publié par le Comité Israélite Américain,
l’appelle régulièrement : « le Juif antisémite ».
Arnold Forster, un haut fonctionnaire de la Ligue Anti-Diffamation du
B’nai B’rith (A.D.L. : une sorte de CIA privée, travaillant pour le compte d’Israël,
et qui épie les faits et gestes des patriotes américains), a défini Benjamin Freedman
comme un « riche apostat juif, mu par la haine de soi » ; car lorsqu’un Juif non-
Talmudiste a une critique à faire sur les Juifs Talmudistes, il est inévitablement mu
par la haine de soi... il n’y a pas, il ne peut pas y avoir d’autre explication possible !
Mais Benjamin Freedman va nous montrer que tout repose sur une définition
correcte du mot « Juif ».
Ferdinand
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