301 - Le langage C
Le langage C est en quelque sorte le langage machine de la machine Unix, en même temps que
ce système d'exploitation du cerveau d'un ingénieur des Bell Labs, souhaitant un accès personnalisé à son
ordinateur DEC PDP 11 / 45.
On trouvera en boite 148 le document de référence en provenance des Bell Labs, ainsi qu'un commentaire :
KERNIGAN (B. W.), RITCHIE (D. M.) - The C Programming Language, Prentice Hall 1978, 228 pages
PLUM (Th.) - C Programming Guidelines, Prentice Hall 1984, 145 pages
Comme on peut s'y attendre, le langage C a été l'objet d'innombrables commentaires, particulièrement dans
SIGPLAN Notices, tribune naturelle des spécialistes des langages. Voir articles dans les microfilms de CACM
12/76 p 658 et de SIGPLAN 11/78 p 63 - 3/80 p 21 - 10/80 p 35 - 12/81 p 14 - 1/82 p 42 - 5/82 p 16 -
7/82 p 32 - 8/82 pp 84, 89 - 3/85 p 9 - 9/85 p 21 - 5/86 p 50 - 6/86 pp 55, 59.
Il existe un compilateur C dans chacun des environnements Unix, ou inspirés par ce système, comme
Xenix ou AIX d' IBM. Il en existe aussi hors Unix, et en particulier sur PC.
On liste ci-dessous quelques-unes des réalisations particulières de compilateur C, pour lesquelles nous
disposons d'un peu de documentation.
Harris C (1983) sous VOS : boite 37
UCS Compiling System C d' Unisys : document UP 10972 en boite 132
En 1989, dans le cadre de la vague d'enthousiasme pour la programmation objet, le groupe ATT a
provoqué la définition d'une extension du langage C prenant en compte cette conception. Dans la foulée d'
Unix, ce langage C++, qui reprend le concept de classe de SIMULA 67 et les capabilités définies en
Angleterre, a été largement adopté, au point d'être en quelques années le seul langage de programmation
objet, puisque la mode est passée de créer un langage nouveau par problème.
Une version 2.0 du langage a été rendue publique en 1990, ainsi qu'un compilateur commercial de Microdata
Software, prééquipé de classes correspondant à des applications industrielles.
Nous disposons d'une version en français de ce langage :
LEON (L.) , TRAN MINH (F.) - Introduction au C++ et à la programmation orientée objet, support de
cours à l' Ecole Nationale Supérieure de Techniques Avancées, en boite 149.
302 - Le langage ADA
Aux Etats-Unis, c'est le Ministère de la Défense qui a été, de façon délibérée, le moteur du
développement de l' Informatique. Après avoir, de la guerre à 1952, participé de près ou de loin à la plupart
des projets techniques de calculateurs, puis suscité la définition et la normalisation de COBOL, puis la
création de la CODASYL, sans parler de la mise au point de langages moins universels comme JOVIAL, le
Ministère de la Défense s'est trouvé en difficulté, dans les dernières années 70, pour la programmation des
grands systèmes en temps réel dont il était le promoteur.
Approfondissant la question avec les spécialistes du logiciel, industriels et universitaires, le DOD
acquit la conviction qu'il n'en viendrait à bout que par une procédure beaucoup plus lourde et contraignante
que pour COBOL en son temps. Il fallait en effet :
- définir un langage de programmation qui prenne en compte tous les aspects de la programmation
de systèmes fonctionnant en temps réel.
- définir une procédure réaliste, c'est-à-dire applicable, de validation d' un compilateur pour ce langage,
et d'un environnement dans lequel il pourrait être utilisé (atelier logiciel).
- définir des critères internes au Ministère permettant de décider, ou non, du recours à un tel atelier dans
la vie d'un système particulier.
La décision prise, la première phase consista, en 1977, dans un appel d'offre autour d'une
spécification , baptisée IRONMAN, pour un langage temps réel qui devait être structuré et efficacement
implantable. La nature du demandeur et le souvenir de COBOL firent prendre le projet au sérieux et quatre
consortiums industriels, formés autour de constructeurs et de sociétés de service, entreprirent de répondre en
proposant des langages provisoirement baptisés VERT, ROUGE, BLEU et JAUNE.
Après un an de travail, le premier rapport amenait le DOD à retoucher sa spécification qui devenait
STEELMAN, et deux concurrents restaient en course, VERT et ROUGE. En 1979, le langage VERT, créé par
une équipe internationale dirigée à la CII / HB (France) par l' ingénieur ISCHBIAH, gagnait le concours, et le
DOD normalisait le langage (MIL-STD-1815 du 10 / 12 / 80) et le déposait sous le nom de ADA, en souvenir
de Ada Byron, comtesse de Lovelace, qui fut en 1860 la première programmeuse de l'histoire sur la machine
Catalogue informatique – Volume B - Ingénieur Général de l'Armement Henri Boucher Page : 1/223
de Babbage. Quant à Ischbiah, il fondait sa propre société, ALSYS, pour écrire un compilateur et se
consacrer à la formation des programmeurs ADA du monde entier.
On trouvera en boite 142 la totalité des documents dont nous disposons sur ADA, à savoir :
- le Preliminary ADA Reference Manual, publié par ACM SIGPLAN Notices, Vol 14 N° 6, 6 / 79 part A,
en vue de préparer les discussions du document suivant.
- les Proceedings (preprints de 11 / 80) du symposium organisé conjointement par l' ACM et son groupe
spécialisé SIGPLAN et tenu à Boston, Mass, les 9 à 11 décembre 1980. Le volume de ce document ( 240
pages) montre l'intérêt suscité par cet évènement.
- la norme définitive, ANSI / MIL. STD. 1815A de janvier 1983, sormais valable pour les civils comme
pour les militaires.
- un article paru en 1984 dans une revue indéterminée, probablement Datamation, exposant de façon plutôt
optimiste l'implantation progressive du langage dans la communauté informatique.
La phase suivante, indispensable pour assurer la crédibilité du projet en soulignant la volonté des
initiateurs, consistait dans la création de l'instance de validation. Il semble que le colonel du DOD chargé de
l'opération ait réussi, sans trop nuire à sa carrière, à rester en poste assez longtemps pour mettre en place ce
groupe technique de sorte que dès 1981, des compilateurs ADA et des ateliers logiciels atteignaient le statut
commercial.
La détermination de ce service a contraint les candidats à l'écriture de compilateurs à de grandes manoeuvres,
car ce travail est coûteux en spécialistes hautement qualifiés, donc en dollars. On voit par exemple Systems
Designers coopérer avec DEC pour créer sur VAX des crosscompilateurs XD-ADA à l'usage des
microprocesseurs 68000, iAPX86, MIL. STD. 1750A, désormais constituants de nombreux sous-systèmes
militaires . Ces sociétés estiment à 900 M$ par an les besoins en outils logiciels ADA.
Il n'est pas certain que ce chiffre ait été atteint, car le nombre des projets programmés en ADA n'a
pas été considérable, certainement pas autant que l'espéraient les promoteurs. La volonté d' imposer ce langage
n'a pas toujours été au rendez-vous chez les responsables techniques de projets militaires. Néanmoins, ADA
existe, fonctionne, et le DOD s'en sert, ainsi qu'un petit nombre d'autres administrations. Le scandale serait
plutôt en France, pays du créateur, le premier soin de la Défense a été de créer un contre-ADA, le
langage LTR 3, il est vrai encore moins utilisé que ne l'est ADA.
ADA a fait l'objet d'une révision en 1990, qui ajoute quelques notions nouvelles mais garde une
exacte compatibilité avec la version 1983 d'origine. Une normalisation ISO intervient le 15 / 2 / 95, dont le
trait essentiel est l'intégration du concept d'objet, implicite déjà dans le langage original. A cette époque, il
existe deux sociétés capables de faire des compilateurs ADA :
- ALSYS a fusionné avec Must Software et devient Thomson Software Product. Son compilateur ADA 95
sur Sun date de 10 / 94. Il en est prévu une version temps réel pour le HP 9000/700 en fin 95.
- Rational a absorbé Verdix et le compilateur que cette société avait en cours de production, et travaille
avec DEC et Sun en donnant la priorité au temps réel.
On trouvera ci-dessous une liste incomplète de compilateurs et / ou d'ateliers logiciels ADA:
HAPSE, Harris ADA Programming Support Environnement : boite 37, une fiche
DIANA, de Tartan Laboratory à Pittsburgh, est un premier travail entrepris dès 1982, comme ossature
d'un futur compilateur ADA, constituée par un graphe de dépendances dont les noeuds sont chargés d'attributs.
Publié par SIGPLAN Notices, 2/83 p 37, ce graphe contient 98 attributs et 168 noeuds.
ADA 9X, du même Tartan, est un atelier logiciel (1994) fonctionnant sur DEC VAX / VMS et sur
Sun Sparc, en vue d'utiliser les nouveautés de ADA 90 : l'interpréteur de commande permet d'expérimenter sur
les nouveautés tout en ignorant les parties du texte conformes à ADA 83. L'analyseur syntaxique vérifie
d'ailleurs auparavant l'exacte conformité du nouveau texte avec les spécifications 1983.
La cible de ce produit commercial est constituée par les Texas TMS320C3X et C40, Intel 960, Motorola
68xxx, et toutes machines militaires selon MIL. STD. 1750.
303 - Le Neurocomputer de Hecht - Nielsen
Cette société a créé un modèle de neurocomputer et obtenu un contrat de l' US Army qui doit en
démontrer les potentialités. La machine se présente comme un coprocesseur pour une console Sun,
fonctionnant avec un logiciel de backpropagation, ce qui signifie que les poids à attribuer aux neurones
électroniques sont calculés en partant, en marche arrière, du résultat désiré.
Ce programme travaille au rythme de 100 millions de connexions par seconde en apprentissage, et 500
millions en « pattern recognition » qui est sa finalité.
Catalogue informatique – Volume B - Ingénieur Général de l'Armement Henri Boucher Page : 2/223
Le matériel, présenté aux essais en avril 91, est un anneau systolique de 8 puces NAP, monté sur
deux cartes avec 4 ou 16 MB de SRAM, auxquelles s'ajoute une carte standard de neurocoprocesseurs du
même fournisseur.
Chaque puce NAP comprend quatre processeurs flottants 32 bits travaillant à 20 MHz, qui ont accès à une
mémoire extérieure contenant des poids. Le NAP fournit 160 MFlops, et les 8 NAP équivalent à 1 GFlops.
Leur fonctionnement simultané est du type SIMD ( Single instruction, Multiple data ).
Force est de reconnaître que ces informations, tirées d'une revue spécialisée, laissent un peu trop de
place à l'imagination et supposent chez le lecteur des connaissances qui peuvent manquer.
304 - Les terminaux de Hetra
Cette société apparaît en 1970 en proposant une série 200 de petites machines de gestion qui n'eurent,
comme telles, aucun écho sur un marché saturé. Moyennant quoi la société recale son message, six mois plus
tard, en faisant de ses machines des terminaux lourds, pour lesquels il y avait, semble-t' il, une forte demande.
Ces machines ont certainement trouvé une clientèle, puisque Hetra figurera dans la presse informatique
pendant les dix années suivantes, précisément à ce titre.
Le Mark VII de 1974 est un terminal de saisie multiposte (jusqu'à 8 consoles) construit autour d'un
calculateur Hetra S 310 dont on ne sait rien que le nom, lequel suggère une famille ayant succédé à la série
200. Ce terminal est un ordinateur complet, pouvant supporter, en plus des écrans, LC 400 à 1000, PC 35 à
200, IP 300 à 1250, jusqu'à 8 rouleurs de bandes, jusqu'à 8 disques totalisant 2400 MB, et bien sûr la
ligne synchrone de 56 Kbauds, adaptable à tous codes et protocoles.
Le Mark XI de 6 / 77 est la même machine, dont le logiciel de RJE a été complété par deux
compilateurs Cobol et RPG II permettant le travail en local. Ce terminal peut, à la place de la ligne
synchrone, se connecter directement à un canal IBM.
Le Mark V de 1 / 78 est un terminal plus économique, limité au RJE vers IBM, construit autour d'un
microprocesseur Z80. Il utilise le protocole 2780 / 3780 et transmet des blocs de 400 ou 512 caractères.
Périphériques : LC 300 / 425 / 600, PC 35 / 100, IP 300 / 450 / 600, deux floppies de 250 KB.
Prix : $ 25000 ou $ 600 / mois.
Catalogue informatique – Volume B - Ingénieur Général de l'Armement Henri Boucher Page : 3/223
305 - Hewlett - Packard
L'association fructueuse de MM Hewlett et Packard à commencé dans les années 60, dans un garage
privé de Palo Alto, Cal, que l'entreprise, 40 ans plus tard, conserve pieusement comme un monument de son
histoire. L'objectif était la réalisation d'un instrument de mesure et cette catégorie d'objets est restée
longuement la ritable vocation de HP : en particulier, HP n'a jamais accepté de la Défense d'autre contrat
que ceux de fourniture, portant sur des oscilloscopes et autres générateurs de signaux.
Cependant, les inventeurs devenus industriels ne pouvaient ignorer l'évolution du marché qui souhaite
automatiser les mesures et en faciliter l'exploitation : ils proposent, en 1967, un minicalculateur 2100 qui va
faciliter l'acquisition méthodique de données et, en 1968, un calculateur de table qui permettra aux ingénieurs
d'exploiter celles-ci. Ces deux voies vont inaugurer une longue période de succès et de croissance, schématisée
par le tableau (incomplet) ci-dessous.
Année CA Bénéfice Investissement Effectif
M$ M$ M$
1974 670
1975 981
1976 1112 91 103 31000
1977 1360 122 35100
1978 1728 153 42400
1979 2480 212 52000
1980 3160 269 56000
1981 3695 312 318
1982 4335 390 68400
1983 4858 432 494 72000
1985 6505 487
1987 8090 644 82000
1988 9831 616
1989 11899 829
1990 13233 739
1991 14494 755
1992 16410 549 94000
1993 20317 1177
1994 24991 1599
La constance de ce succès, qui s'est prolongé jusqu'à la fin de la période étudiée, tient certes à une gestion
prudente et à la qualité des produits, mais aussi à une diversification importante qui nous amènera à étudier
les produits par familles, et à un investissement soutenu, absorbant plus de la moitié des bénéfices. La part
de l' informatique, faible au départ, en est à 22 % au début du tableau, mais croît rapidement pour atteindre
50% dès 1980 et ne pas diminuer ensuite. L'exportation a toujours été supérieure à 40% et se fait pour les
2 / 3 vers l' Europe, où d'ailleurs s'effectue une part de la production. On peut citer la France, où HP possède
en 1987 quelque 3500 employés, avec un CA de 4230 MF et un bénéfice de 185 MF; cette même filiale en
pleine expansion atteindra 11,3 MdFF en 1993 (+ 27%), dont la moitié en exportations, avec 219 MFF de
bénéfice (+ 44 %).
Les minis et le temps réel
L'histoire du minicalculateur 2100 et de ses nombreuses variantes techniques et commerciales est
perticulièrement bien documentée, de sorte qu'il est inutile d'y ajouter quoi que ce soit, sauf pour mettre de
l'ordre dans cette importante documentation:
1967 : calculateur microprogrammé 2116 A ; fiche ; un volume sur la microprogrammation
variante commerciale 2115 A : document
1968 : variante commerciale 2114 A : document
Variante technique 2116 B : document
1969 : Applications : exposé des possibilités dans le Hewlett-Packard Journal 8 / 69
document commercial sur l'acquisition de données 10 / 69
temps partagé 2000 A avec BASIC 3 / 68
Calculateur de FFT : 5450 A sur 2116 A, prix $ 49000
Catalogue informatique – Volume B - Ingénieur Général de l'Armement Henri Boucher Page : 4/223
1970 : Document général : pocket guide to interfacing the HP 2100 computer
variante marketing 2116 C
Variante technique 2114 B
1971 : Calculateur microprogrammé 2100 A : fiche et manuel de référence
Applications : mise en forme marketing : les systèmes d'acquisition HP 9600A / G 12 / 72
configurateur 9 / 72
système d'exploitation RTE E et F 9 / 72
autres systèmes temps réel : 9600 C avec RTE C 3 / 73
systèmes distribués : 9701 A / B 3 / 73
temps partagé 2000 E 11 / 71
temps partagé 2000 F, plus étoffé et plus riche 11 / 71
1974 : Définition de l'architecture 21MX de processeurs temps réel, dont la première incarnation est la...
Série M, comprenant trois processeurs 2105A, 2108A, 2112A - fiche 2112A
1976 : Série E, comprenant deux processeurs 2109A, 2113 A - fiche 2113A
Bien que la série E remplace la série M, elle reste pratiquement compatible et ne la périme pas ;
beaucoup de documents traitent des deux familles, notamment :
21MX série E microprogramming qui signale les différences entre M et E.
21MX I / O interfacing guide qui décrit au passage les deux microprogrammations .
21MX Computers Technical data et Software data, qui décrivent les deux familles.
1977 : la famille E vient au premier plan et fait l'objet de plusieurs documents propres:
21MX E-séries Computer, Reference manual
21MX microprogrammable processor port
Application : HP2026, terminal d'entrée pour transmissions raffinées avec compression. Comprend
64 KB de mémoire à semiconducteurs, 15 à 120 MB de disques 7905A, et un
écran HP 2654A. Logiciel spécialisé.
Regroupement marketing de toutes les applications des 21MX sous le sigle HP 1000, afin de
mieux tenir en laisse les clients directs. Propositions hiérarchisées de configurations et de
calculateurs.
HP 1000 Technical data supplément de 6 / 77 définit trois systèmes en rack 21, 31, 81 et
trois systèmes avec bureau 20, 30, 80, tous basés sur le 2113B.
HP 1000 Configuration & site preparation guide , 6 / 77
1978 : Série F, qui ajoute aux E la virgule flottante, soit deux processeurs 2111 et 2117A - fiche 2117A
Document HP 1000 E-series and F-series Computer microprogramming , reference manual
HP 1000 Technical data de 3 / 78 proposant 5 configurations 20, 25, 30, 40, 45, les X0 à base
de 2113 et les X5 à base de 2117, tous au choix en rack ou bureau.
HP 1000 Active software data 3 / 78
HP 1000 Peripherals data 6 / 79
Applications : HP 59310B bus I / O interface kit (bus HP-IB = IEEE 488 ) de 8 / 78
Distributed systems and communication data, composants spécialisés (4 / 79 )
1979 : Consolidation de la famille 21MX maintenant complète:
HP 1000 Hardware data rappelle les 7 modèles en activité des séries M, E, F
HP 1000 Technical data de 6 / 79 limite les produits aux 20, 25, 40, 45
HP 1000 Active Software data rappelle que les systèmes d'exploitation actuellement supportés sont
RTE II et IV. Plusieurs documents RTE IV sont en archives.
HP 1000 Selection and Configuration guide de 6 / 79
Application : progiciel PMC / 1000
très commercial : HP dans la CAO
1980 : création du processeur 2103 en VLSI - fiche
HP 1000 Technical data de série L , décrivant les versions 9 et 10. Echec, elles sont jugées trop
peu puissantes et dépaysantes pour les clients.
Logiciel RTE VI pour les HP 1000, dans Software technical data supplement
Calculateur personnel HP 1000 version 5, à base de 2103, avec logiciel RTE . L : faible succès à
cause de son incompatibilité avec les PC.
1981 : création de la série A, à processeur CMOS / SOS - fiches A 600, A 700, A 900
1982 : HP 1000 Technical data concernant les modèles 6, 16 et 17
Brochure commerciale concernant les modèles 26, 27, 29 baptisés Micro 1000
Catalogue informatique – Volume B - Ingénieur Général de l'Armement Henri Boucher Page : 5/223
1 / 223 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !