l'apparition de tumeurs, un indicatif a l'effet cancérigène. La majorité des études faite comparent les
personnes qui ont des tumeurs au cerveau avec les personnes qui sont en santé, en étudiant en même temps
leur utilisation des portables.
"In general, these studies have yielded similar results:
patients with brain tumors do not report more cell phone use overall than the controls.
most studies do not show a 'dose-response relationship,' which would be a tendency for the risk of
brain tumors to be higher with increasing cell phone use.
most studies do not show that brain tumors occur more often on the side of the head where people
hold their cell phones.
a few studies have found a possible link. For example, several studies published by the same research
group in Sweden have reported an increased risk of tumors on the side of the head where the cell
phone was held, particularly with 10 or more years of use. It is hard to know what to make of these
findings because studies by other researchers have not had the same results, and there is no overall
increase in brain tumors in Sweden during the years that correspond to these reports."
L'étude faite par Interphone
L'étude faite par Interphone est aujourd'hui la plus grande étude cas-témoins menée sur le lien entre
les téléphones portables et le développement de tumeurs. Il a commencé en 2000, sous la forme d'un
ensemble d'études de cas-témoins internationales menées dans 13 pays. L'étude se concentre sur "quatre
types de tumeurs dans les tissus qui absorbent le plus l’énergie des RF émise par les téléphones portables, à
savoir les tumeurs du cerveau (gliomes et méningiomes), du nerf acoustique (schwannome) et de la glande
parotide."
Elle conclut que: "Un OR plus faible pour les gliomes et les méningiomes lié au fait d’avoir jamais
été un utilisateur régulier de téléphone portable peut refléter un biais de participation ou d'autres limitations
méthodologiques. Aucun OR élevé pour les gliomes ou les méningiomes n’a été observé ≥10 ans après la
première utilisation de téléphone portable. Un risque accru de gliomes, et dans une bien moindre mesure de
méningiomes, a été suggéré dans le plus haut décile de temps d'appel cumulé, pour les sujets ayant déclaré
une utilisation habituelle du téléphone du même côté de la tête que celui de leur tumeur et, pour les gliomes,
des tumeurs dans le lobe temporal. Les biais et les erreurs limitent la force des conclusions que l'on peut tirer
de ces analyses et empêchent d'établir une interprétation causale."
L'étude Interpole montre donc qu'il n'y a aucun lien entre la création de tumeurs et le nombre d'appel
téléphonique, le temps de l'appel, ou le type de téléphone portable. Il montre néanmoins qu'il y a possibilité
d'un risque de glioma, et de meningioma (trouvée chez 10% des personnes étudiées). Mais ces résultats
trouvés par Interpole ne nous permettent pas de conclure sur le sujet, car comme ils le disent eux même, il
n'y a pas assez de preuves pour le moment pour répondre avec certitude.