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Veille personnes ayant des incapacités
Jeudi 4 septembre 2003
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o Enquête sur la santé mentale des canadiens
o Conseil national sur la santé
o Avis du Conseil de la famille et de l’enfance sur les services de
garde
Enquête sur la santé mentale des canadiens
En suivis à la parution de l’Enquête sur la santé mentale des canadiens, de nombreux médias
traitent du sujet. Notons entre autre l’article de La Presse mentionnant que les soins en santé
mentale coûtent 4,7 milliards chaque années au Canada.
Les soins de santé mentale coûtent près de 5 milliards
Peu de canadiens éprouvant des symptômes de troubles mentaux
font pourtant appel à un professionnel
La Presse, jeudi 4 septembre 2003 p. A5
(Édition papier seulement)
D’autres articles sont disponibles dans les médias d’aujourd’hui
Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes : santé mentale et bien-être
http://www.statcan.ca/Daily/Francais/030903/q030903a.htm
Parue mercredi 3 septembre 2003 sur Yahoo Canada
Presse Canadienne
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mercredi 3 septembre 10h00 HNE
Les Canadiens souffrent autant de troubles dépressifs que cardiaques
OTTAWA (PC) - Les Canadiens souffrent dans des proportions somme toute équivalentes tant
d'un trouble dépressif majeur que de l'un des principaux problèmes de santé chroniques, comme
les maladies cardiaques, le diabète ou un problème thyroïdien, selon une étude de Statistique
Canada.
Quelque 4 pour cent des 37 000 personnes interviewées ont dit avoir éprouvé des symptômes ou
des sentiments associés à un trouble dépressif majeur. Les proportions correspondantes sont de 5
pour cent pour le diabète, 5 pour cent pour les maladies cardiaques et 6 pour cent pour un
problème thyroïdien.
Par ailleurs, un Canadien sur 10 âgé de 15 ans et plus, ce qui représente environ 2,6 millions de
personnes, a déclaré avoir éprouvé des symptômes correspondant à un des troubles mentaux
couverts par l'enquête à un moment donné au cours des 12 mois qui ont précédé l'interview.
Les troubles en questions sont le trouble de la manie, le trouble de panique, la phobie sociale et
l'agoraphobie, de même que la dépendance à l'alcool et aux drogues illicites.
La prévalence globale des troubles de santé mentale et de la dépendance à une substance mesurés
lors de l'enquête est à peu près la même chez les femmes que chez les hommes. Environ 1,4
million de femmes, soit 11 pour cent de la population féminine, ont éprouvé des symptômes
correspondant à ces problèmes comparativement à 1,2 million d'hommes, soit 10 pour cent
d'entre eux.
Les troubles de l'humeur et les troubles anxieux étudiés sont plus courants chez les femmes que
chez les hommes. La prévalence liée à la dépendance à une substance comme l'alcool ou les
drogues illicites est nettement plus marquée chez les hommes.
Parue jeudi 4 septembre 2003 dans The Globe and mail
Mentally ill often go without help, Statscan says
By ANDRÉ PICARD
PUBLIC HEALTH REPORTER
UPDATED AT 12:49 PM EDT Thursday, Sep. 4, 2003
More than 2.6 million Canadians suffered from mental illness or dependence on drugs or alcohol
during the past year, according to Statistics Canada data.
But only about a third of those suffering from the conditions received professional help, the
research reveals.
"These numbers are staggering but they're also saddening," said John Service, a spokesman for
the Canadian Alliance on Mental Illness and Mental Health. "What they tell us is that people
suffering from mental illness are not taken as seriously in our health system as people with
physical illness."
Dr. Service said that the research -- the first to probe the extent of mental illness in Canada -- tells
us that mental-health problems are far more prevalent and profound that anyone imagined.
"It's this huge elephant in the middle of the room that nobody is talking about." If anything, the
new data underestimate the extent of the problem, Dr. Service said.
The alliance estimates that as many as six million Canadians suffer from mental-health disorders
and addictions.
The figure is based on World Health Organization data showing that 20 per cent of people suffer
from mental illness at some point.
Statscan found a prevalence rate of 10.4 per cent. However, the agency collected data on only
five common disorders -- major depression, mania, panic disorder, agoraphobia and social
anxiety -- along with data on alcohol and drug dependence. And it looked at the past 12 months,
not lifetimes.
Bill Wilkerson, CEO of the Global Business and Economic Roundtable on Addiction and Mental
Health, said that regardless of the precise figure, the data should serve as a wake-up call to
health-policy planners and business leaders.
"Mental health should be one of the great issues of our time. Business and the economy are being
killed by undetected or too-late-detected mental illness. We simply can't afford to ignore this
issue any longer."
According to the roundtable, mental-health disorders cost the economy more than $33-billion
annually in lost productivity. Another $4.7-billion is spent on direct medical-treatment costs for
sufferers.
Still, the Statscan data reveal that the vast majority of people with mental-health disorders do not
receive adequate help.
"This is a terrible black mark on our health system," Mr. Wilkerson said.
"We have to do a lot more to help people before the problem gets worse."
The Statscan data reveal that the prevalence of mental-health disorders is highest among young
people.
Among those 18 to 25, more than 26 per cent had mental-health problems or dependencies during
the past year, compared to 15 per cent in the 25-to-44 age group.
Conseil national sur la santé
Paru mercredi 3 septembre 2003 sur Yahoo Canada
Presse Canadienne | Reuters
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mercredi 3 septembre 18h51 HNE
McLellan appuie l'idée d'un centre national des urgences en santé publique
HALIFAX (PC) - La ministre fédérale de la Santé, Anne McLellan, est d'accord avec l'idée d'une
agence nationale chargée de réagir rapidement aux urgences en santé publique, même s'il en
coûterait des centaines de millions de dollars par année.
Mme McLellan, qui s'exprimait mercredi à l'ouverture d'une réunion de deux jours avec ses
homologues provinciaux, a déclaré qu'une telle instance permettrait d'identifier les menaces à la
santé publique comme l'épidémie de pneumonie atypique en Ontario, et la propagation du virus
du Nil occidental. Le coût annuel d'un tel organisme serait "substantiel", a-t-elle reconnu.
Quand on lui a demandé une estimation plus précise, elle a évoqué un rapport préparé par le
docteur David Naylor, président d'un groupe qu'elle avait nommé en mai dernier pour étudier la
façon dont la crise du syndrome respiratoire aigu sévère avait été traitée.
Selon le Dr Naylor, qui avait résumé ses recommandations lors d'un colloque, en matinée, les
coûts d'une telle agence nationale seraient de l'ordre de centaines de millions de dollars par an -
juste pour Ottawa. Il ajoutait qu'on espérait aussi que les provinces y investissent des fonds.
Doyen de la faculté de médecine de l'Université de Toronto, le Dr Naylor a dit que l'agence
ressemblerait au Centre pour le contrôle et la prévention de la maladie aux Etats-Unis. Cet
organisme, qui dispose d'un budget annuel de plus de 7 milliards $ US, coordonne la réaction
médicale en cas d'épidémie ou de propagation d'une maladie contagieuse entre Etats américains.
Tant le Dr Naylor que la ministre McLellan disent que la version canadienne exigerait un haut
degré de coopération avec les organismes de première ligne dirigés par les provinces, lesquels
sont les mieux placés pour déceler les premières manifestations des maladies.
A l'heure actuelle, le travail de contrôle des maladies au Canada est divisé entre Winnipeg et
Ottawa: la recherche scientifique se fait au Laboratoire de Winnipeg, tandis que le Centre de
prévention et de contrôle des maladies infectieuses d'Ottawa s'occupe des questions de santé
publique.
Le ministre de la Santé du Québec appuie l'idée d'une agence nationale, tout comme son
homologue de Colombie-Britannique, mais Philippe Couillard souligne qu'il faudrait éviter la
multiplication des bureaucraties. Le ministre Couillard se demande aussi si le budget envisagé
n'est pas trop important.
Il préférerait, a-t-il déclaré en entrevue, que plus de fonds fédéraux soient transférés aux instances
de première ligne pour combattre les urgences médicales dès leur éclosion.
Parue jeudi 4 septembre 2003 sur site web SRC
Un pas de plus vers une agence centrale des urgences
Mise à jour le jeudi 4 septembre 2003, 6 h 36 .
.
Les ministres de la Santé du pays accueillent de façon positive le projet de mise sur pied d'une agence
canadienne de contrôle des maladies destinée à coordonner les services d'urgence en cas d'épidémie
grave. Cette agence permettrait au pays de mieux contrôler d'éventuelles épidémies, qu'il s'agisse d'une
grippe ou d'une nouvelle flambée du SRAS, par exemple.
Réunis à Halifax pour deux jours, les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de la Santé ont pris
connaissance des conclusions du docteur David Naylor, de l'Université de Toronto, qui prépare un rapport
sur les besoins du service canadien de santé. L'agence dont il est question serait calquée sur le modèle
du US Center for Disease Control aux États-Unis.
La ministre de la Santé du Canada, Anne McLellan, s'est prononcée en faveur de la création d'une telle
agence, en affirmant qu'il était urgent d'agir dans ce dossier pour faire face à toute éventualité. Elle a
insisté sur l'importance d'une coopération étroite du gouvernement fédéral, des provinces et des territoires
pour assurer le succès de l'agence. La ministre fédérale s'est montrée discrète sur la participation
financière fédérale à l'agence, tout en reconnaissant qu'Ottawa devra investir dans le projet. David Naylor
estime le coût d'une telle agence à plusieurs centaines de millions de dollars.
Premier à réagir, le ministre de la Santé de l'Ontario, Tony Clement, s'est dit d'accord avec le besoin
d'une telle agence. Pour lui, il est toutefois essentiel de régler la question du financement dès la mise en
place de la structure, pour assurer le succès de la future agence.
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