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y Chez certains individus les effets de l’électrosmog se manifestent
immédiatement tandis que chez d’autres cela peut durer des années.
y La plupart des personnes sensibles à l’électrosmog ne font pas le lien et le
diagnostic posé est souvent: fatigue chronique, burn-out et une immunité
amoindrie.
y Nos enfants sont en fait les plus menacés car leur cerveau est encore en
pleine croissance. Leur cerveau est en outre plus petit et leur boîte crânienne
plus tendre que celle des adultes. Souvent ils sont soumis aux radiations des
réseaux sans fil installés à l’école et à la maison. L’insomnie, les maux de
tête, l’ADHD, les problèmes d’ouïe et de vue tout comme les perturbations
du système nerveux sont quelques-uns des symptômes possibles.
y Le gouvernement français est le premier qui a préparé une proposition de loi
visant la protection des enfants contre l’électrosmog. Cette proposition
mentionne également l’interdiction de publicité pour des GSM visant le
groupe cible des enfants de moins de 12 ans. Tout comme l’interdiction
d’utiliser des oreillettes et des GSM pour les enfants n’ayant pas 6 ans. Il
faut dire qu’au niveau des propositions de loi offrant une protection contre
l’électrosmog, la France bat réellement tous les records!
y Le département de Santé Publique de Toronto (Canada) recommande que les
enfants en-dessous de 8 ans ne puissent utiliser un GSM en cas d’urgence et,
que les jeunes en-dessous de 18 ans doivent limiter leurs conversations
téléphoniques à maximum 10 minutes.
y Déjà après 20 secondes de téléphone mobile nos cellules réagissent. Les
globules rouges dans le plasma sanguin se coagulent pour former ce que l’on
appelle des petits bourrelets. Il faut plusieurs heures pour que ces adhérences
se décomposent à nouveau. A bon entendeur… et vaut surtout comme mise
en garde pour les fanas des appels mobiles qui ne savent pas se séparer de
leur GSM, même pas la nuit !
y Les recherches scientifiques vont toutes dans le même sens et dénoncent les
rayonnements et leurs effets nocifs. Aujourd’hui déjà, on soupçonne que d’ici
5 à 10 ans il y aura une hausse de tumeurs, surtout chez les enfants.
Mieux vaut prévenir que guérir.
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