7. Que répond M. Doyon à madame Durand, qui assure qu’aucune promotion du
crédit n’est faite auprès des jeunes de moins de 18 ans?
Il lui répond que les jeunes ont accès à la nouvelle technologie (Internet,
téléphones cellulaires, IPod, etc.), où la publicité reliée au crédit est
omniprésente.
8. Que répond madame Durand à Dominique Poirier qui lui demande s’il est
facile pour un jeune d’obtenir une carte de crédit?
Elle répond qu’il faut d’abord faire une demande et que l’institution
financière accordera une faible limite de crédit à un jeune (autour de 300$).
Plus tard dans l’entrevue, elle ajoute que oui, l’accès au crédit est facile
puisqu’un jeune peut facilement demander d’avoir une carte et d’avoir accès
au crédit. Elle rappelle cependant que l’entreprise émettrice d’une carte de
crédit est prudente, entre autres en allouant une faible limite de crédit.
9. Résumez les propos de madame Durand sur les règles d’octroi de cartes de
crédit aux jeunes et sur les mesures mises en place pour les encadrer.
Madame Durand explique qu’on suit de près le comportement des jeunes
détenteurs de cartes de crédit en vérifiant entre autres leur capacité de
remboursement et l’usage qu’ils font de leur carte, et aussi en vérifiant qu’ils
acquittent le solde de leur carte de crédit dans les délais requis. Pour aider
les jeunes à respecter ces délais, un avis de paiement est même envoyé au
détenteur de la carte trois jours avant l’échéance.
10. Avoir une carte de crédit comporte quand même des aspects positifs.
Relevez-en deux.
La carte de crédit est utile et même essentielle pour louer ou acheter un
véhicule automobile, acheter une propriété, réserver une nuit d’hébergement,
etc.
11. M. Doyon parle de responsabilité globale dans la question de l’utilisation du
crédit : qui, selon lui, doit se partager cette responsabilité?
Les gouvernants, les émetteurs de cartes de crédit et les consommateurs.