FACULTE DE PHARMACIE CONCOURS 1ère année GENETIQUE LS2-3 Vérifiez que ce cahier comporte 10 pages y compris celle-ci Répondez sur le deuxième cahier en cochant la ou les bonnes propositions (NE PAS REPONDRE PAR F ou V dans les cases) 1/10 1) A. B. C. D. E. F. G. H. Que vous évoquent ces deux arbres généalogiques ? Une transmission de type autosomique récessive Il s’agit d’un cas de disomie uniparentale Un phénomène d’inactivation aléatoire du chromosome X Une maladie génétique liée au chromosome Y Un phénomène d’empreinte génétique Un phénomène de mosaïque constitutionnelle Une cytopathie mitochondriale Aucune des propositions précédentes 2) A. B. C. D. E. F. G. H. Les deux schémas ci-dessous indiquent que : L’enzyme Bcl I permet de détecter l’allèle muté Le mode de transmission est dominant et lié au chromosome X Le mode de transmission est récessif et lié au chromosome X L’individu III-2 est porteur sain L’individu III-2 est malade L’individu III-2 est homozozygote pour l’allèle normal L’individu III-2 est homozygote pour l’allèle muté L’individu III-2 est hétérozygote pour la mutation 3) Soit une population en équilibre de Hardy-Weinberg pour un locus à deux allèles A et a. Pour quelle fréquence allélique les génotypes homozygotes récessifs aa sont-ils deux fois plus nombreux que les génotypes hétérozygotes Aa ? E. 1/5 A. 4/5 F. 1/3 B. 2/3 G. 3/4 C. 5/4 H. 3/5 D. 1/4 4) L’arbre ci-contre, qui représente une famille dans laquelle certains membres sont affectés de Cardiomyopathie Hypertrophique, indique que : A. Le mode de transmission est autosomique dominant B. Le mode de transmission est récessif lié à l’X C. La transmission est mitochondriale D. La maladie dépend de l’inactivation aléatoire d’un chromosome X E. La maladie est liée à une néomutation pouvant sauter une génération F. Le mode de transmission est autosomique récessif G. Le mode de transmission est autosomique dominant 2/10 5) Considérons une population divisée en deux sous-populations 1 et 2. On a déterminé sur des échantillons de chacune, le génotype des individus à un locus diallélique. Dans la première, sur 200 individus, 164 sont AA, 32 sont AB et 4 sont BB. Dans la seconde, sur 200 individus, 20 sont AA, 80 sont AB et 100 sont BB. Pour chaque sous-population, calculez les fréquences alléliques et testez l’équilibre de Hardy-Weinberg (HW) à ce locus. A. La sous-population 1 est à l’équilibre B. La sous-population 2 est à l’équilibre C. La sous-population 1 est à l’équilibre et la sous-population 2 n’est pas à l’équilibre D. La sous-population 2 est à l’équilibre et la sous-population 1 n’est pas à l’équilibre E. Les deux sous-populations ne sont pas à l’équilibre F. Dans la sous population 1 f(A)=0,9 et f(B)=0,1 G. Dans la sous population 1 f(A)=0,98 et f(B)=0,02 H. Dans la sous population 2 f(A)=0,5 et f(B)=0,5 I. Dans la sous population 2 f(A)=0,3 et f(B)=0,7 6) Les 400 individus de la question précédente sont ensuite réunis et phénotypés ensemble. Calculez alors les fréquences alléliques dans cette population, et testez l’équilibre de Hardy-Weinberg (HW) à ce locus. A. Il n’est pas nécessaire de re-tester l’équilibre de HW de la nouvelle population puisque les deux sous-populations sont toutes les deux à l’équilibre B. Il n’est pas nécessaire de re-tester l’équilibre de HW puisque les deux souspopulations ne sont pas toutes les deux à l’équilibre C. La population globale est à l’équilibre D. L’équilibre dans la population globale s’explique par le croisement des deux souspopulations et un phénomène d’homogénéisation E. La population globale est à l’équilibre, ce qui peut provenir du fait qu’il s’agit d’échantillons d’une seule population F. La population globale n’est pas à l’équilibre G. La population globale n’est pas à l’équilibre, ce qui peut provenir du fait qu’il ne s’agit pas d’échantillons d’une seule population mais de plusieurs populations H. L’absence d’équilibre peut indiquer des phénomènes de consanguinité, d’homogamie ou encore de sélection 7) Un sujet hétérozygote pour un gène pathologique dominant à pénétrance complète : A. Est porteur sain de la maladie B. Présente un génotype normal C. Présente un phénotype normal D. Est malade E. Est obligatoirement de sexe masculin 8) Le frère sain d'un enfant phénylcétonurique (maladie à transmission autosomique récessive) a une probabilité d'être hétérozygote égale à : A. 0 B. 1 C. 1/2 D. 1/4 E. 2/3 3/10 9) A. B. C. D. E. L’arbre généalogique ci-dessous vous indique que : L’allèle responsable de la maladie est dominant L’allèle responsable de la maladie est sur le chromosome Y L’allèle responsable de la maladie est sur le chromosome X L’allèle responsable de la maladie est sur un autosome Aucune fille n’est atteinte ce qui pourrait s’expliquer par le fait qu’aucun garçon atteint ne puisse atteindre l’âge de la procréation F. Les individus 26 et 27 sont des vrais jumeaux G. Les individus 26 et 27 sont des faux jumeaux H. L’individu 38, enfant du couple 21-22 a 50% de chance d’être atteint si c’est un garçon et aucune chance d’être atteinte si c’est une fille. 26 27 10) Une femme phénylcétonurique traitée épouse un homme hétérozygote pour la phénylcétonurie. Quel pourcentage d'enfants nés de cette union auront un génotype normal ? A. 0% B. 10 % C. 25% D. 50 % E. 100 % 11) Une trisomie 21 par translocation : A. Ne s'observe que dans la descendance des femmes jeunes B. Se traduit par un phénotype différent de celui de la trisomie libre C. Est toujours secondaire à une translocation parentale D. Peut être acquise de novo E. Est moins fréquente qu'une trisomie libre 12) Un remaniement de structure portant sur un seul chromosome peut se traduire par : A. Une inversion paracentrique B. Une translocation robertsonienne C. Un isochromosome D. Une inversion péricentrique E. Un chromosome en anneau 13) Deux parents sont porteurs hétérozygotes du gène de la mucoviscidose (hérédité récessive autosomique). Quel est le risque d'avoir un enfant atteint si celui ci est un garçon ? A. 0 D. 3/4 B. 1/4 E. Aucune de ces réponses n'est exacte C. 1/2 4/10 14) Chez un homme ayant des signes cliniques évoquant un syndrome de Klinefelter, on peut observer le(s) caryotype(s) suivant(s) : A. 47, XXX B. 47, XYY C. 47, XXY D. 46, XX E. 46, XY / 46, XX 15) Dans l'expression d'une maladie héréditaire autosomique récessive : A. Les deux sexes sont également touchés B. L'expression de la maladie peut ne frapper qu'une génération C. On trouve parmi les ascendants des malades une proportion souvent importante d'unions consanguines D. Le risque de naissance d'un enfant atteint issu de l'union de deux hétérozygotes est de 1/4 E. L'hétérozygote à un phénotype clinique identique à celui de l'homozygote pour le gène normal 16) La formule chromosomique suivante est observée dans le syndrome de Turner : A. 47, XXX B. 45, X C. 45, X/46 XX D. 46, X, r (X) E. 46, X, del (Xp) 17) En cas de transmission autosomique récessive et pour laquelle la fréquence des hétérozygotes dans la population est de 1/50, quelle est la probabilité pour l'oncle d'un sujet atteint d'avoir un enfant atteint : A. 1/50 B. 1/100 C. 1/300 D. 1/400 E. Autre réponse 18) Dans le mode de transmission récessif lié au chromosome X (mère conductrice et père sain) : A. 50 % des garçons sont sains B. 50 % des filles sont hétérozygotes C. 75 % des garçons sont porteurs sains D. 50 % des filles sont atteintes E. La mère de la conductrice est conductrice obligatoire 19) Un homme hémophile se marie avec une femme non conductrice, les enfants de cette union seront : A. Tous hémophiles B. Tous les garçons hémophiles, toutes les filles saines C. Toutes les filles conductrices, tous les garçons sains D. Tous les garçons conducteurs, toutes les filles normales E. Tous les enfants génotypiquement sains F. Aucune des propositions précédentes 5/10 20) L'effet observé des gènes chez un individu est appelé : A. Caryotype B. Génotype C. Phénotype D. Allèles E. Diploïdie F. Aucune des propositions précédentes 21) Une femme hémophile est homozygote. Quels sont les risques que sa fille ait un fils malade d'un père sain ? A. 0 B. 25 % C. 50 % D. 100 % E. 80 % 22) L’empreinte génomique parentale : A. 80% des gènes sont soumis à ce phénomène d’empreinte génomique. B. Est un phénomène pathologique C. Correspond au phénomène de lyonisation D. Est une modification épigénétique E. est établie dans les gamètes F. a pour conséquence un synchronisme de réplication G. empêche un contrôle spatio-temporel durant le développement H. est contrôlée par un centre de contrôle de l’empreinte ou « Imprinting Control » 23) Les syndromes de Prader/Willi et Angelman A. Sont des pathologies monogéniques gonosomiques héréditaires B. Sont dans la plupart des cas dus à la délétion d’une région du chromosome 15 C. Dans le syndrome d’Angelman c’est la région d’origine paternelle qui s’exprime D. Peuvent être causés par une disomie uniparentale E. Les gènes impliqués dans ces syndromes ne sont pas tous soumis à empreinte F. Les gènes impliqués codent des protéines mitochondriales 24) L’ADN mitochondrial A. Présente un taux de mutation dix fois inférieur à celui du génome nucléaire B. Code 37 gènes et est circulaire C. Est présent à raison de 500-1000 copies par mitochondrie D. Ses mutations rendent compte de 100% des mitochondriopathies E. Bien qu’extracellulaire, il est impliqué dans une transmission mendélienne F. Lorsqu’il est strictement identique entre les cellules, on parle d’homoplasmie G. Est trop petit pour être utilisé en médecine légale 25) Un organisme composé de 2 ou plusieurs populations chromosomiques différentes, bien qu’issues du même zygote est dit : A. En mosaïque B. polysomique C. chimérique D. triploïde E. aneuploïde F. aucune des propositions précédentes 6/10 26) On parle de série allélique lorsque : A. il existe 2 allèles différents pour un même locus B. l’individu est hétérozygote pour plusieurs loci C. l’individu est hétérozygote pour un même locus D. il existe plus de 2 allèles pour un même locus E. lorsque l’individu est triploïde F. lorsqu’il y a accumulation progressive de mutations somatiques G. le chromosome X est inactivé de manière aléatoire et différente entre les cellules 27) la pénétrance incomplète signifie que : A. des conducteurs obligatoires qui ont des descendants atteints d’une affection autosomique dominante familiale, restent sains B. des conducteurs obligatoires qui ont des descendants atteints d’une affection autosomique récessive familiale, restent sains C. lorsque la pénétrance est de 95%, 5% des porteurs de l’allèle muté ne présentent pas de signes cliniques de la maladie. D. lorsque la pénétrance est de 95%, 95% des porteurs de l’allèle muté ne présentent pas de signes cliniques de la maladie. E. La maladie n’est pas génétique F. D’autres gènes pourraient être responsables de l’expressivité variable de la maladie G. La maladie a obligatoirement une expressivité variable 28) Dans le cas d’une pathologie autosomique récessive : A. globalement la probabilité de présence de la maladie au sein d’une fraterie est de ¾ B. au sein d’une fraterie les deux sexes ne sont pas atteints en proportion égale C. 2 parents atteints n’auront pas toujours une descendance atteinte D. les individus atteints d’allèles délétères récessifs sont souvent issus d’une union entre individus apparentés (consanguinité) E. tout sujet atteint a un parent atteint F. si des enfants sont atteints dans une fraterie, les parents sont obligatoirement homozygotes 29) La trisomie 21 A. dans 95% des cas le chromosome 21 surnuméraire est d’origine maternelle B. est la maladie génétique la moins fréquente en France C. le sex-ratio est de 1 D. peut être décelée à l’échographie E. est due à une translocation dans la majorité des cas F. en mosaïque, est plus grave que lorsqu’elle est libre et homogène puisque la translocation n’est pas héritée 30) dans le cas d’une mutation germinale/somatique: A. une mutation germinale, disparaît avec l’individu porteur B. une mutation somatique acquise peut être transmise à la descendance C. une anomalie apparue dans le zygote sera obligatoirement transmise D. une anomalie apparue dans le zygote sera obligatoirement constitutionnelle E. une anomalie en mosaïque survient avant la première division cellulaire su zygote F. aucune des propositions précédentes 7/10 31) un allèle : A. peut être dominant, récessif ou sauvage. B. correspond à une version de la séquence dans un locus donné. C. dominant s’exprimera toujours. D. récessif ne s’exprimera, en général, que s’il est présent en double exemplaire. E. peut avoir divers degrés d’expression phénotypique. 32) La technique de PCR-RFLP : A. permet de détecter un polymorphisme B. nécessite l’utilisation d’une enzyme de restriction pour l’étape d’amplification C. L’utilisation d’une seule amorce permet de détecter uniquement les individus homozygotes D. L’amplification est exponentielle puisque le rendement de la réaction est de 100% E. Nécessite l’utilisation d’une ARN polymérase stable à haute température F. Présente des cycles de température spécifique pour les étapes de dénaturation, hybridation et élongation 33) Chromosome X et corpuscule de Barr : A. Le X inactif ne se duplique pas lors de la mitose B. Chez l’Homme, l’X présent en un seul exemplaire est actif C. Le corpuscule de Barr est une petite masse de chromatine nucléaire collée contre la membrane du noyau et visible dans les mitochondries féminines D. Les cellules sanguines féminines ont un corpuscule de Barr E. Un sujet turnérien a un seul X et un phénotype masculin mais n’a pas de corpuscule de Barr F. Tout X en plus de un est inactif 34) Concernant l’épistasie, A. Elle désigne la nécessité d’intervention de plusieurs gènes pour exprimer un seul caractère. B. Elle désigne un type d’interaction génique. C. C’est en fait un rétrocontrôle négatif effectué par des gènes à distance sur d’autres gènes. D. Elle peut rendre compte de l’expression retardée de certains traits. E. Elle sera donc en partie un élément responsable de l’hétérogénéité phénotypique. 35) Dans une famille de 20 personnes, dont 16 individus portent un allèle dominant et dont la pénétrance est de 25% : A. 5 individus possèdent l’allèle et l’expriment phénotypiquement. B. 12 individus possèdent l’allèle et l’expriment phénotypiquement. C. 4 individus possèdent l’allèle et l’expriment phénotypiquement. D. La pénétrance caractérise ici : le nombre d’individu porteur de l’allèle/le nombre d’individu l’exprimant phénotypiquement. E. Si l’allèle avait été récessif, l’arbre généalogique aurait été insuffisant pour définir la pénétrance incomplète de la famille. 36) Un couple dont les deux parents sont hétérozygotes pour un trait autosomique dominant a un enfant, qu’elle est la probabilité que cet enfant présente ce trait: D. 1. A. 0,25. E. 3 /4 B. 0,50. C. 0,75. 8/10 37) Parmi les propositions suivantes, quelle est la proposition vraie sur l'ordre chronologique de l'obtention d'un caryotype: 1 ) Traitement par choc hypotonique 2 ) Analyse au microscope et classement des chromosomes à l'aide d'une caméra 3 ) Blocage en métaphase 4 ) Mise en culture 5 ) coloration 6 ) Etalement sur lames et fixation A. (4), (1), (3), (2), (6), (5) B. (4), (3), (1), (6), (2), (5) C. (4), (1), (3), (6), (5), (2) D. (4), (3), (6), (1), (5), (2) E. (4), (3), (1), (6), (5), (2) F. (3), (4), (1), (6), (5), (2) G. (3), (4), (6), (1), (5), (2) H. (3), (4), (1), (6), (2), (5) 38) La visualisation des chromosomes au microscope A. Le marquage en bandes des chromosomes (« banding ») révèle l’euchromatine B. Le marquage en bandes des chromosomes (« banding ») révèle la chromatine active C. Les bandes G sont obtenues après dénaturation à la trypsine D. Les bandes R sont obtenues après dénaturation thermique E. Le marquage des bandes G et R est un marquage de type réciproque F. Le marquage par le sulfate de barium met en évidence l’hétérochromatine constitutive 39) Pour que l'équilibre de Hardy-Weinberg existe : A. La population est de taille modeste B. Espèce diploïde et reproduction asexuée C. Rencontre des gamètes au hasard ou formation aléatoire des couples : panmixie D. Ségrégation aléatoire des gamètes lors de la méïose E. Absence de migration F. Présence de nombreuses mutations sur les allèles considérés G. Absence de sélection d'individus H. Les générations se chevauchent 40) Les précurseurs de la génétique A. Ovistes, animalculistes et épigénistes sont des préformistes B. Les théories initiales de la génétique se fondent sur les premières théories de l’embryologie C. G.H. Mendel confirme les théories de T.H. Morgan et allie gène et chromosome D. En 1953, G.J. Mendel décrit la transmission des caractères par l’étude des petits pois E. En 1865, description de la structure de l’ADN par Watson et Crick F. Aucune des propositions précédentes 9/10 Table du χ2 df 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 0.995 --0.010 0.072 0.207 0.412 0.676 0.989 1.344 1.735 2.156 2.603 3.074 3.565 4.075 4.601 5.142 0.99 --0.020 0.115 0.297 0.554 0.872 1.239 1.646 2.088 2.558 3.053 3.571 4.107 4.660 5.229 5.812 0.975 0.001 0.051 0.216 0.484 0.831 1.237 1.690 2.180 2.700 3.247 3.816 4.404 5.009 5.629 6.262 6.908 0.95 0.004 0.103 0.352 0.711 1.145 1.635 2.167 2.733 3.325 3.940 4.575 5.226 5.892 6.571 7.261 7.962 0.90 0.016 0.211 0.584 1.064 1.610 2.204 2.833 3.490 4.168 4.865 5.578 6.304 7.042 7.790 8.547 9.312 0.10 2.706 4.605 6.251 7.779 9.236 10.645 12.017 13.362 14.684 15.987 17.275 18.549 19.812 21.064 22.307 23.542 0.05 3.841 5.991 7.815 9.488 11.070 12.592 14.067 15.507 16.919 18.307 19.675 21.026 22.362 23.685 24.996 26.296 0.025 5.024 7.378 9.348 11.143 12.833 14.449 16.013 17.535 19.023 20.483 21.920 23.337 24.736 26.119 27.488 28.845 0.01 6.635 9.210 11.345 13.277 15.086 16.812 18.475 20.090 21.666 23.209 24.725 26.217 27.688 29.141 30.578 32.000 0.005 7.879 10.597 12.838 14.860 16.750 18.548 20.278 21.955 23.589 25.188 26.757 28.300 29.819 31.319 32.801 34.267 10/10