les troubles expressifs sont-ils spécifiques à une pathologie

© Les entretiens de Bichat 2012 - 1
Entretiens
d’Orthophonie
2012
Orthophonie
RÉSUMÉ
A travers notre pratique rééducative
auprès d’enfants sourds et dyspha-
siques, nous pressentions des simili-
tudes dans les difficultés d’expression
orale. Nous avons donc émis l’hypothèse
qu’il pourrait être difficile de distinguer
un enfant sourd d’un enfant dyspha-
sique à travers ses productions orales.
Les résultats de deux enfants sourds
profonds implantés et de deux enfants
dysphasiques aux épreuves d’expression
orale (phonologie, lexique et syntaxe),
montrent que c’est plus la sévérité du
trouble qui différencie ces enfants que
leur pathologie. L’analyse qualitative
révèle deux profils distincts au niveau
lexical en fonction de la pathologie tan-
dis que les erreurs phonologiques et syn-
taxiques ne discriminent pas les enfants
sourds des enfants dysphasiques. Ainsi,
les approches rééducatives peuvent-elles
être généralisées d’une pathologie à
l’autre: la méthode des jetons, le FCSC,
la méthode verbo-tonale, la DNP, les
gestes Borel.
MOTS-CLÉS
Dysphasie, surdité, rééducation, syntaxe,
phonologie, lexique, troubles expressifs,
Français Complet Signé Codé
ABSTRACT
As a consequence of our re-educative
work with deaf and SLI children, we
foresaw similarities in oral expression
difficulties. We propose the hypothesis
that it would be difficult to distinguish
between a deaf and a SLI child from his
oral expression. Two profoundly deaf
children with cochlear Implants and two
SLI children were put to oral expression
tests (phonology, vocabulary and syn-
tax) and the results demonstrated that
the extent of the problem was more
determinant than their specific patho-
logy. Qualitative analysis reveals two
distinct lexical profiles in function of the
pathology whereas phonological and
syntactical errors do not show any dif-
ferences between deaf and SLI children.
Re-educative approaches can therefore
be used for both pathologies: the token
method, CSCF (Complete Signed and
Cued French), the Verbotonal method,
the Natural Dynamics of Speech (NDS)
and the Borel gestures.
KEYWORDS
Specific language impairment, deafness,
re-education, syntax, phonology, vocabu-
lary, expressive disorders, Complete Sig-
ned and Cued French
Les troubles expressifs sont-ils
spécifiques à une pathologie?
Cas de la dysphasie et de la surdité
F. Wavreille*, N. Hébrard*, C. Hyman*, K. Laurent*,
V. Tombel*
* CRESN, Centre de rééducation d’enfants sourds et dysphasiques de Noisy-le-Grand (93),
2 - © Les entretiens de Bichat 2012
Orthophonie
Notre article se propose d’explorer les dif-
férences et surtout les similitudes existant
entre les troubles expressifs des enfants
sourds d’une part et ceux des enfants dys-
phasiques, d’autre part. Deux enjeux majeurs
sous-tendent cette réflexion. Le premier est
d’ordre diagnostique: est-il possible de dif-
férencier, sur la seule base d’un bilan ortho-
phonique, un enfant dysphasique d’une autre
pathologie entraînant des déficits langagiers?
Les enfants souffrant d’un trouble spécifique
du langage oral ont-ils des symptômes lan-
gagiers expressifs spécifiques à leur patholo-
gie? Des études anglo-saxonnes ont retrouvé
des symptômes langagiers habituellement
décrits comme spécifiques à la dysphasie
dans d’autres pathologies, comme la triso-
mie 21 (Jarrold, Baddeley, & Hewes, 2000).
Il s’agit notamment des difficultés observées
lors de la répétition de non-mots. La question
se pose donc aussi dans la surdité. On peut
alors imaginer que les approches rééducatives
employées habituellement pour les enfants
souffrant de l’une des deux pathologies
pourraient alors être utilisées dans l’autre. Le
deuxième enjeu concerne spécialement les
enfants sourds afin de repérer parmi ceux-ci
les enfants souffrant d’un trouble linguistique
surajouté à leurs difficultés liées à la surdité.
Si on parvient à isoler un symptôme linguis-
tique qui serait plus fréquent chez les enfants
dysphasiques, alors la présence de celui-ci
pourrait nous faire proposer l’hypothèse que
l’enfant sourd qui le présente souffre d’une
dysphasie associée.
Cadre théorique
Rappels définitoires rapides
La dysphasie
Définition
Nous avons choisi de retenir la définition du
DSM-IV (2000) qui décrit la dysphasie comme
un trouble de la communication, réparti en
trois syndromes:
Les troubles du langage de type expressif:
vocabulaire restreint et manque du mot,
dyssyntaxie ou agrammatisme.
Les troubles du langage de type mixte
réceptif-expressif: les difficultés rejoignent
celles du type expressif et incluent en plus
un trouble de la compréhension lexicale et
syntaxique.
Les troubles phonologiques: qui incluent les
difficultés articulatoires en plus des troubles
purement phonologiques.
Pour le DSM-IV, les difficultés langagières
consécutives à ces syndromes interfèrent
avec la réussite scolaire ou professionnelle et
peuvent nuire à la communication sociale.
Si un retard mental, un déficit moteur, un
déficit sensoriel ou une carence de l’envi-
ronnement sont présents, les difficultés
remarquées dépassent celles associées à ces
conditions.
Sémiologie
Gérard (2011) décrit des critères, caractéris-
tiques d’un développement pathologique
du langage. La présence de trois de ces mar-
queurs est nécessaire pour pouvoir poser un
diagnostic de dysphasie(Gérard, 1993) :
l’hypospontanéité se traduit par une expres-
sion orale souvent réduite à des phrases
minimales, ainsi qu’un manque d’incitation
verbale.
le trouble d’évocation lexicale se retrouve
lorsque l’enfant éprouve des difficultés à
évoquer un mot qui est pourtant dans son
stock lexical. Il est caractérisé par une lenteur
d’évocation, un manque du mot et des para-
phasiesainsi que des périphrases. L’ébauche
orale permet parfois un accès au mot.
le trouble d’encodage syntaxique est à l’ori-
gine d’une dyssyntaxie voire d’un agram-
matisme : la structure de la phrase n’est
pas respectée et l’utilisation des marqueurs
morphosyntaxiques n’est pas maîtrisée.
L’enfant produit en majorité des mots pleins
(noms, verbes, adjectifs, adverbes) et omet
les mots fonction.
le trouble d’informativité verbale empêche
l’enfant de transmettre des informations
pertinentes lorsqu’il s’exprime à l’oral,
alors même qu’il montre une appétence à
© Les entretiens de Bichat 2012 - 3
Les surdités périlinguales apparaissent entre
2 et 4 ans, lors de l’acquisition d’une com-
munication orale.
Plusieurs systèmes ont pour but de compen-
ser la perte de la fonction auditive: les pro-
thèses amplificatrices à conduction aérienne
ou osseuse, mais aussi les implants d’oreille
moyenne, cochléaires ou du tronc cérébral.
Nous n’allons détailler que les deux appa-
reillages les plus fréquemment rencontrés
dans notre pratique:
Les prothèses amplificatrices à conduction
aérienne (ou prothèses conventionnelles)
captent le son au moyen d’un microphone
puis le transforment par le biais d’un trans-
ducteur. Le son est ensuite redistribué par
l’écouteur placé dans le conduit auditif
externe. Le dispositif électronique ainsi que la
pile sont le plus souvent contenus dans une
coque placée derrière le pavillon de l’oreille.
Les implants cochléaires stimulent directe-
ment les fibres du nerf auditif via des élec-
trodes (jusqu’à 22) placées, suite à une
opération, dans la rampe tympanique de la
cochlée. Les informations sonores reçues par
un appareil installé derrière le pavillon (oreille
externe) la plupart du temps, sont traitées par
un microprocesseur inclus dans cet appareil.
Le signal électrique est envoyé vers la cochlée,
par un fil reliant une antenne (posée sous la
peau du sujet) qui transmet le signal aux élec-
trodes implantées dans la cochlée. Pour l’en-
fant, la HAS (Haute Autorité de Santé, 2009)
recommande que l’implantation ait lieu le
plus tôt possible; dans le cadre de surdités
profondes dès lors que le gain prothétique
ne permet pas le développement langagier,
et dans les surdités sévères lorsque la discri-
mination aux épreuves d’audiométrie vocale
est inférieure ou égale à 50%. L’implantation
est le plus souvent unilatérale (hors cas parti-
culiers), l’enfant bénéficiant d’un appareillage
conventionnel sur l’oreille non implantée.
Résultats des études portant
sur le langage des enfants dysphasiques
et des enfants déficients auditifs
Les études comparant les enfants dyspha-
siques à des enfants sourds portent la plu-
la communication. Afin de compenser ses
difficultés, il peut utiliser spontanément des
gestes, ou avoir recours au mime.
la dissociation automatico-volontaire, qui
correspond à l’impossibilité de réaliser
volontairement des mouvements (praxiques
ou phonologiques) possibles spontanément.
le trouble de la compréhension verbale
interfère avec les capacités de compréhen-
sion d’un message oral et se retrouve essen-
tiellement dans les dysphasies de type mixte
réceptif-expressif. Dans certains tableaux
de dysphasies expressives, un trouble de la
compréhension peut être présent - tout en
étant moins sévère que le trouble expressif.
La surdité
La surdité est une diminution de l’acuité audi-
tive plus ou moins importante, classée en
fonction du degré de perte auditive:
Les déficiences auditives légères dont la
perte moyenne est comprise entre 21 et
40dB.
Les déficiences auditives moyennes : du
premier degré lorsque la perte moyenne est
comprise entre 41 et 55dB, et du second
degré lorsqu’elle est entre 56 et 70 dB.
Les déficiences auditives sévères: elles sont
du premier degré avec une perte moyenne
comprise entre 71 et 80dB, et du deuxième
degré avec une perte entre 81 et 90 dB.
Les déficiences auditives profondes : du
premier degré pour une perte entre 91 et
100 dB, du deuxième degré pour une perte
entre 101 et 110 dB et du troisième degré
entre 111 et 119 dB de perte.
Les déficiences auditives totales (ou
cophoses) lorsque la perte auditive moyenne
est supérieure ou égale à 120 dB.
Il est également possible de catégoriser la
surdité en fonction de l’âge d’apparition de
celle-ci:
Les surdités postlinguales apparaissent après
l’acquisition d’une communication orale.
Les surdités prélinguales peuvent être
congénitales ou apparaître avant l’acquisi-
tion d’une communication orale.
Orthophonie
4 - © Les entretiens de Bichat 2012
Orthophonie
part du temps sur des enfants sourds légers
et moyens ou des enfants sourds sévères ou
profonds avec une prothèse auditive, mais qui
ne sont pas implantés. Elles sont très variables
quant à l’âge de la population, les tâches ou
tests utilisés, la langue étudiée et de ce fait,
sont peu comparables et n’aboutissent pas
toujours aux mêmes résultats.
Enfants dysphasiques et enfants sourds
non implantés
Ainsi, les enfants anglophones de l’étude de
Briscoe & al (2001) sont âgés de 6 à 10 ans ½.
Globalement, les résultats des enfants sourds
moyens et sévères aux tests langagiers sont
meilleurs que ceux des enfants dysphasiques,
sauf pour la répétition de pseudo-mots, la
conscience phonologique et la discrimination
phonologique. Ces résultats sont cependant
très hétérogènes et un groupe d’enfants
sourds sévères présente certains résultats
en-dessous du 10e centile. On trouve alors
des résultats inférieurs à -1 E.T. de la norme
pour le vocabulaire passif mais les résultats
des enfants sourds restent supérieurs à ceux
des enfants dysphasiques pour l’expression
lexicale (épreuve de dénomination) et pour la
répétition de phrases.
Dans sa thèse, Delage (2008) a, elle aussi,
comparé des enfants sourds, mais cette fois,
légers et moyens, à des enfants dysphasiques
d’âge comparable à ceux de l’étude précitée,
et en langue française. Elle retrouve, comme
Briscoe & al (2001), une grande hétérogénéité
des résultats à l’intérieur de la population des
enfants sourds qui sont, en moyenne, meil-
leurs que les enfants dysphasiques. De la
même manière, elle a sorti un groupe d’en-
fants sourds avec des scores pathologiques
pour les comparer aux enfants dysphasiques
mais dans cette étude, c’est la phonologie
qui reste meilleure chez les enfants sourds.
Ce sont donc des résultats tout à fait contra-
dictoires avec ceux de Briscoe & al., mais les
tâches et la langue ne sont pas les mêmes.
Dans cette thèse mais aussi dans d’autres
travaux (Jacq & al, 1999), la syntaxe des
enfants sourds (légers, moyens, sévères et
profonds) et des enfants dysphasiques, âgés
de 7 ans½ à 13 ans½ a aussi été étudiée, à
travers des paradigmes de phrases à complé-
ter à partir d’images. Les résultats de manière
globale montrent une supériorité des résul-
tats des enfants sourds légers et moyens sur
les enfants dysphasiques alors que si on les
compare à des enfants sourds sévères et pro-
fonds, les résultats sont similaires. Ce qui est
intéressant, c’est que quel que soit le degré
de surdité ou la pathologie, les profils aux
différents items sont très proches. La hié-
rarchie des morphèmes est souvent la même.
Ainsi, pour l’étude de Jacq & al, on peut voir
émerger le schéma suivant : les résultats
pour «le»/«la» (déterminant) sont meil-
leurs que pour «il»/«elle» eux-mêmes
meilleurs que pour «se», meilleurs que pour
«le»/«la» (objet).
Les enfants sourds implantés
Concernant les enfants implantés, la revue de
littérature de Duschesne & al (2008) montre
que les enfants implantés gardent un retard
de langage qu’ils comblent rarement. Ce
retard concerne la compréhension et l’expres-
sion aux niveaux lexical et morphosyntaxique.
Quelques enfants rattrapent le retard, mais
ils sont peu nombreux et cela concerne rare-
ment l’ensemble des domaines du langage.
Cette revue concernait surtout des études en
anglais. Nous pouvons nous intéresser spécifi-
quement à celles menées en français qui sont
très peu nombreuses.
On peut citer l’étude du CTNERHI, dont est
issue la recherche de Le Normand (2004). Elle
porte sur le lexique mais différencie lexique
grammatical ou non et analyse la LME (lon-
gueur moyenne d’énoncé). L’âge des enfants
n’est pas connu mais on sait que la durée
depuis l’implantation est de 6 mois à 3 ans.
C’est le langage spontanéqui a été analysé.
Pour la LME, les enfants qui obtiennent les
meilleurs résultats après 3 ans d’expérience
d’implant rattrapent les enfants contrôles de
36 mois et 33% d’entre eux atteignent le
niveau des enfants contrôles de 42 et 48 mois
mais les enfants avec les moins bons résul-
tats rejoignent les moins bons contrôles de
24mois. Pour le nombre de mots différents,
© Les entretiens de Bichat 2012 - 5
Orban (2008) montre:
en phonologie, une faiblesse principale-
ment située au niveau des voyelles pour les
enfants dysphasiques avec une LME supé-
rieure à 3 (Parisse & Maillart, 2004-a).
au niveau lexical, les études ont été réalisées
surtout en anglais et montrent un nombre
de mots différents en général inférieur à
celui des enfants ordinaires, mais avec un
pattern d’erreurs assez proche.
au niveau syntaxique, les différences avec
les enfants tout-venant apparaissent aussi
lorsque la LME est supérieure à 3. On voit
alors apparaître une faiblesse en morpho-
logie verbale (marques de temps et de
nombre, omission de l’auxiliaire dans les
temps composés) et sur le pronom clitique
objet (Parisse & Maillart, 2004-b).
Etudes de cas
Nous avons choisi quatre enfants d’âge simi-
laire au moment du bilan, deux enfants dys-
phasiques et deux enfants déficients auditifs,
scolarisés au CRESN, centre de rééducation
qui accueille des enfants dysphasiques et
sourds d’âge primaire en scolarisation à petit
effectif, tout en assurant les prises en charge
paramédicales. Les enfants dysphasiques
ont été évalués par une échelle de Wechsler
montrant des capacités non verbales préser-
vées (supérieures à 80) et leur diagnostic a été
posé par des équipes de centres de référence
des troubles des apprentissages de l’Ile de
France.
Q. est un petit garçon âgé de 8 ans (7) au
moment du bilan. Il est atteint d’une dys-
phasie expressive. Les examens complémen-
taires (EEG, IRM, caryotype) sont normaux.
Il est suivi en orthophonie depuis l’âge de
4ans 6. Il est suivi au CRESN en ergothéra-
pie pour la motricité fine. Le retard langagier
a été observé par les parents, vers l’âge de
24mois. Il a été maintenu en Grande Section
de Maternelle (GSM) à cause de son trouble
du langage oral. Il est arrivé au CRESN à l’âge
de 6 ans 10, juste après ses 2 GSM et actuel-
lement bénéficie de quatre séances d’ortho-
phonie hebdomadaires.
il existe un retard de production des 4 classes
(mots lexicaux, mots grammaticaux, verbes
lexicaux, verbes non lexicaux) chez les sujets
implantés. Les enfants implantés avec les
meilleurs résultats sont ceux qui font des pro-
grès plus rapides pour la morphologie lexicale
que pour la morphologie grammaticale et
aussi des progrès plus rapides pour les verbes
lexicaux que pour les verbes non lexicaux.
En conclusion, chez les enfants implantés,
le retard de lexique influe davantage sur la
production de la morphologie grammaticale
que sur celle de la morphologie lexicale. Les
enfants implantés acquièrent l’usage des
mots grammaticaux avec beaucoup moins de
facilité que les jeunes enfants. Comme sur les
études chez les enfants non implantés, les dif-
férences interindividuelles sont considérables.
Certains ne produisent toujours pas de mots
grammaticaux, ni de verbes non lexicaux,
36mois après l’implant. Les types d’erreurs
les plus fréquentes concernent:
les déterminants avec le non marquage du
genre et du pluriel,
l’usage incorrect des pronoms relatifs
enchâssés,
l’omission de l’inversion ou inversion incor-
recte dans la formulation des questions,
l’omission du verbe principal ou de l’auxiliaire,
la confusion entre les auxiliaires avoir et être,
l’accord incorrect de l’auxiliaire,
le placement incorrect de l’adverbe, particu-
lièrement de l’adverbe de négation,
la difficulté de construction du système
verbal dans deux phrases coordonnées, la
conjugaison du premier verbe contrastant
avec le maintien du second à l’infinitif,
l’usage incorrect du mot grammatical intro-
duisant le complément,
la flexion incorrecte du verbe.
Les enfants dysphasiques
Chez les enfants dysphasiques, les études
portent surtout sur la phonologie et la syn-
taxe, qui sont les domaines les plus touchés.
Une revue de la littérature faite par Maillart &
Orthophonie
1 / 19 100%

les troubles expressifs sont-ils spécifiques à une pathologie

La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !