DKoptim’eau : pour produire plus*
même en conditions limitantes en eau
Le stress hydrique
Le maïs est une plante dite en C4 particulièrement adaptée aux
régions chaudes et humides. Néanmoins, ses caractéristiques
physiologiques ne l’empêchent pas de perdre de l’eau car le maïs
transpire. En conditions séchantes, la capacité d’un maïs à tolérer
un stress hydrique dépendra donc de sa capacité à s’empêcher
de transpirer tout en maintenant sa photosynthèse pour préserver
ses fonctions vitales et donc son rendement. Cet équilibre se joue
au niveau des stomates.
Stress hydrique et rendement futur
Stress précoce (avant l’initiation, V12) – un stress hydrique
intervenu avant l’initiation de l’épi a un effet limité sur le
rendement. Cependant, il induit un ralentissement de la
croissance, un enroulement des feuilles, une réduction de la
surface foliaire et donc potentiellement, une perte en nombre de
pieds/m².
Stress à floraison – il impacte fortement le nombre de grains/épi et donc le rendement final. Il peut également
favoriser des attaques de maladies. Des variétés alliant rendement et qualité fourragère
Stress lors du remplissage du grain – un stress hydrique intervenu après le Stade Limite d’Avortement des Grains
(+250° jours après floraison femelle) accélère la sénescence des feuilles et peut accroître le développement des
maladies (fusariose des tiges). Son effet majeur est relevé sur le PMG qui peut être nettement diminué.
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