Etude théorique d’un shoot de hockey sur glace.
Nous allons tenter ici d’analyser une phase de shoot et de quantifier les efforts intervenant afin de
réaliser une modélisation expérimentale.
Il existe deux types de shoots en hockey sur glace : le shoot effectué à partir d’un mouvement de
poignet et le shoot qui fait intervenir la rotation de tout le corps
Ces deux shoots ont des caractéristiques différentes (position des mains, temps d’exécution,
puissance d’impact etc.) Dans notre étude nous allons nous intéresser seulement à la situation la plus
défavorable au niveau énergétique car c’est elle qui est la plus à même de générer les plus
importantes dégradations de la crosse (C’est ce que nous voulons quatifier)
Voici un schéma décrivant de comportement de la crosse lors d’un shoot
Lors d’une tres grosse frappe, la vitesse maximale d’impact de la crosse sur le palet est de 30m/s
(Soit à peu pres 100km/h)
Afin de quantifier la dégradation de la crosse nous devons dans un premier temps nous focaliser sur
l’impact de la palette sur la glace. Elle provoque une altération locale de la surface de la palette et
une grosse flexion au niveau du manche.
On estime l’angle d’attaque à 55° ce qui génere une force vertical e (Fx) et horizontale (Fy).
In general the slap shot had a peak vertical impact force of 97.6 ± 63.6N, corresponding to an average
shaft bending of 12.7°or 0.038 m.
En plus de l’intération avec le sol, la crosse doit encaisse un deuxième choc lors de son arrivée sur le
palet. Concentrons nous donc maintenant sur cette deuxième phase.