Le [INSÉRER LE PROGRAMME RÉGIONAL DE CANCÉROLOGIE] encourage les hommes et les
femmes à subir un dépistage régulier du cancer du côlon
Le cancer du côlon est une des principales causes de mortalité par cancer chez les Ontariens
LIEU, DATE – Mars est le Mois de sensibilisation au cancer du côlon et [INSÉRER LE PROGRAMME
RÉGIONAL DE CANCÉROLOGIE] encourage les [RÉSIDENTS RÉGIONAUX] à se faire examiner au
moyen d’un test sûr et sans douleur à réaliser à domicile. Lorsque le cancer du côlon est détecté à un
stade précoce, neuf personnes sur dix qui en sont atteintes peuvent être guéries.
Le cancer du côlon (connu sous le nom de « cancer colorectal » ou « cancer de l’intestin ») est le
deuxième cancer le plus souvent diagnostiqué en Ontario et la deuxième cause de mortalité par cancer
en Ontario. En 2016, on estime qu’environ 9 900 Ontariens ont reçu un diagnostic de cancer du côlon et
qu’environ 3 200 Ontariens en sont morts. Malgré cela, beaucoup de personnes ne se font pas
examiner, surtout les hommes.
« Le cancer du côlon est [INSÉRER LES STATISTIQUES/DONNÉES RÉGIONALES. P. ex. sur la
hausse du cancer chez les hommes dans la cinquantaine dans cette région] à [INSÉRER LA
RÉGION] », mentionne [INSÉRER LE PORTE-PAROLE DU PROGRAMME RÉGIONAL DE
CANCÉROLOGIE]. « Ce constat fait qu’il est encore plus important que jamais d’encourager les
hommes dans votre vie à subir un examen de dépistage de cette maladie au début de la cinquantaine –
même s’ils n’ont pas d’antécédents familiaux de la maladie ou qu’ils ne présentent pas de symptômes
désagréables comme une diarrhée ou des douleurs abdominales persistantes. »
Action Cancer Ontario recommande que les hommes et les femmes âgés de 50 à 74 ans qui présentent
un risque moyen subissent un examen de dépistage du cancer du côlon tous les deux ans au moyen du
test de recherche de sang occulte dans les selles (RSOS). La RSOS est un test de dépistage du cancer
sûr et sans douleur qui permet de vérifier les selles d’une personne pour détecter de minuscules gouttes
de sang pouvant être causées par un cancer du côlon. Un résultat anormal à la RSOS ne veut pas
nécessairement dire qu’une personne a un cancer du côlon. D’autres examens, notamment une
coloscopie, seront nécessaires pour déterminer les causes de la présence de sang dans ses selles.
La recherche révèle qu’un dépistage régulier au moyen de la RSOS chez les personnes de 50 ans et
plus, peut réduire les décès attribuables au cancer du côlon. Si le cancer du côlon est détecté après qu’il
se soit propagé dans d’autres parties du corps, son traitement est plus difficile et a moins de chances
d’être efficace. Pour les personnes dont le cancer du côlon s’est propagé, aussi peu qu’une personne
sur huit sera guérie.
« Beaucoup de personnes ne réalisent pas que le cancer du côlon peut être présent dans l’organisme
pendant une longue période avant de causer des symptômes physiques. Le rôle du dépistage consiste à
détecter le cancer à un stade précoce parce que l’efficacité du traitement est très bonne à ce stade »,
mentionne Dre Catherine Dubé, directrice clinicienne, ContrôleCancerCôlon, Action Cancer Ontario.
« Pour les personnes de plus de 50 ans, un examen régulier peut améliorer leurs chances de vaincre le
cancer du côlon. Les hommes âgés de 55 à 65 ans auraient particulièrement avantage à se faire
examiner. »
Le cancer du côlon peut se développer lorsque des excroissances apparaissant sur la paroi du côlon,
appelées polypes, deviennent cancéreuses au fil du temps. Les personnes âgées de 50 à 74 ans dont
aucun parent, frère, sœur ou enfant n’a reçu un diagnostic de cancer du côlon sont considérées comme
présentant un risque moyen de cancer du côlon et devraient subir un examen de dépistage tous les
deux ans au moyen d’un test sûr et sans douleur à réaliser à domicile appelé la RSOS.
Certaines personnes dont des polypes ont été retirés de leur côlon, ainsi que les personnes atteintes
d’une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (c.-à-d. maladie de Crohn ou colite ulcéreuse),
pourraient présenter un risque accru de développer un cancer du côlon et devoir se faire examiner
régulièrement au moyen d’une coloscopie au lieu d’une RSOS.