Les réseaux associatifs, rôles et missions

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Les réseaux associatifs
« Si tu veux marcher vite, marche seul,
mais si tu veux marcher loin,
marche avec les autres. »
Proverbe africain
Entre 118 000 et 130 000 associations sont actives en région Rhône Alpes et sont présentes au
plus près de la vie des gens, elles structurent fortement l’activité sociale des territoires. Plus de la
1
moitié d’entre elles sont membres de réseaux (fédérations, unions, coordinations,…) qui se
retrouvent indirectement au Mouvement associatif Rhône-Alpes pour défendre, promouvoir et
représenter ces acteurs majeurs de la société française.
POURQUOI ÊTRE EN RÉSEAU ?
Se faire
connaître, être
plus visible
Être
accompagné,
aidé
Représentation du
tourisme social par
l'UNAT au salon des
Comité d'entreprises
Séminaire des
nouveaux dirigeants
organisé par le CROS
Présence de réseaux
associatifs au sein du
CESER Rhône Alpes
Échanger,
travailler
ensemble
Mutualiser
Plateforme d'achat
gérée par le
GESRA
Être informé
Fonds commun de
formation des bénévoles
animé par Le
Mouvement associatif
Rhône Alpes
Centre de ressources
départementale de la
vie associative des
FOL
1
Être reconnu
comme acteur de
la société civile
Source : Rapport parlementaire sur les difficultés du monde associatif - novembre 2014
Se faire
entendre
Diffusion des
communiqués de
presse du CRL
CAFF
LA
DOUBLE MISSION DES RÉSEAUX ASSOCIATIFS
Mission VERS L'EXTÉRIEUR
Mission de valorisation et représentation
de leur secteur auprès des pouvoirs publics
Les réseaux associatifs, acteurs de la transformation sociale
De par leur rôle fédérateur d’une parole commune, construite, les
réseaux sont légitimes comme acteurs du dialogue civil qui permet
l'échange continu et structuré entre les responsables politiques et les
organisations de la société civile. Parallèlement, leur lien avec leurs
membres et leur ancrage territorial, font d’eux des interlocuteurs
avertis et compétents de la vie associative aujourd’hui.
Les associations, quel que soit leur domaine d'activité, ont un certain nombre de valeurs en commun :
gestion démocratique, construction collective de projets à but non lucratif, solidarité, engagement
bénévole, formation à la citoyenneté, entreprendre autrement. C'est pour défendre ces valeurs et la
spécificité de l'action associative, vis-à-vis des pouvoirs publics que les associations se
réunissent en réseau.
Chacune, dans son secteur et ensemble au sein du Mouvement associatif, agit pour que les
associations soient prises en compte dans les politiques publiques menées sur les territoires.
Une coordination fédère
largement au niveau
régional des têtes de
réseaux.
Une tête de réseaux
fédère des réseaux, des
associations et des
adhérents (niveau
régional).
La fonction de réseau
reflète des termes variés,
tels que mouvement,
fédération, coordination,
tête de réseaux, ainsi que
des missions diverses.
Ce document met en
valeur les dénominateurs
communs et le terme de
réseau sera utilisé comme
terme générique.
La représentation du monde associatif auprès des pouvoirs publics est
assurée par la participation et la négociation des réseaux aux
instances de décisions politiques, par exemple :
→ Le Mouvement associatif Rhône Alpes et ses réseaux sont
présents au Comité régional de la vie associative (COREVA), lieu de
concertation et de suivi de la politique du Conseil Régional Rhône Alpes en
faveur de la vie associative et de l’éducation populaire. Dans ce cadre, les
réseaux associatifs ont notamment participé activement à la réflexion et à la
mise en œuvre des conventions pluriannuelles d’objectifs en Rhône Alpes.
→ L’URIOPSS dans sa mission de veille et de prospective vis-àvis de la prévention et de la prise en compte des publics vulnérables
dans les politiques publiques contribue aux différents travaux, réflexions
et schémas départementaux et régionaux en matière de santé, de
personnes en perte d’autonomie (personnes âgées et personnes
handicapées), de lutte contre l’exclusion, de la petite enfance et de la
protection de l’enfance. L’URIOPSS investit aujourd’hui la recherche et
prospective pour travailler d’autre formes d’interventions et de régulation qui
dépassent les cloisonnements de réseaux, administratifs et géographiques.
Plusieurs plateformes sont en œuvre aujourd’hui élargissant les champs de
recherche au sein de l’ESS et avec d’autres acteurs publics et privés
(Espace de Recherche et de Prospective en protection de l’Enfance et
justice des mineurs, Observatoire Régional des Actions Innovantes dans les champs de la
Dépendance et perte d’Autonomie, plateforme « Inclusions » intersectorielle avec des acteurs
économiques.)
→ Dans le cadre de la mission pour la simplification de la vie des associations, le CRL CAFF
Rhône Alpes a été auditionné et a pu porter les idées et les attentes des acteurs rhônealpins.
→ Le CRAJEP Rhône-Alpes s’engage auprès des partenaires publics à accompagner la mise
en œuvre du Plan Jeunesse pour permettre de transformer le regard que la société porte sur
ses Jeunes et de faire de la transversalité un mode de fonctionnement permanent.
→ Le CADR s’est saisi de la déclaration « 2014, Année Internationale de l’Agriculture Familiale »
pour susciter une démarche collective dont le temps fort a été la journée régionale d’échanges
« Agricultures familiales durables et emplois : Agissons en Rhône-Alpes », le 14 novembre.
Un réseau régional se structure, le Réseau PAFaD ! (Pour des Agricultures Familiales
Durables) qui conduira un plaidoyer en direction des élus et décideurs en 2015.
→ Le Projet Sportif Territorial Fédéral est un dispositif initié par la DRJSCS Rhône-Alpes en
coopération avec le Conseil Régional et le CROS Rhône-Alpes. Il consiste à articuler les
projets fédéraux, discipline par discipline, de la ligue régionale aux clubs en s’interrogeant sur
le rôle de chacun. Le CROS accompagne les ligues pour les inciter à valoriser au sein de
leurs projets les thématiques qui peuvent être subventionnées par les institutions publiques.
Les associations sportives concourent ainsi à la mise en œuvre des politiques publiques dans
le respect de leur projet associatif.
Le rôle des associations et de leurs organisations comme acteurs du dialogue civil est reconnu dans
la Charte d’engagements réciproques signée le 14 février 2014 par l’Etat, Le Mouvement associatif
et les collectivités territoriales (ARF, ADF, AMF, AMGVF, RTES).
Les réseaux ont un rôle de veille sociale et d’interpellation en faisant valoir les besoins des
associations, des territoires et des populations identifiées par leurs adhérents locaux, et en étant force
de propositions en vue d’impacter les politiques publiques, par exemple :
→ La réforme des territoires est en marche, Le Mouvement associatif Rhône Alpes interpelle
et mobilise les parlementaires sur les impacts pour le monde associatif.
→ Dans le cadre de la remise en question de l’universalité des allocations familiales, le
mouvement Familles rurales réagit et défend son opinion via un communiqué de presse.
→ La Fédération des MJC en Rhône-Alpes participe aux commissions de suivi des
conventions entre les MJC et les collectivités pour soutenir les associations dans la
négociation des politiques publiques locales.
Les associations, acteurs de l’ESS
Acteur d’une économie plurielle basée sur l’échange marchand (rencontre de l’offre et
de la demande de biens et services à travers la fixation d’un prix), sur la redistribution
(mécanisme de collecte puis de répartition des ressources orchestré par une autorité
centrale) et sur la réciprocité (relation établie entre des groupes ou personnes grâce à
des prestations qui ne prennent sens que dans la volonté de manifester un lien social
entre les parties prenantes), les associations et ses organismes représentants
s’inscrivent et se revendiquent acteurs de l’économie sociale et solidaire en tant
qu’entreprise collective, non lucrative, à gouvernance démocratique et œuvrant dans un
souci d'utilité sociale, et se mobilisent au sein de la CRESS.
Mission EN INTERNE
Mission d'animation de réseau &
d'accompagnement de leurs membres
Les réseaux associatifs proposent un accompagnement qui s’inscrit dans la durée et sur le projet
associatif dans sa globalité.
Ils répondent, par le collectif, à un besoin important et premier des associations : se regrouper,
échanger, se donner des lignes d’actions communes et se coordonner malgré des différences
dans les projets. La vie collective et la rencontre de projets au sein de réseaux est en soi génératrice
de soutien et d’aide à la structuration des projets car elle permet, de manière formelle ou informelle, le
partage de savoir-faire.
Les regroupements associatifs permettent le développement d’une « intelligence collective », d’une
vision transversale d’un secteur d’activité, de ses enjeux et spécificités (réglementations par
exemple), sans lesquelles les projets associatifs seraient isolés dans leur développement.
En témoigne la moindre « mortalité » des associations lorsqu’elles sont rattachées à un
réseau.
De plus, leur maillage territorial, lorsqu’il est développé, permet de situer les projets associatifs
dans des logiques territoriales (locales, départementales, régionales le plus souvent) en plus de
leur inscription sectorielle.
Les accompagnements délivrés par les réseaux associatifs permettent donc l’inscription de projets
particuliers au cœur de dynamiques collectives, à la fois dans une dimension sectorielle et dans
une perspective territoriale, et avec la prise en compte du caractère indissociable entre les
aspects techniques et les aspects « politiques » ou stratégiques des accompagnements.
Une mission d’accompagnement complémentaire
La mission d'appui et de conseil des réseaux associatifs à
leurs membres se caractérise par la nature souvent
diffuse et informelle des soutiens apportés, ce qui rend
leur formalisation difficile et réduit leur visibilité en interne
et en externe. Cet appui est donc souvent non valorisé
en tant que fonction d’accompagnement. D’autres
dispositifs d'accompagnement complémentaires inscrits
dans le court terme sur un enjeu particulier existent et il est
essentiel de créer des liens entre les différents acteurs
: maison des associations, points d'appui SAVARA, CRIB,
France Active ou encore les prestataires DLA.
Les actions de soutien collectif des réseaux à leurs membres peuvent prendre la forme de :
Publications (revues, ouvrages, études, etc.) et diffusion d’information et de
documentation
→ Les associations du secteur sanitaire et social sont soumises depuis plusieurs
années à un environnement de plus en plus complexe et contraignant. La
coopération entre associations apparaît dans ce contexte à la fois comme une
opportunité pour faire face aux incertitudes de l’avenir et une contrainte imposée par
les autorités publiques. Le Pôle de coopération de l’URIOPSS en Rhône-Alpes
accompagne depuis 3 ans ses adhérents en produisant notamment des guides
pratiques de la coopération.
Production d’outils partagés (outils de gestion, chartes de qualité, etc.)
→ La Maison des solidarités locales et internationales est un espace au service
des acteurs de la solidarité né de la volonté commune du CADR et d’acteurs
associatifs. La Maison des Solidarités permet des dynamiques de travail collectif et
favorise les échanges entre acteurs.
Rencontres permettant une réflexion commune et l'échange de pratiques (journées
d’étude, colloques, etc.)
→ GRAINE Rhône Alpes organise tous les deux ans les Rencontres Régionales de
l’Éducation à l’Environnement vers un Développement Durable pour se former à de
nouvelles méthodes pédagogiques, échanger sur des pratiques, réfléchir aux enjeux
et questions de l’EEDD et favoriser les liens entre les acteurs.
Mutualisation d'actions et de services (fonds de garantie, aide aux employeurs etc.)
→ L’APAC est un service d’assurance proposé par la Ligue de l'enseignement qui
apporte des réponses adaptées pour faire face aux besoins actuels des
associations.
Formation organisée par un réseau au bénéfice des bénévoles de l'ensemble des
associations qu'il fédère et/ou de son territoire
→ L’URFOL et le CRL CAFF RA co organisent une formation sur la thématique de la
laïcité pour permettre aux responsables associatifs de mettre en application au
quotidien la notion de laïcité.
Les réseaux du Mouvement associatif Rhône Alpes développent également des soutiens plus
individualisés à leurs membres et leur apportent écoute, conseil, mise en relation avec des
personnes ressources, etc.
La mission de valorisation et de représentation : une fonction
d’accompagnement
En effet, ces fonctions permettent de créer des conditions favorables au
développement de l’activité des membres comme par exemple, lorsqu’un réseau
négocie avec les pouvoirs publics un financement global pour des emplois aidés.
Grâce à leurs missions d’animation et de soutien, les réseaux développent une
expertise, une vision prospective et innovante d’un secteur. Ils assurent ainsi un
rôle de relai des dispositifs publics et d’intermédiaire avec les pouvoirs publics.
LE FONCTIONNEMENT ET
LA GOUVERNANCE
L'implication des militants associatifs bénévoles, comme dans toutes les associations, est
primordiale pour la pérennité d'un réseau. Leur position est cependant différente. En effet, les
bénévoles des réseaux sont des administrateurs : comme tous les administrateurs, ils ont un rôle
politique à mener, mais cette mission de représentation politique est première et majeure pour les
bénévoles impliqués dans un réseau car ils ont pour vocation de représenter l’ensemble de leur
secteur. Cela demande des compétences politiques et stratégiques et requière de plus en plus de
professionnalisation.
S'investir dans la gouvernance d'un réseau représente pour les bénévoles une opportunité de porter
leur engagement à plusieurs niveaux, et c’est par ces diverses fonctions à différents échelons qu’ils
tirent leur légitimité de représentation.
Les salariés des associations et en particulier des réseaux sont des professionnels engagés. La
mobilisation et l’animation du réseau des membres, la recherche de nouveaux membres, la
représentation politique ainsi que le soutien technique sont des missions mobilisant beaucoup de
temps et de compétences. Les salariés représentant politiquement leurs structures sont souvent
amenés à devenir bénévoles dans d’autres instances associatives. Il y a ainsi un mélange entre
les fonctions et le statut de bénévole et de salarié, qui se complètent pour répondre au besoin
croissant de compétences politiques et techniques.
L’organisation du monde associatif en réseaux sectoriels et aux divers échelons territoriaux a pris
naissance dans l’objectif d’assurer le rôle d’interlocuteur auprès des pouvoirs publics. Ainsi les
réseaux sont aussi souvent affiliés à des réseaux nationaux, européens ou internationaux. Cette
particularité a aussi un impact sur la gouvernance d’un réseau : le temps bénévole et salarié consacré
au niveau national, la présence éventuelle de statut type ou de charte permettant d’utiliser le nom ou
encore développer en région un projet stratégique en lien avec son échelon national.
Vers des coopérations inter-réseaux
Le fonctionnement global d’un réseau est donc plus complexe qu’une
association locale de par ses membres et ses missions même si les
valeurs, le fonctionnement, la gouvernance répondent au cadre de la
Loi 1901.
Même si tous ont pour objet le soutien au projet associatif, chaque
réseau est organisé et fonctionne différemment selon des statuts
créés par des hommes et des femmes bénévoles.
→
Aujourd’hui, dans un contexte en mutation économique et
sociale, il est nécessaire de faire évoluer les pratiques et
d’imaginer les coopérations inter-réseaux.
Dans un objectif de meilleure reconnaissance, d’économie
d’échelle, de diffusion des bonnes pratiques, de mutualisation de
compétences, les réseaux doivent coopérer sous toutes les
formes : interconnaissance, co-construction d’une parole
politique commune, échange économique, mutualisation de
locaux et de personnels, …
Cette coopération doit être choisie et non pas subie.
LE
MODÈLE ÉCONOMIQUE
L’équilibre du modèle économique d’un réseau repose sur le financement de son cœur de projet,
c’est-à-dire sa fonction politique, et de sa vie associative. Force est de constater que la fonction
de représentation n’est pas financée à hauteur des missions assurées et demandées, par
rapport au financement d'un projet, d'une activité, d'une thématique. Des financements publics d’ores
et déjà en place tels que les Conventions Pluriannuelles d’Objectifs de la Région Rhône Alpes et les
postes FONJEP assurent un financement durable au projet associatif mais ne sont pas suffisants.
Par ailleurs, les financements publics répondent de plus en plus souvent à la logique d'appel à
projets au détriment des subventions, ce qui rend presque impossible la recherche de financements
pour un projet associatif global et conduit les associations comme les réseaux à construire leur projet
en fonction des lignes de financement existantes. Dans ce cadre et pour assurer un modèle
économique viable, les réseaux sont ainsi amenés à développer des actions qui ne s'inscrivent pas
directement dans leur projet associatif. Ces actions se développent parfois en concurrence avec des
acteurs à but lucratif mais aussi avec d’autres réseaux associatifs. Dans cette configuration, les
acteurs associatifs sont assimilés à des prestataires de service, ce qui rend difficile le rôle de porteparole et de revendication des réseaux.
De plus, la justification des subventions représente une difficulté administrative de taille : de
nombreux réseaux n’émargent plus sur certains financements – notamment les fonds européens -, le
coût du temps passé sur l’administration de cette subvention étant plus important que la subvention
reçue.
La constitution de fonds propres qui assureraient une bonne gestion et une pérennisation des projets
associatifs n’est aujourd’hui pas perçue comme un élément comptable positif et peut engendrer
des baisses de financements.
La diversification des sources de financement est ainsi, comme pour toute association, une des
clés de réussite pour la pérennité du modèle économique. Cependant le financement privé dans les
réseaux ne peut pas s'imaginer au même titre que dans une association locale. Le financement
ponctuel des fondations ou du mécénat ne répond pas au besoin du financement du projet
associatif et politique. Par ailleurs l’intérêt du financeur privé à aider une association locale ou un
réseau n’est pas comparable. Le réseau doit donc, tout en augmentant ses cotisations, en
développant ses prestations et en faisant face à la baisse des subventions publiques, relever le défi
de rester d’intérêt général.
Un rôle de représentation primordial à renforcer
De nombreux réseaux sont aujourd’hui sur des modèles économiques fragiles qui
les mettent en danger, ce qui ne leur permet pas d’assurer pleinement leur rôle et
fragilise leur projet associatif.
Face à cette situation, les réseaux ne doivent pas perdre de vue qu'ils agissent par
rapport aux besoins de leurs membres, qu'ils vivent par et pour leurs membres. Il
s'agit de rester vigilant sur la nature des activités des réseaux sans pour autant
rester en vase clos.
Cette situation économique fragile pour l'ensemble des associations rend le rôle de
représentation des réseaux d'autant plus important et nécessaire en tant
qu'acteurs du dialogue civil pour faire remonter les besoins du terrain et être force
de proposition sur les politiques de financements de l'action associative.
Liste des acronymes :
ADF
AMF
AMGVF
APAC
ARF
CADR
CESER
COREVA
CRAJEP
CRESS
CRIB
CRL CAFF
CROS
DLA
DRJSCS
EEDD
ESS
FOL
FONJEP
GESRA
GRAINE
MJC
RTES
SAVARA
UNAT
URIOPSS
Assemblée des Départements de France
Association des Maires de France
Association des maires de grandes villes de France
Association Pour l’Assurance Confédérale
Association des Régions de France
Collectif des Associations de Développement en Rhône-Alpes
Conseil économique, social et environnemental régional
COmité REgional de la Vie Associative
Comité Régional des Associations de Jeunesse et d'Éducation Populaire
Chambre Régionale de l'Économie Sociale et Solidaire
Centre de ressources et d'information des bénévoles
Comité Régional de Liaison des Coordinations Féministes et Féminines
Comité Régional Olympique et Sportif
Dispositif local d'accompagnement
Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale
Éducation à l’Environnement vers un Développement Durable
Économie sociale et solidaire
Fédération des œuvres laïques (Ligue de l'enseignement)
Fonds de Coopération de la Jeunesse et de l’Éducation Populaire
Groupement des Épiceries Sociales et Solidaires Rhône-Alpes
Réseau Rhône-Alpes pour l'éducation à l'environnement vers un développement durable
Maison des jeunes et de la culture
Réseau des collectivités Territoriales pour une Économie Solidaire
Structures d'Appui à la Vie Associative en Rhône-Alpes
Union nationale des associations de tourisme
Union Régionale Interfédérale des Œuvres et organismes Privés Sanitaires et Sociaux
Document co-construit par les membres du
Mouvement associatif Rhône Alpes
CONTACT
Le Mouvement associatif Rhône Alpes
36 avenue du Général de Gaulle 69300
CALUIRE
T. 04 78 98 89 72
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