Communication et Environnement, des approches en transition Une émergence du thème environnemental à la fin du siècle dernier. L’apparition de la communication environnementale est délicate à dater avec précision. Celle-ci a son histoire étroitement liée à un traitement médiatique depuis la catastrophe du Torrey Canyon, nom du super tanker qui s’échoue sur les côtes de Cornouailles en 1967 libérant 12 000 tonnes de pétrole brut sur près de 400 kilomètres de rivage et offrant pour la première fois à grande échelle le spectacle désormais banalisé de poissants flottants ventre à l’air et d’oiseaux englués. Cette histoire est également liée aux contestations anti industrielles qui s’amplifièrent après la naissance des grandes associations environnementales comme France Nature Environnement ou les Amis de la Terre en 1969 et Greenpeace en 1971, à son institutionnalisation dans les politiques publiques en France avec la création en 1971 du premier ministère de l’environnement et l’année suivante au plan international avec le lancement de la première conférence internationaledes Nations Unies sur l’environnement à Stockolm et la création du Programme des Nations Unis pour l’Environnement (PNUE) et à son inscription dans le discours politique, notamment après 1974 et la première candidature écologique à une élection présidentielle. Cette émergence s’est accompagné de plusieurs essais. L’ouvrage « le printemps silencieux » (1962) de Rachel Carson apparaît comme étant le premier livre d’alerte sur les enjeux environnementaux. Il sera suivi de « quelle terre laisserons nous à nos enfants » de Barry Commoner (1966) et en France du livre de Jean Dorst « Avant que nature meure » (1965). Les spécialistes s’accordent toutefois pour situer son inscription dans la sphère publique dans la seconde moitié des années 80. Cette période marque l’inscription du thème environnemental dans la sphère publique, sous l’effet notamment de plusieurs crises (Tchernobyl 1986, Bâle 1986, Exxon Valdez 1989), de l’apparition de questions structurelles fortes comme la problématique de la couche d’ozone (protocole de Montréal 1987), des pluies acides (Roqueplo. 1988), de la déforestation et du réchauffement climatique. 1989 est consacrée année européenne de l’environnement et voit notamment la création de l’agence européenne de l’environnement. Les entreprises s’inscrivent dans ce mouvement. Là aussi, dés le début des années 70, des entreprises avaient posées quelques jalons comme le pétrolier Elf Aquitaine qui créait en 1971 un « centre d’informations sur les nuisances ». Cest toutefois vers la fin des années 1980 que la dynamique se met en place. La Lyonnaise des Eaux écrit dans son rapport d’activité 1988 que « le futur est l’environnement » et, cette même année, le groupe Henkel positionne sous un angle environnemental le marketing de sa lessive « Le Chat » : « Une propreté éclatante et une contribution à la protection de l’environnement ». Très rapidement la quasi-totalité des grands secteurs industriels intègrent la démarche notamment Rhône-Poulenc dans le secteur de la chimie, Mercedes qui promeut l’accroche « La protection de l’environnement est un défi industriel » ou les Caisses d’Epargne qui s’engagent sur le thème : « la sauvegarde de notre planète sera demain l’une de non principales activités économiques ». 1 La communication environnementale s’installe définitivement au début des années 90 et plus précisément après le grand sommet des chefs d’Etats et de gouvernement qui s’est déroulé à Rio en 1992. Ce « Sommet de la Terre » a consacré la notion de développement durable définie en 1987 par le rapport Brundtland « Our Common Future » et élargi le thème environnemental de la sphère économique à la sphère politique. Communication d’organisation et Environnement Dans le champ organisationnel, le sujet environnemental est aparru sous une approche défensive. Avant de se généraliser dans les années 1990 au sein de directions du développement durable, la thèmatique est né sous forme de « Servives Environnement » intégré dans des directions « Qualité, Sécurité ». Pour l’entreprise, la communication environnementale était d’abord une communication dite « sensible » (Libaert. 2009) définie par ses 4 domaines qui sont ceux de la communication sur des sujets à controverses (expérimentation animale, OGM..), de la communication de crise en lien avec les grandes catastrophes environnementales, à la communication d’acceptabilité en raison de conflits relatifs aux projets d’implantation (autoroutes, lignes THT, aéroports, barrages, …), et enfin à la communication liée aux risques (pesticides, expérimentations animales, chalutage). D’autres domaines sont concernés comme la communication financière en raison des enjeux de notations financières et d’investissements socialement responsables, ou celui de la communication de recrutement puisque la réputation environnementale apparaît comme un critère de préférence dans les orientations professionnelles . La communication environnementale prend toutefois l’essentiel de sa visibilité dans le domaine de la communication institutionnelle et celui du marketing. Après avoir émergé dans les services marketing des grandes entreprises et principalement Henkel, Reckitt & Coleman, Unilever, Procter & Gamble, elle s’est généralisée au début des années 2000 dans le champ du corporate jusqu’à se confondre avec la communication développement durable. L’observation des campagnes de communication institutionnelle des années 90 et du début des années 2000 indiquent ainsi une sur representaion de la thématique environnementale au sein des communication développement durable des institutions tant publiques que privées. De surcroit, cet axe environnemental qui occupait l’essentiel de l’espace de la communication développement durable, en occultant donc la sphère sociale/sociétale, s’est effectué autour d’un faible nombre de sujets, notamment autour des émissions de gaz à effet de serre et de manière plus limitée sur les enjeux de biodiversité. Ceci s’explique par le poids particulier de l’enjeu climatique dans les questions environnementales et aboutit à ce que la communication développement durable se focalise transitoirement sur des sujets techniques de réduction de gaz à effet de serre. 2 Les multiples approches de la communication environnementale. La communication environnement doit s’analyser, en dehors même du champ des sciences de l’information et de la communication, par l’apport de nombreuses autres disciplines. Les sciences de gestion sont particulièrement concernées en ce qu’elles interpellent le modèle économique de l’entreprise et les déterminants de consommation face aux allégations environnementales (Deviney. 2010), à la réputation environnementale (Swaen. 2013) ou sur des sujets comme ceux des packagings ou des labels environnementaux (Larceneux. 2009). La sociologie est une discipline incontournable pour l’étude de la communication environnementale, Les travaux sur le rôle des ONG environnementales (Lascoumes. 1994), sur la reprise institutionnelle des préoccupations environnementales et le constat que « L’environnement est aujourd’hui l’objet non identifié de la sociologie francaise » (Kalaora 2003) jusqu’aux travaux plus récents portant sur le lien entre inégalités sociales et environnementales (Deldrève. 2015), les relations entre communautés et la notion de justice environnementale (Lewis. 2008), ou des réflexions plus prospectives la relation Environnement société (Martucelli. 2104). Des travaux en psychologie environnementale comme ceux conduits par Annie Matheu sur les déterminants du tri des déchets (Matheu 1997) sont fréquemment exploitées. Des analyses de philosophes (Bourg. 1993 ; Larrère. 1997) ou de géographes (Emelianoff. 2015) montrent que le sujet environnement, tant dans sa representation que ses modalités communicationnelles traversent de nombreuses disciplines. Objet d’études selon de nombreux champs de recherches, la communication environnementale se prête également à de multiples analyses en sciences de l’information et de la communication. Celle ci se situe en effet dans l’intégralité des types de communication selon le statut de l’émetteur qu’il soit privé (l’entreprise et la communication marchande), public (L’institution publique, les campagnes de communication du ministère de l’environnement, la communication environnementale des collectivités territoriales) associatif avec l’analyse de la communication des ONG, ou politique avec l’étude des discours politiques sur l’environnement. La communication environnementale peut aussi s’analyser par discipline (corporate, interne, de recrutement, …), par outils (presse, éditorial, digital) et par champ de recherche. Spécificités de la communication environnementale. Ce domaine multiple possède ses propres spécificités et notamment celles liées à sa propre acceptabilité. Pour aucun autre thème de la communication organisationnelle, on ne distingue une telle sensibilité et spécialement au sein du secteur associatif. Celui ci reproche à la communication environnementale d’etre dans l’exagération. Or, c’est bien là un des moteurs de la publicité et celle ci l’utilise dans la plupart des campagnes. Il est donc remarquable que dans ce domaine de la communication environnementale, l’entreprise devrait se contenter de diffuser des informations objectives. Il apparaît que le cœur du problème réside ici non pas dans le message mais bien dans la légitimité de l’organisation à s’emparer du sujet. Si l’entreprise propage un discours basé sur la relation constante entre l’accroissement des consommations et le sentiment du bonheur, alors, elle serait illégitime à communiquer sur l’environnement. Il existe en matière de communication environnementale un conflit de légitimité, l’entreprise paraissant en ce domaine 3 illégitime à une communication et plus particulièrement si elle utilise le canal publicitaire. Cela a conduit à une montée en puissance du droit dans le domaine de la communication environnementale et spécialement dans celui du reporting, et des normes dans celui de la communication publicitaire. Pour bien comprendre ces enjeux, il faut se remémorer que c’est en raison des attaques sur l’utilisation abusive de l’arguement environnemental dans la publicité (Greenwashing) que Yonnel Poivre le Lohé analyse dans cet ouvrage, que furent modifiés les dispositifs de régulation de la publicité en France . C’est également en raison de cette dynamique critique que des ONG environnementales furent invitées à contribuer à la définition des normes publicitaires. Et de fait, le premier texte issu du nouvel organe de régulation de la Publicité (ARPP) mis en place en 2008 fut relatif aux nouveaux principes de communication publicitaire sur l’environnement. Les associations veillent au respect de ces normes par le dépôt de plaintes devant le jury de déontologie de la publicité (JDP) et un bilan de l’application de cette recommandation édictée après le Grenelle de l’Environnement qui s’est déroulée à l’été 2008 est réalisé chaque année grâce à l’Agence de l’Environnement et de la Maitrse de l’énergie (Ademe). Nouveaux enjeux de la communication environnementale. La communication environnementale ne doit toutefois pas se réduire à une problématique de messages. Elle intègre également l’éco-communication, c’est-àdire une communication qui vise à réduire ses propres impacts environnementaux. Les sphères de la publicité dans sa production et dans sa diffusion à l’exemple des panneaux publicitaires, de la communication événementielle, de la communication éditoriale produisent en effet des impacts non négligeables que les responsables communication commencent à percevoir et à réduire. L’enjeu environnemental amène à repenser nos méthodes de communication et à s’interroger sur les effets des dispositifs communicationnels. A titre d’exemple, le modèle publicitaire actuel, fondé sur sa capacité à favoriser l’accroissement des ventes de biens de consommation, est-il compatible avec le souhait d’une transition écologique, la multiplicité des contacts visuels, auditifs, sensoriels ne sont-ils pas un obstacle à une écologie de l’attention et au « droit de ne pas être interpellé » ? (Crawford. 2015) En outre, la communication environnementale s’inscrit au cœur des plus grands enjeux de société et s’attache, via les recherches en communication engageante à faire évoluer les comportements dans un sens plus conforme aux impératifs écologiques. Fabien Girandola définit le principe de la communication engageante par le fait de faire précéder la diffusion d’un message persuasif par la réalisation d’un acte préparatoire (Girandola. 2012). Francoise Bernard a ainsi expérimenté son efficacité plusieurs reprises, notamment en matière de réduction des déchets sur les stations balnéaires. (Bernard. 2007). La sensibilisation des opinions aux enjeux environnementaux, thème majeur de la communication associative et d’une partie importante de la communication publique, apparaît être un levier majeur de la prise de décision dans le champ politique. Plus globalement, si les champs communicationnel et environnemental ont une histoire commune, des différences majeures les opposent. Le domaine environnemental s’inscrit dans une temporalité longue là où la communication 4 s’inscrit de plus en plus dans un ultra court-termisme où les valeurs de réactivité semblent souvent l’emporter sur celles de véracité ou d‘efficacité. Pour prendre l’exemple de la communication organisationnelle, il est étonnant de constater la quasi disparition de stratégie de communication supérieure à une année de planification et dans le même temps la volonté affichée de convaincre l’opinion d’un engagement environnemental pérenne. Le zapping communicationnel apparaît difficilement compatible avec la croyance en une démarche environnementale de long terme. Communication et Environnement, un champ de recherches en expansion. Les recherches en communication environnementale sont nombreuses et toutes n’ont pu être présentées ici. Un pan important se situe dans la sphère anglo-saxonne dont nous indiquons quelques auteurs en bibliographie conclusive. Le GIEC de son côté cherche à se rapprocher de chercheurs en communication climatique afin de bénéficier des résultats sur les meilleures modalités de communication de ses travaux et au-delà des enjeux du réchauffement climatique. En France, le ministère de l’environnement a créé en 2010 le programme MOVIDA (Consomation & Modes de vie durables) pour encourager les recherches en lien avec les enjeux de développement durable et les recherches en communication environnementale (publicité, étiquetage, packaging) y sont très présentes. Ont ainsi été soutenu des recherches relatives aux dispositifs d’évaluation environnementale apposés en face avant des aliments (Bernard Ruffieux, Université de Grenoble), sur l’influence des stratégies marketing en matière d’adoption de modes de consommation durable (Fabrice Larceneux. Université Dauphine), sur les perceptions du sur-emballage (Elisa Monot. Université de Cergy), sur les conditions de diffusion des pratiques colaboratives (Iddri), sur la promotion des comportements écologiques (Université Paris 1 et Bordeux). Enfin, certaines associations professionnelles de communicants comme Communication & Entreprise, première association française des chargés de communication, avait consacré sa première académie scientifique en 2013 à ce thème ; des recherches sur les conséquences réputationnelles d’une crise environnementale (Valérie Swaen), sur la crédibilité de labels environnementaux (Fabrice Larceneux), sur le rôle des parties prenantes (Françoise Bernard), sur les valeurs (Romain Huet) ou sur l’analyse des discours sur les pesticides (Francois Allard) y furent présentées. Présentation des articles Nous avons voulu par cet ouvrage exposer un large panorama des recherches et enjeux de la communication environnementale dans la diversité de ses approches. Nous rejoignons l’analyse de Francine Boillot Grenon qui dans un récent numéro d’Hermés évoquait le « formidable champ de confrontations idéologiques, sémantique, territoriale, médiatique, technique » offert par l’intégration de l’environnement dans les sciences de l’information et de la communication (BoillotGrenon. 2015). En témoigne les articles présentés ici dans les champs politiques (Baygert, Hananel) ou publiques (Bessières). Des thèmes comme celui de l’eau (Hervé-Bazin) permettent de mieux situer les acteurs et enjeux sur des problématiques complexes, ce travail rejoint un large pan de recherches sur des 5 sujets précis et à larges enjeux comme celui de la biodiversité. (Lachaud. 2014) . Le discours environnemental dans la publicité (Pascual Espuny) interroge la dimension organisationnelle et, à travers elle, sociétale de la communication environnementale et donc plus largement le discours éthique (Debos. 2005 ; Cox 2007). La communication destiné aux salariés de l’entreprise que présente ici Jean-Marie Charpentier est un thème trop négligé, la communication environnementale s’apparentant pour beaucoup avant tout comme une communication externe alors que ce thème est pourtant central puisqu’il conditionne la crédibilité de l’ensemble de la communication de l’entreprise. Les recherches sur le rôle de la communication environnement dans la construction réputationnelle et ses effets sont nombreuses (Philippe et Durand. 2009 ; Kim 2014, Aksak, Ferguson, Duman 2016), celle que propose ici Iskra Hérak et Nicolas Kervin sur la notion de crise environnemantale permet d’y ajouter une approche par le consommateur. Les analyses sur le récit environnemental interne (Catellani. 2009) ou plus globalement celles relatives à la place du salarié dans les parties prenantes de la communication RSE (Coombs & Holladay. 2012) apparaisent encore comme un domaine relativement trop peu exploré. La communication de sensibilisation est présentée au travers d’une expérimentation spécialement réalisée en matière d’économie d’énergie, elle illustre les aspects potentiels de démarche de « nudge » (Dupré), thème de recherche que nous rapprochons de ce celui de communication engageante que Françoise Bernard situe au sein des perspectives récentes de recherche en communication environnementale (Bernard. 2010) qui reposent désormais sur le constat qu’il « ne suffit pas d’apporter une information financière pour que les acteurs modifient leur consommation » (Garabuau-Moussaoui et Pierre. 2016) . Les analyses des discours tant au travers des dispositifs narratifs (Jalenques) qu’à ceux des approches sémiotiques (Catellani) permettent un fin décryptage des stratégies utilisées par les émetteurs des discours. Elles complètent les analyses des textes notamment des rapports d’activité (Senkel. 2011 ; Dejean et Martnez 2009), des conditions de leur crédibilité (Bachmann et Ingenhoff 2016), des sites web et des réseaux sociaux utilisés en matière de communication environnementale (Kent et Taylor. 2016), des images et couleurs (Biros. 2014) et celles effectuées sous l’angle des controverses telle celle présentée ici sur la base des travaux du principal organisme consultatif de l’Union Européenne (Allard). Au travers de cette étude, c’est là aussi, un pan fondamental de recherche sur la notion d’intégration de l’organisation dans la société et les relations avec les parties prenantes (D’Almeida. 2005) et en conséquence de conflit environnemental et les communications associées qui se profilent (Allouche 2014) notamment dans le domaine du risque industriel (Suraud. 2009), Enfin, le thème du réchauffement climatique nous a paru suffisamment important pour lui consacrer deux articles, l’un sur l’analyse du récit médiatique entre la Cop 15 (Copenhague, 2009) et celle de Paris (Cop 21, 2015) (Fodor – Brunetière) et l’autre sur la rhétorique de la peur dans la communication climatique digitale (Campion). L’ensemble de ces articles, tous inédits, sont complétés par trois témoignages. Celui de Gildas Bonnel présente le point de vue d’un dirigeant d’agence de communication, par ailleurs responsable de la communication développement durable de l’Association des Agences Conseil en Communication (AACC.) Yonnel Poivre Le Lohé est le responsable du blog de la communication responsable et livre un point de vue critique sur les dérives et conséquences du greenwashing. Jean- 6 Pascal van Ypersele, professeur à l‘université de Louvain est l’ancien vice-président du GIEC et c’est lui qui a réussi à convaincre ses collègues de mettre en œuvre une réelle stratégie de communication au sein de cette structure. Avec l’aide de Bruno Gaino il offre un témoignage sur la communication climatique depuis l’intérieur même de l’organisation. Références bibliographiques Aksak Emel Ozdora, Ferguson Mary Ann et Duman Sirin Atakan. Corporate social responsability and CRS fit as predictors of corporate reputation : a global perpective. Public relations review. 2016. Vol 42. N°1. P 79 à 81. 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