Juin-Juillet 2010

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JUIN – JUILLET - AOÛT 2010
Heures d’ouverture
Pour nous rejoindre en dehors des heures d’ouverture
Du lundi au vendredi
Répondeur :
819 564-0676
8 h 30 à 16 h 30
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www.autre-rive.ca
Mot de la directrice
Date à retenir
Témoignage
Été les phobies attaquent
La dépression saisonnière
Capsule santé
Pas d’excuses ! prenez vos vacances !
2
2
3
3-5
5-6
6-8
8
Mot de la directrice
B
onjour à vous qui tenez ce journal,
à notre porte, est soit réconfortant, soit
L‘été,
anxiogène. Pour moi, depuis plusieurs
années, il est réconfortant. Après avoir déjà
vécu quinze étés cauchemardesques, j’ai un
besoin intarissable de reprendre le temps perdu.
Qu’en est-il pour vous ?
Je souhaite que la lecture que vous vous
apprêtez à faire saura vous apporter un
encouragement dans votre démarche, un
soutien particulier ou au moins une source
d’information utile.
Comme printemps rime avec bilan et été avec
démontrer, le premier a eu lieu votre assemblée
générale annuelle. Ce fut un moment agréable,
du sérieux traité avec humour et dans la bonne
humeur. Sincères remerciements, de toute
l’équipe aux personnes qui sont venues se
rendre compte du travail accompli. Le temps
précieux que vous nous avez accordé si
généreusement est une source d’encouragement à
poursuivre notre travail.
Dès la fin du mois, L’Autre Rive débutera son
rythme estival, c’est à-dire, un léger
L’AUTRE RIVE______________Bulletin d’info
ralentissement dû à la prise des vacances
annuelles. Merci à l’avance pour votre
compréhension et votre patience en cette
période et nous souhaitons vous causer le moins
de dérangements possibles.
Là-dessus je vous souhaite un bel été et je
vous recontacte en septembre.
Lucie Chouinard.
Veuillez prendre note que l’organisme sera
fermé :
- Le jeudi : 24 juin et le vendredi 2er juillet
2010.
DATE À RETENIR
Conférence : Sur les droits des usagers
en santé mentale.
Date :
Mercredi le 22 septembre 2010
Heure :
19 h 00
Lieu :
L’Autre Rive
Invitée :
Mme Lyse Joyal de Pro-Def Estrie
Inscription :
Avant le 15 septembre 2010 au
819-564-0676
2
LE COIN DE LA CONFIDENCE
Vous voulez nous faire partager une
expérience que vous avez vécue
(positive ou négative) face à votre
trouble de l’anxiété, un poème que
vous avez vous-même composé, une
pensée que vous avez lue et avez
trouvée merveilleuse !
L’Autre Rive n’endosse pas
nécessairement les textes parus dans ce
journal, ils y sont à titre informatif.
- Cette page du journal est la vôtre. Vous
n’avez qu’à nous faire parvenir votre
envoi à :
L’AUTRE RIVE
«Le coin de la confidence»
925, rue du Conseil
Sherbrooke (Québec) J1G 1L6
Ou par courriel ;
[email protected]
reçus ici m’ont été fort utiles. Même si je ne suis
pas encore l’incarnation d’un moine bouddhiste
(mais j’y travaille...), je peux dire sans me
tromper que j’ai fait des pas de géant.
Idéalement, les troubles anxieux n’existeraient
pas, et l’Autre Rive n’aurait pas sa raison d’être.
Mais dans un monde qui semble être de plus en
plus stressant, les problèmes anxieux semblent
être plutôt « à la mode »... Dans ce contexte, je
pense que nous sommes chanceux de compter à
Sherbrooke sur les services gratuits (correction : à
contribution
volontaire!)
d’un
organisme
communautaire comme celui-ci.
En terminant, je tiens à lever mon chapeau à
tous ceux et celles, intervenants ou bénévoles,
qui tiennent à bout de bras et dans des conditions
parfois difficiles cette oeuvre importante.
Bon été à tous les lecteurs et, oserais-je dire,
prenons ça relaxe…
Merci J.-P. pour ton témoignage.
Témoignage
« Hein? Mais veux-tu bien me dire où tu vas
chercher ça? »
ÉTÉ : LES PHOBIES ATTAQUENT !
N
Je ne suis probablement pas le seul à avoir
suscité ce genre de réaction en évoquant mes
troubles anxieux... Ceux -ci demeurent
largement méconnus parmi la population en
général, outre peut-être le cas célèbre du
multimilliardaire Howard Hugues. Malgré ce
manque de « publicité », ils sont néanmoins
bien réels et parfois très souffrants.
on, l’été n’est pas synonyme de vacances
pour tout le monde ! Car certaines peurs
gâchent bien souvent la période estivale de
nombreux juillettistes et aoûtiens ! Des phobies
les plus courantes aux plus surprenantes, les
raisons peuvent être nombreuses d’appréhender
les départs en France ou à l’étranger ! Manuel
de survie pour éviter la panique.
Je n’ai pas fait affaire, pour mes troubles anxieux,
au système de santé « convent ionnel ». Je ne
peux donc pas comparer avec les services
offerts à l’Autre Rive. Cela dit, le seul fait de
savoir qu’il y a un organisme traitant
spécifiquement de cette problématique, et que
je ne suis donc pas le seul dans mon cas, m’a
apporté en soi un certain réconfort. Par ailleurs,
l’accueil et le soutien très professionnels que j’ai
Nous avons tous nos petites phobies. Mais
celles-ci ne nous handicapent pas forcément au
quotidien.
L’AUTRE RIVE ___________Bulletin d’info
La saison des phobies.
Les véritables phobiques souffrent d’un
réel handicap qui entraîne une souffrance.
(Suite à la page 4)
3
ÉTÉ : LES PHOBIES ATTAQUENT !
(Suite de la page 3)
Impossible de mener une vie “comme les
autres” si l’on a peur de la foule, des
animaux… mais certains phobiques ne
connaissent leur trouble que de manière
saisonnière ! En effet, certaines
appréhensions ne vont se déclencher
qu’à une période particulière : les
vacances ! Qu’il s’agisse de la peur des
transports,
de
certains
animaux
exotiques (serpents, araignées), de la
peur de l’eau… les difficultés surgissent
souvent en fonction de la destination.
Quand les phobies fleurissent
Certes, vous pensez que celui qui a peur
de l’avion peut prendre le train, et celui
qui a peur de l’eau peut partir à la
montagne. Mais le problème est un peu
plus compliqué. Il faut gérer tous les
aléas inhérents à un départ pour un lieu
inconnu. Sans compter les nombreuses
phobies plus ou moins courantes qui
peuvent toutes être source de problème
durant les vacances

Aérodromophobe : peur de l’avion ;
Amaxophobe :
peur en voiture ;
Thalassophobe :
peur de la mer.
En vacances, je n’oublie pas tout.
Et ne croyez pas que ces phobies soient
plus anodines. Certes, elles sont plus
faciles à gérer au quotidien car on ne
croise que rarement serpents et mygales
au milieu de Paris. Mais dès que les
beaux jours reviennent, les vacances
deviennent un véritable casse-tête, non
seulement pour la personne phobique,
mais aussi pour l’entourage et le
conjoint. Car le choix de la destination
est limité, le mode de transport aussi ;
les activités sur place, le lieu de
résidence… tout devient source de
problème, dès que le phobique quitte
son environnement familier.
Qué, calor…
Mais il ne suffit pas de rester chez soi
pour éviter tous les désagréments. Car la
période estivale et notamment la hausse
des températures, va amener avec elle
des désagréments difficiles à supporter.
Ainsi, les phobiques des insectes
redoutent aussitôt les beaux jours :
abeilles, guêpes et autres sont souvent
inévitables à l’extérieur, quand ils ne
s’invitent pas à la maison !
Pour le trajet :

Pour le lieu de villégiature :
Acrophobe :
Hylophobe :
Bélonéphobe
Nudophobe :
Ophidiophobe :

peur des lieux élevés
(sorte de vertige)
peur des forêts ;
peur des piqûres
(pour les vaccins pour
de nombreux pays) ;
peur de la nudité ;
peur des serpents.
À cause de la saison et de la chaleur :
Apiphobe :
Entomophobe :
Astraphobe :
Bronotophobe
Diapnophobe :
peur des abeilles et
plus généralement
peur des insectes :
peur des éclairs
peur de l’orage :
peur de la transpiration.
Si vous souffrez d’une phobie qui se manifeste
uniquement en périodes estivales, ne vous
laissez pas gâcher la vie pour autant ! D’autant
plus que des traitements existent, notamment
les thérapies comportementales et cognitives.
Celles-ci ont fait leurs preuves en matière de
Suite à la page 5)
L’AUTRE RIVE ___________Bulletin d’info
4
ÉTÉ : LES PHOBIES ATTAQUENT !
(Suite de la page 4)
peurs irraisonnées. Alors n’hésitez pas
consulter, pour enfin partir l’esprit léger
à
Source ; Louis Asana d’après l’association
alaphobie : www.alaphobie.com/
LA DÉPRESSION SAISONNIÈRE
saisonnière n’appartient
Laqu’àdépression
l’hiver, l’été y trouve son compte.
pas
Ah, les joies de l’été. La chaleur, les vacances
scolaires, les enfants qui nous occupent minute
par minute. L’été n’est-il pas supposé être
source de plaisir et relaxant ?
Pour certaines personnes, la dépression
estivale a une cause biologique, pour d’autres
les stresseurs particuliers à l’été s’accumulent et
les rendent misérables.
Qu’est-ce qui vous rend l’été si difficile quand
vous êtes supposé vivre du bon temps à jouer
dans l’eau, vous sécher sur votre chaise longue
préférée ? Pourquoi n’y arrivez-vous pas ? Que
pensez -vous y faire ? Voici quelques
informations
La détresse saisonnière.
4% à 6% de la population américaine souffre
de cette affection à l’hiver comme à l’été.
Pourquoi l’été ? Les experts ne sont pas sûrs,
mais les jours plus longs, la chaleur et l’humidité
peuvent y tenir un rôle. Les principaux
symptômes présents sont la perte d’appétit, un
trouble du sommeil, la perte de poids et
l’anxiété.
Un horaire chamboulé
Si vous avez déjà vécu une dépression, vous
connaissez entre autre chose l’importance
L’AUTRE RIVE ___________Bulletin d’info
d’instaurer une routine pour aider à la
diminution des symptômes. Mais durant l’été la
routine est chamboulée et ce dérèglement peutêtre très stressant. Si vous avez des enfants
d’âge scolaire vous êtes confronté à devoir les
occuper toute la journée, tous les jours. Si vous
avez un étudiant qui vous revient après 9 mois
d’absence avec tout son bagage et si les
vacances viennent dérégler vos habitudes de
travail, de sommeil et votre alimentation, toutes
ces situations contribuent à la dépression
saisonnière.
L’image corporelle.
Avec l’augmentation de la température et
l’allègement des vêtements, plusieurs personnes
deviennent hyper conscientes de leur corps. Se
sentant embarrassées en maillot de bain ou en
short, elles s’en priveront et se causeront ainsi
beaucoup d’inconfort. Les activités de plage ou
de piscine deviennent alors socialement très
gênantes.
Les dépenses estivales.
La période de l’été peut apporter sont lot de
dépenses supplémentaires et souvent
dispendieuses. Les vacances en font partie. Si
vous êtes des parents au travail, peut-être
dépensez vous aussi en frais de gardienne ou en
camp d’été pour occuper vos enfants lorsque
vous êtes au travail. Cet été peut-être que la
crise économique aura financièrement resserrée
votre budget alloué aux vacances.
Autre chose, peut-être vous dites-vous, «Si je
vais en vacances, aurais-je trop de travail
accumulé à mon retour ? ou encore aurais-je
encore un emploi ? »
La chaleur.
Plusieurs personnes adorent se faire bronzer
«recto-verso» toute la journée. Mais pour
certaines autres la chaleur peut devenir vraiment
oppressive. Pour celles-ci, l’air conditionné deviendra leur
(Suite à la page 6)
5
LA DÉPRESSION SAISONNIÈRE
(Suite de la page 5)
lot se tenant loin de la luminosité qui leur donne
mal aux yeux et elles sauteront leurs marches
d’avant le souper à cause de l’humidité. La
nourriture préparée ou la livraison des
restaurants deviendront la principale source de
leur alimentation considérant qu’il fait trop
chaud pour cuisiner.
Source : Texte de GRIFFIN, R. Morgan, Web Md Médical
référence, Traduction allégée par L. Chouinard.
CAPSULE SANTÉ
10 conseils pour passer de belles vacances.
Ah les vacances ! Nous les attendons avec
impatience et elles passent tellement vite qu’on
a souvent l’impression de ne pas en avoir assez
profité… Mais de petits changements dans nos
attentes et dans nos perceptions peuvent en
améliorer les bienfaits.
1. Identifiez bien vos besoins… quels
qu’ils soient !
Si votre besoin le plus criant est le repos,
faire le tour de la Gaspésie en 5 jours
n’est peut-être pas la meilleure idée. De
quoi avez-vous le plus besoin ? De
détente ? De distractions ? De passer du
temps avec les personnes qui vous sont
chères ? Il s’agit souvent d’une
combinaison de tout cela, et les vacances
les plus réussies sont souvent celles qui
vous permettent d’assouvir, du moins en
partie, un peu de tous ces besoins et
d’en respecter l’équilibre. Et ce n’est pas
parce qu’on a toujours passé nos deux
semaines de vacances au chalet de la
belle-famille que c’est encore ce qui est
le mieux pour nous cette année ! Un
changement peut être salutaire…
2. N’essayez pas de solutionner vos
insatisfactions en 2 semaines de
vacances !
Si vous travaillez à l’année 60 à 70
heures semaine et que vous n’avez pas
eu le temps de voir vos amis ou les
membres de votre famille depuis 6 mois,
ce n’est pas en 2 semaines de visites
frénétiques que vous allez pouvoir
reprendre un contact satisfaisant avec
tous. De la même façon, 2 semaines de
“farniente” ne guérissent pas une année
d’horaire épuisant et d’abus. Mais ça
peut être un commencement de réflexion
sur vos habitudes de vie, un début de
reprise en main de votre santé ou un
renouveau de motivation à fréquenter les
gens qui vous font du bien.
3. Prévoyez de l’imprévu !
Inutile de charger les horaires de
vacances de façon aussi stricte que vos
journées de travail ! Alors, s’il arrive un
imprévu, essayez de le voir comme une
opportunité. Il pleut alors que vous aviez
prévu une randonnée à bicyclette ? Et
alors ? Un bon livre, une sortie au
cinéma, une randonnée en auto, ou une
partie d’échecs avec votre fils vous
apporteront peut-être autant de plaisir.
L’ennemi numéro un des vacances, c’est
un agenda serré… surtout si vous êtes
une personne très organisée !
4. Par contre, un peu de planification
peut réduire le stress… et il n’est
pas nécessaire que la même
personne planifie tout !
Que chaque membre de la famille ait pu
exprimer leurs besoins ou leurs attentes
(Suite à la page 7)
L’AUTRE RIVE ___________Bulletin d’info
6
CAPSULE SANTÉ
(Suite de la page 6)
aide à prévoir les activités et à orienter
ses vacances de façon plus satisfaisante.
S’informer à l’avance des horaires de
musée, avoir en main les cartes routières
nécessaires et avoir une automobile en
bon état évitent des déceptions et des
angoisses de dernières minutes. Les
tâches d’organisation ont avantage à
être réparties sur plusieurs personnes, ce
qui a l’avantage non seulement d’éviter
l’épuisement… et l’exaspération… d’un
membre clé de la famille, mais
également de soutenir l’implication de
tous dans le bon déroulement des
événements.
5. Ne planifiez pas vos vacances
uniquement en fonction des besoins
et des attentes des autres.
Indépendamment de vos obligations
parentales,
ou
des
circonstances
particulières de votre vie, n’utilisez pas
toutes vos vacances en réponse aux
besoins des autres. N’oubliez pas que
lorsque nous sommes épuisés ou à bout
de souffle, nous sommes beaucoup
moins capables d’accueillir et de
répondre aux besoins des personnes qui
nous sont chères ou dont nous sommes
responsables. Se donner du temps à soi,
prendre le temps de souffler, se faire
plaisir, c’est aussi s’équiper pour mieux
recevoir et répondre éventuellement aux
besoins de notre entourage. Demander
de l’aide, partager des tâches pour se
donner du temps, ce n’est pas de
l’égoïsme, mais bien une question de
survie !
6. Soyez réaliste : respectez votre
budget et le temps disponible.
Passer des vacances luxueuses… que l’on
paye en angoisse, et en privations pour
L’AUTRE RIVE ___________Bulletin d’info
le reste de l’année ne procure pas
le plaisir espéré. Ajuster nos
désirs en fonction de nos moyens,
se fix er un budget rais onnable…
et le respecter, tenir compt e des
contraintes sur lesquelles on n’a pas
de pouvoir, comme le temps dont on
dispose, augmentent les chances de
vivre des vacances satisfaisantes.
7. Limitez les excès.
Les vacances servent entre autres à nous
sortir de nos habitudes quotidiennes. Les
horaires de sommeil et de repas
changent, notre alimentation est
transformée, et tout ça fait partie du
plaisir des vacances ! Mais les abus
réguliers de soleil, de nourriture ou
d’alcool ne nous aident pas à nous sentir
bien dans notre peau, sans parler des
lendemains difficiles qu’ils provoquent.
Prendre soin de soi, c’est aussi profiter
des plaisirs de la vie… avec modération.
8. Reposez-vous.
Mettez le repos dans votre programme
vacances. On se dit souvent : “Je me
reposerai après avoir fini ceci, ou cela…”,
puis quelque chose d’autre se présente,
d’irrésistible bien sûr, et on finit la
journée sans s’être reposé. N’oublions
pas que les moments de vide d’action
sont nécessaires au bien -être
psychologique autant que physique. En laissant
flotter ses pensées, en se permettant
d’accueillir les sensations, les odeurs, les bruits qui
nous entourent, on se permet de reprendre
contact avec ce qu’on est profondément. Qu’on les
appelle méditation, prière, contemplation, ces
moments sont précieux pour renouveler
l’énergie et la capacité à reprendre les
responsabilités quotidiennes.
(Suite à la page 8)
7
CAPSULE SANTÉ
(Suite de la page 6)
9. Évitez de passer du temps avec des
personnes qui ne vous plaisent pas,
ou qui vous font du mal.
Que ce soit dans notre vie professionnelle ou
personnelle, il est important de
reconnaître que certaines personnes
nous font du mal, par leurs actions ou
par leur seule présence. Même si ce n’est
pas toujours possible dans la vie
régulière, si une personne est “toxique”
pour vous, essayez d’éviter de la côtoyer
pendant vos vacances. Privilégiez les
personnes avec lesquelles vous vous
sentez en confiance, et dont vous
appréciez la compagnie. Reprenez votre
souffle !
10. Faite s quelque chose
quelqu’un d’autre .
pour
Faire plaisir à quelqu’un, c’est aussi
s’aider à se sentir bien dans sa peau. Un
petit coup de main à un voisin, une visite
imprévue à une personne âgée de la
famille, un moment d’écoute attentive à
un adolescent en crise existentielle, sont
des façons simples d’ajouter des sentiments positifs
à notre vie. Et n’oubliez pas, un sourire est
souvent contagieux !
Bonnes vacances !
Source : www.qtresearch.com/files/ssparagph
PAS D’EXCUSE ! PRENEZ VOS VACANCES !
A
llez-vous prendre des vacances cette année ?
Non ? Vous n’êtes pas le seul. Selon les
estimations, il y aurait chaque année 32 millions
L’AUTRE RIVE ___________Bulletin d’info
de jours de vacances qui ne seraient pas utilisés par
les Canadiens.
Ne vous privez pas de vos vacances. Les études
révèlent invariablement qu’il est extrêmement
important de délaisser régulièrement le travail pour
maintenir sa santé physique et mentale. Les
vacances, qui vous permettent de vous éloigner
complètement des pressions et des tâches routinières
de la vie professionnelle, vous aident à relaxer et à
vous revigorer, à réduire le stress et à accroître votre
énergie. Elles sont aussi l’occasion d’entretenir des
relations importantes avec la famille et les amis. Rien
de mieux pour votre employeur, votre famille et
vous-même que de faire régulièrement le plein en
prenant des vacances.
Cessez de vous convaincre de ne pas prendre de
vacances. Voici quatre excuses couramment
invoquées pour ne pas prendre congé, et des
conseils pour les éliminer :
JE SUIS TROP OCCUPÉ AU TRAVAIL POUR PRENDRE
DES VACANCES.
Un peu de planification avec vos collègues
pour assurer la continuité du travail vous
aidera à trouver le temps de prendre des
vacances et éliminera les inquiétudes.
Conseil : Si vous êtes stressé, planifiez des vacances
à un seul endroit relaxant sans trop
d’activités.
PLUSIEURS LONGS WEEKENDS REMPLACENT DES
VACANCES NON UTILISÉES.
Il faut prendre au moins deux semaines de
vacances pour évacuer complètement le
stress accumulé au travail sinon vous
passerez la plus grande partie de votre
temps à décompresser ou à vous préparer à
reprendre le travail.
Conseil : Essayez de ne pas vérifier ce qui se passe
au travail. Mentionnez une date de retour
dans votre message vocal et utilisez la
fonction de réponse courriel automatique.
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