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Remerciements
Un service rendu à temps, si petit soit-il, est plus grand que l’univers.
(verset 102 de Tiru-k-kural)
Nombreuses sont les personnes qui m’ont accompagné dans mon travail de
recherche au cours de ces quatre dernières années. En premier lieu, Je voudrais
exprimer ma reconnaissance aux institutions académiques qui ont porté ce travail et
contribué à son aboutissement : l’Institut Catholique de Paris (ICP), l’Université de Paris-
Est (UPE), Boston College (BC).
Ma dette de reconnaissance va envers mon directeur de thèse, le professeur
Dominique FOLSCHEID (UPE) et mon premier examinateur le professeur Jean GREISCH
(ICP) qui m’ont fait bénéficier de leurs expertises respectives et ont guidé ma recherche
avec disponibilité et compétence, les chercheurs et enseignants grâce auxquels, par la
discussion, a souvent jailli la lumière ou un surcroît de clarté, particulièrement Philippe
CAPELLE (ICP), Jeffrey BLOECHL (BC) et Richard KEARNEY (BC) et bien sûr ceux de
l’Institut Catholique de Paris, trop nombreux pour être tous cités ici. Un grand merci
également aux professeurs François CHENET (Paris IV) et Ronan SHARKEY (IPSB) qui ont
accepté d’être les membres du jury et ont contribué à mes réflexions
Une très grande reconnaissance d’amitié à Mme. Geneviève VIBERT, au
P. Bernard LE LANN et au P. Roland LEFÈVRE qui m’ont constamment soutenu au cours
de la rédaction de ma thèse et qui se sont engagés aussi vivement que moi dans ce
travail de recherche. Au P. Olivier TELLIER, correcteur attentif et perspicace du
manuscrit : un remerciement tout spécial pour les nombreuses heures qu’il lui a
consacrées.
À la société des Missions Étrangères de Paris (MEP), envers qui j’ai une dette
ineffaçable, un très grand merci, particulièrement au P. Jean-Baptiste ETCHAREN, au P.
Georges MANSUY, à tous les membres du conseil ainsi qu’au P. Jean-Michel CUNY, au P.
Balthasar CASTELLINO et tous les prêtres des MEP. En geste de grande reconnaissance
envers cette société, j’aimerais lui dédier ce travail.
Enfin, à ma famille, mes amis et confrères revient ma gratitude pour leur soutien
appréciable dans cette aventure solitaire d’une rédaction de thèse. Parmi eux, je pense
très aimablement à mes parents, mon père V. IRUDAYADASON et ma mère Blaze
IRUDAYADASON qui m’ont initié à une totale ouverture à autrui dès mon enfance. Je
pense également à mon évêque Mgr. A. Jude PAULARAJ, les amis prêtres de mon
diocèse et mes amis professeurs de l’université pontificale (JDV) à Pune en Inde : à
toutes ces personnes je suis redevable.