De plus un des apports majeurs de 2005 est SQL server a trop avancé: la gestion des erreurs
par try ... catch ; Les développeurs sérieux vont enfin pouvoir écrire du code robuste, avec,
par exemple, la mise en place de pré-conditions dans les procédures stockées.
Les fonctions étendues sont complètement décrites, avec en particulier, l'étude des fonctions
de types table qui sont très utile pour encapsuler des fonctions avancées.
Les triggers sont également étudiés : une nouveauté intéressante de 2005 concerne les triggers
DDL qui sont capables de surveiller les mises à jour du dictionnaire (create table, create
proc,...) je les utilise par exemple pour gérer de manière efficace et automatique la sécurité
des objets dans mes bases de données.
En conclusion
Je lis sur certains forums que le développement côté serveur serait obsolète et que les
nouvelles technologies amèneraient des solutions de remplacement.
Je pense qu'il n'en est rien car de plus en plus d'applications utiliseront des machines à très
faibles capacités de traitement et de stockage : les PDA, les téléphones numériques.
Par ailleurs le partage des données entre application multiples et hétérogènes devient une
évidence : serveur Intranet + Internet + client serveur 2 tiers, + PDA +....
A l'inverse, l'époque où les applications Internet étaient un monde à part me parait révolue et
on va donc bien devoir développer des applications rapides, robustes et à haute disponibilité.
D'ailleurs, la question que je me pose maintenant de plus en plus pour un logiciel est :
où vais-je développer cette partie ? Avec quel composant ?
Et il est clair que, pour une partie manipulant beaucoup de données, la réponse est souvent
dans la base de données.
A l'inverse des interactions homme-machine seront bien évidemment à l'aise côté client
(JavaScript, VBScript,...)
Donc un bon développeur doit utiliser : le bon outil au bon moment.
Bref historique : [2]
En juin 1970 Edgar Frank Codd publia l'article « A Relational Model of Data for Large
Shared Data Banks » ("Un modèle de données relationnel pour de grandes banques de
données partagées") dans la revue Communications of the ACM (Association for Computing
Machinery). Ce [modèle relationnel] basé sur la logique des prédicats du premier ordre a été
rapidement reconnu comme un modèle théorique intéressant pour l'interrogation des bases de
données, et a inspiré le développement du langage Structured English Query Language
("SEQUEL") (langage d'interrogation structuré en anglais), renommé ultérieurement SQL.
Développée chez IBM en 1970 par Donald Chamberlain et Raymond Boyce, cette première
version a été conçue pour manipuler et éditer des données stockées dans la base de données