Liste d’attente en santé sur internet
Santé: scepticisme autour des listes d'attente sur Internet
Mise à jour le mardi 16 septembre 2003, 9 h 36 .
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Le ministre de la Santé du Québec Philippe Couillard (archives)
L'idée de publier les listes d'attente des hôpitaux sur Internet, afin que les
malades puissent trouver les établissements offrant les délais les plus
courts, est accueillie avec scepticisme dans le milieu québécois de la santé.
Tant les regroupements de médecins que les groupes de protection des malades
croient que ce projet annoncé en fin de semaine par le ministre québécois de
la Santé, Philippe Couillard, ne réglera pas le problème de fond des patients
en attente d'une chirurgie.
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Au nombre des critiques, figure notamment le fait que les listes actuelles
sont incomplètes et donc peu fiables et qu'en outre, tous n'ont pas accès à
Internet. Le Conseil de la protection des malades croit également que le fait
de magasiner son hôpipal sur Internet comme on pourrait achèter un téléviseur
en ligne pose un problème d'éthique.
À la Fédération des médecins spécialistes, on précise qu'avant une opération
un contact doit nécessairement s'établir entre le patient et le chirurgien ce
qui suppose plusieurs visites. Par surcroît, la présidente de Coalition
solidarité santé dénonce les coûts de déplacement qui devront être assumés par
le patient résidant dans une région éloignée de l'établissement hospitalier.
Élection ontarienne et santé mentale
Paru lundi 15 septembre 2003 sur CNW
Round table addresses mental health issues
LONDON, ON, Sept. 15 /CNW/ - People with mental illness, their families
and mental health care providers, including representatives from the Canadian
Mental Health Association (CMHA), Ontario and London Branch, gathered in
London today to discuss the crisis in Ontario's mental health care system.
Liberal leader Dalton McGuinty and local candidates were on hand to listen to
their concerns.
Community mental health budgets have been frozen for twelve years in
Ontario, and many community agencies have felt their resources stretched to
the breaking point. "One in five Ontarians will experience a mental illness in