l’émergence prônée par le Chef de
l’Etat, ce qui implique que nos
entrepreneurs soient parfaitement au
fait de la politique économique de
votre pays et des priorités assignées à
son développement, mais également
que vous connaissiez leurs
préoccupations et leurs difficultés.
Dans cette perspective, le Plan
d’action a prévu pour faciliter -je cite-
« la participation active des entreprises
françaises » à -je cite toujours- « une
nouvelle croissance, moteur d’un
Gabon émergent » l’organisation de
rencontres trimestrielles entre les
opérateurs économiques français
établis au Gabon et les autorités
gabonaises, au sein d’un « Conseil
franco-gabonais des affaires »,
composé de manière ad hoc en
fonction des sujets abordés.
Comme l’a affirmé le Président
SARKOZY dans son discours devant
les forces vives de la Nation à la Cité
de la Démocratie, ce Conseil doit
permettre « de faire concrètement le
point sur les faiblesses, d’un côté
comme de l’autre, pour faire un
partenariat gagnant-gagnant » dans le
contexte d’une « concurrence accrue,
… mais d’une concurrence qui doit
être à arme égale ».
Je suis donc particulièrement
heureux de constater la rapidité avec
laquelle ce projet a pu voir le jour, et à
cet égard, je voudrais souligner quel a
été le poids de votre implication
personnelle, Monsieur le Premier
Ministre, dans cette réussite. Entouré
de nombreux membres de votre
gouvernement, vous avez tenu à
présider vous-même cette première