Sociologie TD 1- Le travail s’effectue à la chaîne ouvrier est immobile qui voit son travail défiler devant lui, le travail est décomposé et spécialisé à l’extrême. 2- De la cadence de la chaine, fixée par d’autres que lui ; l’ouvrier devient l’esclave de la machine ; 3- Augmenter le production réduire le coût de fabrication, l’intérêt n’est que pour les dirigeants. 4- Travail à la chaine : convoyeur déplaçant automatiquement les produits, et imposant le rythme de travail, forte standardisation du travail production en grande séries. 5- Tâches répétitives, monotones sans intérêt. Ouvriers peu qualifiés. 6- Epuisement physique : troubles du comportement moteur liés à la pénibilité du travail. Epuisement psychologique : faible éveil intellectuel, abrutissement, aliénation. Vision du travail qui déshumanise. 7- Ils sont soumis à 1 forte hiérarchie qui exerce 1 contrôle très fort. Système de surveillance empêchant toute liberté d’action, toute possibilité de détente. 8- Comparaison entre ouvriers et troupeau de moutons. L’usine emploie des ouvriers dociles, soumis, peu revendicatifs. 9- Le patron et la machine s’expriment = les seuls à avoir droit à la parole. Dénonciation de l’exploitation des ouvriers par la patronat. machine à manger TD n°2 1)-Les points communs entre anciennes et nouvelles formes d’organisations : Différences : Dans le Toyotisme il y a de l’autonomie, un épanouissement (pas d’aliénation) et l’apprentissage est un facteur essentiel de l’efficacité. Pas de décomposition des taches et de simplification. Le toyotisme d’adapte au marché ce n’est pas le cas du fordisme, et il y a une amélioration continuelle des processus avec l’aide et l’avis des opérateurs. On prend donc en compte le facteur humain. On répond à une commande directe, avec des délais de réponses, donc pas de gestion du stock pas de stocks dans le toyotisme. Production en flux tendu. Ce qui permet un plus grand choix de gamme et donc de répondre de la façon la plus adaptée au besoin d’un consommateur, les taches sont plus riches et valorisante que dans le fordisme. Mais pour répondre mieux aux consommateurs, il y a des délais de production et donc une pression supplémentaire sur les ouvriers pression commerciale en plus de la pression industrielle qui existé dans le fordisme. Il y a aussi le fait que l’ouvrier est en contact avec la clientèle donc il y a des sentiments qui entre en compte tel l’honneur professionnel et le soucis d’aider ce qui incite l’ouvrier à réagir aux sollicitation de la clientèle et à un effort supplémentaire car il engage d’une certaine façon sa personne, ce qui génère plus de stress en plus du stress des délais et des réponses de qualité et de SAV. Le client peut savoir où en est la fabrication de son produit avec le toyotisme. L’ouvrier est bien plus autonome, il a simplement des objectif à atteindre par les moyens qu’il souhaite, il n’est pas en permanence sous contrôle. Il y a aussi un apprentissage par la pratique, on considère que plus on produit plus on est qualifié et cela permet à l’entreprise d’avoir une meilleure adaptation au marché et de trouvé des solutions à certains problème qu’on n’avait pas entrevu lors de la conception et tout cela en demandant l’avis aux ouvrier. L’apprentissage n’est pas individuel mais collectif. Une meilleure capacité d’innovation.==> incrémentale. On produit en groupe de projet pour éviter la monotonie de l’ouvrier. On essaye de garder ses ouvriers à vie donc de les impliquer dans l’entreprise (primes etc) pour une meilleure qualité de travail alors que dans le fordisme chaque ouvrier était remplaçable du jour au lendemain. Point commun : Le but gains de productivité, toujours de la pression sur les ouvriers, une intensification du travail, toujours des contraintes sur l’ouvrier (même si elles sont différentes), toujours une forme de hiérarchie même si moins pesante, des salaires toujours bas malgré prime d’ancienneté, et toujours beaucoup d’heures de travail. Résumé : 1. Dans la gestion de la production en grande séries de produits standardisés Fordisme : L’amont commande l’aval (on produit et ensuite on cherche à vendre) pas de soucis des débouchés. Toyotisme : production en petites séries et diversification des modèles, principe de flux tendus (les 4 zéros) « ne produisez pas plus que les clients sont prêt à acheter ». Pratique du juste à temps « zéro délais » : on raccourcit le délai de production. Principe du zéro défaut Zéro papier Zéro pannes L’aval commande l’amont (on produit en fonction de la demande des clients). Changement du sens de circulation de l’information et des ordres. 2. L’organisation du travail (pour les salariés) : Fordisme / taylorisme: Division forte du travail Spécialisation de l’ouvrier dans des taches demandant peu de qualifications. Toyotisme : Division du travail – forte On veut responsabiliser les travailleurs (participation aux décisions prises d’initiative travail en équipe). Diversification et enrichissement des taches les gens doivent être plus polyvalents. Objectif : - de monotonie et + de motivation.