TK4 - Variatie in betekenis 2009 Michelle Verbraak 3274160 Résumé Marianne Starren (2001) The Second Time. The Acquisition of Temporality in Dutch and French as a second language Dans cet article Marianne Starren veut analyser la manière dont un adulte casse le concept des relation temporels d’une langue. D’abord il faut savoir comment la temporalité s’est organisé dans une langue, mais comment les notions temporels sont-ils exprimé par ses locuteurs ? Le premier problème est de savoir quels sont les notions temporels communs ? Le deuxième est la forme d’expression. Il y a beaucoup de manières dont on peut exprimer une notion temporel, comme la conjugaison des verbes ou l’utilisation d’adverbes temporels. Marianne pense que la manière dont on exprime temporalité dépend de la langue particulière. Il y a une trois-temps vu (three-time view) dans la tradition grammatical d’aujourd’hui. On distingue le passé, le présent et le futur. Dans certaines langues on n’a pas ou presque pas des signes (markings) temporels, mais c’est quand même possible de décrire une événement dans une certain temps. Ces locuteurs utilisent des signes d’aspect, la connaissance du monde et contexte. Klein a parle de la « Basic Time Structure » dans son livre « Time in Language »(1994). Marianne utilise une version minimal de son cadre qui décrit les notions d’aspect grammatical, lexical (« Aktionsart ») et la fonction des adverbes temporels. En analysant le variété d’une langue de débutants d’une deuxième langue, les théories basés sur la morphologie sont des théories dont on ne peut plus se servir. Ces débutants peuvent s’exprimer très clairement avec des descriptions calendériques et les références déictiques. A vrai dire, le plus souvent ces locuteurs n’utilisent totalement pas de verbes. Reichenbach Le système de Reichenbach utilise « speech point » (S), « point of event » (E), et « point of reference » (R), mais Marianne trouve que ce système est inutile, parce qu’il consiste de points de temps au lieu du dépassement de temps. Les points de temps ne peuvent pas s’empoigner, pour décrire les notions aspectuels imperfectif et perfectif. De plus, cette théorie ne rend pas compte avec le fait que les adverbes temporels peuvent aussi décrire la situation dont une phrase est prononcé. Comrie (1981) a dit que le système est trop riche. Au cas du passé, la future ou le parfait, la seule chose qui est important est la relation entre R et S ou E et R. La relation entre E et S n’est pas important, donc peut éliminer cette relation, à propos de Comrie. Klein Klein a une système différent. Dans son « Basic Time Structure » il y a « topic time » (TT), « time of utterance » (TU), et « time of situation » TSit. Le TT est le temps qui passe dans le passé, le présent ou la future. Le TU est le moment ou on prononce la locution. Le TSit est le temps dont la situation se présente, inclus dans le verbe fini. Le BST donne les définitions suivantes des relations temporels : a) Les élements de la structure temporel sont les dépassements de temps au lieu de points de temps b) Il y a deux types de relations entre les dépassements de temps : - Relations d’ordre comme ‘avant’ et ‘après ‘ - Relations topologique comme ‘inclusion’ TK4 - Variatie in betekenis 2009 Michelle Verbraak 3274160 d) La relation entre TT et TU est le temps. Exemple : a. He walks présent (tense): TT = TU b. He walked passé (tense): TT < TU c. He will walk future (tense): TT > TU e) La relation entre TT et Tsit est l’aspect. Exemple : a. He is walking now TT ‘is included in’ Tsit imperfectif b. He walks TT ‘includes’ Tsit perfectif c. He has walked TT > Tsit parfait d. He is going to walk TT < Tsit prospectif Quand on voit le TT comme une caméra de vidéo on peut expliquer ses éléments un peu plus claire. - Quand la caméra filme un événement (Tsit) de son totalité, on parle d’aspect perfectif. - Quand la caméra ne filme que une partie de cet événement, on parle d’aspect imperfectif. - Quand la caméra filme seulement une trace du evenement, on parle d’aspect parfait. - Quand la caméra filme quelque chose qui indique qu’un événement va se passer, on parle d’aspect prospectif.