Publication scientifique d’une découverte scientifique « la force centrifuge est une source d’énergie » Auteur : Statut : Ghendir Mohammed Zekaraïa Inventeur indépendant,Ingénieur d’état en Télécommunications (TIC) Employeur : ALGERIE TELECOM E-mail : [email protected] [email protected] 10 mai 2006 1 Ι-Introduction Depuis le collège, je suis fasciné par le fait qu'un objet puisse éclater lorsqu'il atteint une certaine vitesse de rotation. Cette rupture de la matière nous pouvons la nommer explosion froide car elle est sans flammes et sans détonation. Cette rupture de la matière a pour cause la force centrifuge. Cette force, don de la nature, facile à obtenir, sans trop d’effort, n’est autre qu’une source d’énergie . Comme les panneaux solaires pour le soleil, comme l'éolienne pour le vent, comme tout transducteur transformant une grandeur physique d'un état à un autre, un dispositif mécanique est nécessaire pour la capter. Le Générateur d'Energie Cinétique ou GEC est un dispositif mécanique déformable utilisant la force centrifuge et l’explosion froide pour générer de l’énergie cinétique. La force centrifuge est indissociable de la masse du solide en rotation, se solide usinée en aile d'avion verra sa portance (sous l'effet de la résistance de l'air) s'ajouter a la force centrifuge. La portance (ou force de sustentation utilisée horizontalement) devient aussi une source d'énergie. Cette publication vous fera connaître la découverte de la force centrifuge comme source d’énergie cinétique ainsi que la conception du « GEC » (Générateur d’énergie cinétique) comme transducteur de la force centrifuge en énergie cinétique de rotation. 2 II-Matériel et méthodes 1-L’observation Masselotte Coulisse Axe de rotation Figure-1 Soit un système déformable, constitué d’un axe de rotation, de deux masselottes pouvant glisser sur une coulisse chacune et disposées symétriquement de part et d’autre de l’axe de rotation. La figure-1 représente ce système, conçu de telle manière à rapprocher le plus possible de l’axe de rotation les masselottes. Les masselottes sont solidement liées pour ne pas quitter, sous l’effet de la force centrifuge, leur position. Ainsi, le mécanisme possède un moment d’inertie Jpetit. Nous appliquons à ce mécanisme une vitesse angulaire ω, l’énergie cinétique du système est : Ec initiale = ½.Jpetit.ω2 Supposons que le moment résultant des forces extérieures appliquées au système soit nul ; alors le moment cinétique σ = Jpetit.ω du système ne varie pas au cours de la rotation. Libérons les masselottes, la force centrifuge provoquera une déformation du système en rotation faisant varier de Jpetit à Jgrand son moment d’inertie par rapport à l’axe, la vitesse angulaire varie simultanément de ω à ω’ de façon que l’on ait : Jgrand ω’ = Jpetit ω ω’ = Jpetit ω Jgrand ω’ plus petit que ω C’est la conservation du moment cinétique. 3 Masselotte Coulisse Axe de rotation Figure-2 La Figure-2 représente le mécanisme avec Jgrand. Pour garder la même vitesse angulaire ω, il faut faire varier le moment cinétique en faisant agir un couple de forces (ou moment d’impulsion) sur l’axe de rotation. L’énergie cinétique du système serait : Ec finale = ½.Jgrand.ω2 Le couple de forces (ou moment d’impulsion) a donné au système une quantité d’énergie égale à : Ec finale - Ec initiale = ½.Jgrand.ω2 - ½.Jpetit.ω2 = ½.( Jgrand - Jpetit ). ω2 avec Jgrand = 2.(Jmasselotte + m.Rf2) + Jmécanisme Jpetit = 2.(Jmasselotte + m. Ri2) + Jmécanisme Jmasselotte : c’est le moment d’inertie de la masselotte Jmécanisme: c’est le moment d’inertie de la partie du mécanisme qui ne participe pas la déformation m: Ri : Rf : mais en rotation pendant la déformation. c’est la masse de la masselotte c’est le rayon initial entre l’axe de rotation et le centre de gravité de la masselotte. Le moment d’inertie du système est Jpetit. c’est le rayon final entre l’axe de rotation et le centre de gravité de la masselotte. Le moment d’inertie du système est Jgrand. Remplaçons Jpetit et Jgrand par leur valeur : 4 Ec finale -Ec initiale = ½.[[2.(Jmasselotte+m.Rf2)+Jmécanisme]-[2.(Jmasselotte+m. Ri2)+Jmécanisme].ω2] Ec finale -Ec initiale = ½.[[2.(Jmasselotte+m.Rf2)+Jmécanisme-2.(Jmasselotte+m. Ri2)-Jmécanisme].ω2] Ec finale -Ec initiale = ½.[2.(Jmasselotte + m.Rf2) - 2.(Jmasselotte + m. Ri2)]. ω2 = [(Jmasselotte + m.Rf2) - (Jmasselotte + m. Ri2)]. ω2 = (Jmasselotte + m.Rf2 - Jmasselotte - m. Ri2). ω2 = (m.Rf2 - m. Ri2). ω2 = m.(Rf2 - Ri2). ω2 = m.(Rf + Ri).(Rf - Ri). ω2 = 2.[ m. ½.(Rf + Ri).ω2].(Rf - Ri) Ec finale -Ec initiale = ½.Jgrand.ω2 - ½.Jpetit.ω2 = 2.[ m. ½.(Rf + Ri).ω2].(Rf - Ri) Nombre de masselottes Quantité d’énergie cinétique nécessaire au système pour admettre une déformation tout en gardant sa vitesse angulaire initiale ω. Force centrifuge moyenne Distance parcourue par la masselotte L’observation à retenir c’est l’égalité entre le travail moteur effectué par la force centrifuge et la quantité d’énergie cinétique nécessaire au système pour admettre une déformation tout en gardant sa vitesse angulaire initiale ω. L’existence de la force centrifuge provient de la mise en rotation du système à une vitesse angulaire ω que l’on peut obtenir facilement avec une petite quantité de travail très inférieure à la quantité d’énergie cinétique obtenue en fin de cycle. Cette importante différence incite à capter la force centrifuge et à l’injecter pour l’utiliser comme moment d’impulsion sur l’axe de rotation du mécanisme en rotation lui donnant naissance. La force centrifuge agit géométriquement, en déformant le système, comme force intérieure ; elle agit aussi simultanément, en entretenant la vitesse angulaire ω, comme force extérieure. Pour capter ce travail gratuit et sans origine matérielle, il suffit d’attacher la masselotte à un câble qui permettra, par le truchement d’un mécanisme de renvoi, d’appliquer un couple de force sur l’axe de rotation du système déformable en question. Dans ce cas la tension du câble est égale à la force centripète. 5 2-La similitude « Le poids d’un solide peut communiquer son énergie potentielle à un volant d’inertie sous forme d’énergie cinétique ; un solide sous l’effet de la force centrifuge peut le faire aussi ». Volant d’inertie ayant un moment d’inertie J Axe de rotation Corde Solide de masse M et situé à une hauteur h Figure-3 La figure-3 représente un exemple de captage, ou de transformation de l’énergie potentielle en énergie cinétique, ou de transfert de l’énergie d’un solide à un autre. Le solide de masse m possède de l’énergie potentielle égale à mgh, g étant l’accélération de la pesanteur. Libéré en chute, le solide de masse m tire sur la corde et entraîne en rotation le volant d’inertie. Juste avant de toucher le sol, il a perdu toute son énergie potentielle, il a acquit une vitesse linéaire V et une quantité d’énergie cinétique égale à ½ mV2. En même temps le volant d’inertie a acquit une vitesse angulaire ω et une quantité d’énergie cinétique égale à ½ J ω2. Ainsi mgh = ½ mV2 + ½ J ω2 (Transformation de l’énergie potentielle en énergie cinétique) Et si on faisait tournait le tout de 90° comme l’indique la figure-4. Le mécanisme ne fonctionne plus car l’orientation de la force ne convient plus à sa conception. Figure-4 6 P=mg R Pour que le mécanisme fonctionne il faut comme l’indique la figure-5 : - une coulisse pour que sa réaction R équilibre P=mg. - créer une force horizontale et perpendiculaire à l’axe de rotation. - veiller à faire passer par l’axe de rotation la direction de cette force à créer. Cette Force ne peut être que la Force Force à créer Coulisse P = mg Figure-5 Centrifuge. Faire tourner tout le mécanisme est donc nécessaire. Il est facile de vérifier, en utilisant la vitesse tangentielle de la masselotte, que la force centrifuge injectée comme moment d’impulsion donne une force constante et suffisante (quelque soit la position de la masselotte le long de la tige) pour accélérer la masselotte de Riω à Rfω. Vitesse tangentielle Pendant la déformation, la vitesse tangentielle de la masselotte passe de Riω elle subit ou doit subir une force égale à à Rfω donc m(Rfω - Riω)/t = m (Rf - Ri).ω/t (t = durée de la déformation). Soit m.R.ω2 la valeur de la force centrifuge, en prenant comme unité le rapport du mécanisme de renvoi, revient à appliquer cette force centrifuge sur une roue solidaire de l’axe de rotation du système déformable, de rayon égal à (Rf - Ri)/2π . [(Rf - Ri) c’est le périmètre de la roue, direction d’action de la force centrifuge]. Pour une masselotte le moment de force serait : m.R.ω2 . (Rf - Ri)/2π A un point quelconque de sa position sur la coulisse, la masselotte subit la force : [m.R.ω2 . (Rf - Ri)/ 2π]/R = m.(Rf - Ri).ω2/ 2π = m.(Rf - Ri).ω. ω / 2π = m.(Rf - Ri).ω.1/t = m (Rf - Ri).ω/t 7 comme ω / 2π = 1/t c’est bien la valeur qu’il faut pour passer de Riω à Rfω (R = position de la masselotte le long de la coulisse = distance séparant le centre de gravité de la masselotte et l’axe de rotation) Quelque soit le rapport de multiplication du mécanisme de renvoi et quelque soit la valeur de la force centrifuge (du début de la déformation jusqu’à la fin), pour une vitesse angulaire ω constante, la force centrifuge est transformée en une force constante perpendiculaire à sa direction, nécessaire et suffisante pour propulser la masselotte de la vitesse linéaire tangentielle Riω à la vitesse linéaire tangentielle Rfω. Le reste du mécanisme qui ne participe pas à la déformation est supposé sans perte (force de frottement nulle) donc garde sa vitesse angulaire ω et ne prend rien du moment d’impulsion donné au système déformable en rotation. Pendant la durée de l’action, la masselotte (une seule) acquiert la quantité d’énergie cinétique suivante : ½ m(Rfω)2 – ½ m(Riω)2 = ½ mω2(Rf2 - Ri2) = ½ m(Rf + Ri) ω2. (Rf - Ri) = Ec finale - Ec initiale (Energie cinétique finale moins Energie cinétique initiale égale Force centrifuge moyenne multipliée par la distance parcourue : c’est le travail moteur effectué par la masselotte) Energie cinétique finale = ½ m(Rfω)2 Energie cinétique initiale = ½ m(Riω)2 Force centrifuge moyenne = ½ m(Rf + Ri) ω2 Distance parcourue = (Rf - Ri) Les calculs aboutissent bien au même résultat. 8 III-Résultats 1-L’invention Générateur d’Energie Cinétique "GEC" A la découverte est associée une invention qui n’est autre que le transducteur de la force centrifuge en énergie cinétique. Ci-joint le schéma de principe. Masselottes Axe de rotation Force centrifuge Poulies de renvoi solidaires avec l’axe de rotation Coulisse Corde Poulies de renvoi solidaires avec le bâti Butée de rotation, lien entre la partie rotative et la partie fixe A A Corde Solide fixation de la corde La force centrifuge se retrouve ici -Planétaire -Roue libre -axe Multiplicateur à train épicycloïdal équipé d’un frein, pour bloquer la couronne, et d’une roue libre sur le planétaire pour l’application du moment d’impulsion dés que la couronne est libérée. Couronne Corde POULIE Satellite sur porte-satellite solidaire du bâti Solide fixation de la corde Figure-6 Force centrifuge=Force centripète=Tension de la corde 9 La figure-6 représente le schéma de principe du Générateur d’Energie Cinétique en fin et début du cycle de fonctionnement. C’est un système déformable permettant l’augmentation, gratuitement, du moment cinétique. Par système déformable, il y a lieu de comprendre, tout système mécanique rotatif ayant un moment d’inertie initial Jpetit (avant déformation) plus petit que son moment d’inertie final Jgrand (après déformation). 2-Comment ça marche (Le Fonctionnement du Générateur d’Energie Cinétique) 1ère phase : Le mécanisme est remis à zéro, c'est-à-dire les masselottes rapprochées de l’axe de rotation, le moment d’inertie est au minimum (Jpetit), la couronne freinée pour maintenir les masselottes. A l’aide d’un moteur le système est lancé en rotation jusqu’à sa vitesse angulaire de fonctionnement (le moteur a terminé son rôle, il est retiré). C’est la phase de LANCEMENT ou EXCITATION. 2ème phase : Le frein est lâché, les masselottes sous l’effet de la force centrifuge explosent sans flammes et sans détonation, c’est l’EXPLOSION FROIDE, la force centrifuge applique sur la couronne le moment d’impulsion adéquat en tirant sur les cordes. Pour que les masselottes ne prennent pas trop de travail sous forme d’énergie cinétique, il y a lieu de choisir le rapport de multiplication le mieux adapté (plus la durée de cette phase est longue, moins de travail pris par les masselottes). Cette phase se termine en fin de course des masselottes, le moment d’inertie est au maximum (Jgrand). C’est la phase de GENERATION ou DEFORMATION. 3ème phase : Le fruit est mûr il faut le cueillir. Par récupération il est possible de stocker cette énergie sous la forme désirée. Selon la conception du système elle est plusieurs fois supérieure à l’énergie nécessaire pour la phase de lancement (1ère phase). C’est la phase de PRODUCTION ou CUEILLAISON. 4ème phase : La machine totalement vidée est à l’arrêt, un petit dispositif à très faible consommation pourrait remettre le tout en place comme au début de la 1 ère phase, freiner la couronne et la machine est prête pour un nouveau cycle. C’est la phase de REMISE A ZERO ou RAZ. 10 3-La particularité Un objet en translation ou en rotation doit recevoir du travail moteur pour acquérir de la vitesse. Le "GEC" avec une vitesse angulaire constante et une masse constante gagne de l'énergie cinétique par déformation géométrique. C’est de l'énergie par géométrie variable. C’est une déformation qui donne de l'énergie, cette déformation n'absorbe pas de l’énergie. Qui, en agissant comme moment Entretient l'existence de la Force centrifuge d'impulsion, entretient ω Le système se boucle (circuit fermé pendant la 2ème phase ) ω Parallèle entre le moteur à quatre temps et le "GEC" TEMPS Moteur à quatre temps 1er temps ADMISSION ème 2 temps COMPRESSION Explosion chaude Obéit aux principes de la THERMODYNAMIQUE chaude thermodynamique 3ème temps DETENTE 4ème temps ECHAPPEMENT Générateur d’Energie Cinétique ou "G E C" LANCEMENT ou EXCITATION PHASES 1ère phase « Explosion froide » Obéit au principe de la RELATION FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE froide thermodynamique GENERATION ou DEFORMATION. 2ème phase PRODUCTION ou CUEILLAISON 3ème phase REMISE A ZERO ou RAZ. 4ème phase Analyse du parallèle ci-dessus : Les premier et deuxième temps : Admission et Compression, sont réalisées en première phase : Lancement ou Excitation L’explosion chaude et « l’explosion froide » sont au même point du cycle. Le troisième temps : Détente, est réalisé en deuxième et troisième phases : Génération ou Déformation et Production ou Cueillaison. Le quatrième temps : Echappement et la quatrième phase : Remise à Zéro ou RAZ, occupent le même rang dans le cycle. Conclusion du parallèle ci-dessus : 1. l’explosion chaude est la source d’énergie du moteur thermique. 2. l’explosion froide est la source d’énergie du "G E C". Une explosion, sous toutes les formes possibles, libère toujours de l'énergie. 11 IV-Discussion L’essence de l’invention est caractérisée par l’usage de l’explosion froide et le captage du travail moteur effectué par les masselottes. Le poids d’un solide peut communiquer son énergie potentielle à un volant d’inertie sous forme d’énergie cinétique ; un solide sous l’effet de la force centrifuge peut le faire aussi. L’énergie potentielle d’un solide va (du haut vers le bas) en diminuant. Le travail moteur de la force centrifuge va (du centre vers la périphérie) en augmentant. Bien sûr, un asservissement s’impose pour gérer le régime de fonctionnement cyclique de la machine. Plus la cadence est grande (nombre de cycles élevé) et plus de Kwh sont générés. Aucune violation des lois de la physique, le "GEC" obéit aux principes de la relation fondamentale de la dynamique. Energie propre. Disponible à tout moment. Inépuisable. A la portée de tous. Dégagement de chaleur très insignifiant et sans gaz nocif. Pollution limitée au graissage des pièces mécaniques. La partie qui ne participe pas à la déformation doit être la plus légère possible. La partie qui participe à la déformation doit être la plus lourde possible ou mieux encore utiliser le plus grand rayon possible (plus la masselotte se déplace et plus elle travail). Si le régime cyclique est considéré comme mouvement perpétuel, c’est un mouvement perpétuel productif. La force centrifuge est une source d’énergie gratuite. La portance utilisée horizontalement est aussi une source d’énergie gratuite. Plusieurs variantes du générateur d’énergie cinétique pourront être fabriquées. Une infinité d’utilisation, c’est la vocation d’une source d’énergie. 12 V-Conclusion La FORCE CENTRIFUGE est belle et bien une SOURCE D’ENERGIE La force centrifuge n’est pas une inconnue (centrifugeuse, fronde, centrifugeuse humaine, etc.…), son exploitation comme source d’énergie nécessite un système mécanique déformable usant de l’explosion froide (c'est-à-dire : libérer les masselottes à la vitesse angulaire de travail) et la répétition des cycles comme un moteur à explosion interne ou thermique. Le Générateur d’énergie cinétique ou "G E C" est un dispositif transducteur assurant la transformation du travail moteur de la force centrifuge en énergie cinétique. Une variante du « GEC » pourrait même associer à la force centrifuge, la force de sustentation d’une aile d’avion. Il suffit de donner à la masselotte la forme d’une aile d’avion. Comme les éoliennes qui utilisent la force du vent, comme les panneaux solaires qui utilisent la lumière du soleil, le Générateur d’énergie cinétique utilise la force centrifuge pour obtenir de l’énergie cinétique en disponibilité quasi permanente, en source d’énergie intarissable, naturelle, très propre et gratuite. L’énergie cinétique générée sera recueillie : - sous forme d’énergie calorifique à l’aide d’un mécanisme de freinage plongé dans un liquide caloporteur. - sous forme d’énergie électrique par le biais d’un dispositif convertissant l’énergie mécanique en énergie électrique, directement consommable ou à emmagasiner dans des accumulateurs électriques. - sous forme d’énergie cinétique par le biais d’un dispositif permettant de l’emmagasiner dans un volant d’inertie. - sous forme d’énergie potentielle par le biais d’une pompe hydraulique (ou compresseur) permettant de la stocker dans un accumulateur hydraulique (ou pneumatique). 13 SOMMAIRE Page de garde:…………………………………………………………..page 1 objet du document, destinataire, titre de la découverte, mini CV de l'auteur Ι-Introduction …………………………………………………………..page 2 II-Matériel et méthodes ………………………………………………..page 3 1-L’observation …….……………………………………………page 3 2-La similitude…………………………….……………………...page 6 III-Résultats……………………………………………………..………page 9 1-L’invention:……………………………………………..….…..page 9 Générateur d’Energie Cinétique " G E C " 2-Comment ça marche……………………………………...….…page 10 (Le Fonctionnement du Générateur d’Energie Cinétique) 3-La particularité ………………………………………….……..page 11 IV-Discussion………………………………………………….…….…..page 12 V-Conclusion………………………………………………………….…page 13 14