La contribution et la vie d`Albert Camus Albert Camus, un

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La contribution et la vie d’Albert Camus
Albert Camus, un philosophe et un écrivain algérien - français, donne le
monde sa philosophie de l’absurde. Il écrit les essais, les livres, les pièces du théâtre, et
les textes de la philosophie pour discuter les idées pour la vie et l’univers. Ses œuvres
principaux sont : L’Etranger, L’homme révolté, L’Hôte, La chute, La peste, Caligula, Le
Malentendu, et Le mythe de Sisyphe (Corbic). L’Etranger et Le mythe de Sisyphe
expliquent sa philosophie d’absurde et exposent les implications de l’absurde dans la vie
quotidienne.
Albert Camus est né en Algérie le 7 novembre 1913, avant de la première guerre
mondiale. Il est né dans un faubourg de Mondovi. Ses parents sont Lucien (français) et
Catherine Sintès (espagnole). Son père est mort, quand Albert était un an, dans la bataille
de la Marne en la première guerre mondiale. En plus, sa mère est illettrée et élève Albert
et Lucien, son frère, dans une division très pauvre en Algérie (Corbic 9-10). Camus a dit
de son enfance :
« Pour moi, je sais que ma source […] dans ce monde de pauvreté et de lumière
où j’ai longtemps vécu et dont le souvenir me préserve encore des deux dangers
contraires qui menacent tout artiste, le ressentiment et la satisfaction.
La pauvreté, d’abord, n’a jamais été un malheur pour moi : la lumière y répandait
ses richesses. Même mes révoltes en ont été éclairées. Elles furent presque
toujours, je crois pouvoir le dire sans tricher, des révoltes pour tous, et pour que la
vie de tous soit élevée dans la lumière. Il n’est pas sûr que mon cœur fût
naturellement disposé à cette sorte d’amour. Mais les circonstances m’ont aidé.
Pour corriger une indifférence naturelle, je fus placé à mi-distance de la misère et
du soleil. La misère m’empêcha de croire que tout est bien sous le soleil et dans
l’histoire ; le soleil m’apprit que l’histoire n’est pas tout » (qtd. In Corbic, 9 -10).
Son enfance lui donne les idées sur le monde et l’absurdité nait. En plus, quand il va le
Racing-Universitaire d’Alger, il est un gardien de but pour l’équipe de football. Il aime
jouer le football ; mais, quand il était troublé de la tuberculose, il ne joue plus. La
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tuberculose est le « conséquence de la misère dont il a souffert dans son enfance après la
mort de son père. La maladie lui donne, en même temps que le sentiment tragique qu’il
appelle l’absurde, un désir désespère de vivre, et façonne sa sensibilité » (Corbic 11). Il
comprend la vie et la mort et il les pense souvent. Dans ses compositions, il discute ses
idées (la vie et la mort) et le meilleur exemple est Le mythe de Sisyphe. Il obtenue son
diplôme en 1932 (Corbic 10-11).
Au commencement de la deuxième guerre mondiale, il est écrivain et rédacteur
pour Combat, un journal de la Résistance. Ensuite, il publie ses œuvres L’Etranger et Le
mythe de Sisyphe en 1942 (ces œuvres discute beaucoup de la philosophie d’absurde).
Camus poursuit l’absurde dans Le Malentendu et Caligula (Hirsch et Thompson 169).
Au même temps, il rencontre Jean-Paul Sartre, qui est un écrivain célèbre
d’existentialisme. Ils sont amis de 1943 à 1947 et ils argument de la philosophie
d’existentialisme contre l’absurdité. En outre, Camus discute les problèmes avec des
violences révolutionnaires ; Sartre pense qu’ils sont produits avec les formes d’une
violence système. Leurs idées de la violence politique sont les grands problèmes dans
cette amitié. En 1951, il écrit son roman, L’homme révolté, et Sartre ne l’aime pas. Sartre
soutient les communistes mais Camus ne comprend pas les idées et dénonce les actions
communistes. Donc, en 1952, Camus et Sartre ne parlent plus (Aronson 302-05). Après la
rupture, il continue écrire de la philosophie d’absurde et les politiques du monde. Par
exemple, dans la guerre d’Algérie, il oppose le front de libération nationale (FLN)
(Aronson 305). Mais en 1960, il meurt dans un accident de voiture (Hirsch et Thompson
169). Quand il meurt, il laisse la philosophie de l’absurdité qui beaucoup de personnes
enseignent et lire pour comprendre la vie.
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La rupture d’existentialisme et d’absurde : Sartre et Camus
Le définition d’existentialisme est une « doctrine philosophique qui met l’accent
sur le vécu humain plutôt que sur l’être et qui affirme l’identité de l’existence et de
l’essence, ou leur parfaite complémentarité » (« Existentialisme » 1). Au même temps,
« l’existentialisme n’est pas un mouvement littéraire, et il n’existe pas à proprement
parler de littérature existentialiste » Existentialisme » 1). En plus, il y a les
caractéristiques d’existentialisme qui sont dans la littérature d’existentialiste : « autour
d’un certain nombre d’œuvres auxquelles il convient de restituer leur singularité, un
climat philosophique, politique et littéraire, un ensemble de thèmes et de préoccupations
qui caractérisent plus une situation historique et une période qu’une grande famille de la
littérature française » Existentialisme » 1). Une autre traite d’existentialisme est
« devrait trouve un écho dans le public est sa manière d’appréhender le réel…appelle la
phénoménologie » Existentialisme » 1). Sartre examine l’existentialisme dans ses
pièces du théâtre, les romans, et les essais.
Au contraire, la philosophie d’absurde est confondue avec l’existentialisme. Le
définition d’absurde : « conception du monde qu’on trouve chez Jean-Paul Sartre et
Albert Camus et qui affirme que le monde n’a pas de signification » (« Philosophie de
l’absurd » 1). Pour Camus, qui est « un disciple de Descartes », « [il] refusait tout ce qui
ne pouvait être prouve par la raison » (Hirsch et Thompson 169). Camus n’accepte pas la
philosophie d’existentialisme ; donc, il discute ses idées d’absurde dans Le mythe de
Sisyphe. Camus approuve la tragédie de la condition humaine et discute qu’il ne
considère pas le passé. Il préfère de fixer son regard sur le présent parce que c’est le plus
important pour la condition humaine. Enfin, il ne support pas l’espoir : « L’espoir, au
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contraire de ce qu’on croit, equivant à la résignation. Et vivre, c’est ne pas se résigner »
(Hirsch et Thompson 169).
De l’amitié entre Jean-Paul Sartre et Albert Camus, la rupture commence dans la
deuxième guerre mondiale après l’explosion d’Hiroshima. Camus est un pacifiste qui
pense que la violence n’est pas la meilleure action contre les Japonais. Au sujet de
l’explosion d’Hiroshima, il dit : « la civilisation mécanique vient de parvenir à son
dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir dans un avenir plus ou moins proche
entre le suicide collectif et l’utilisation intelligent des conquêtes scientifiques » (Debout,
600). Au contraire, Sartre pense que « l’humanité au-dessus du règne animal et dresse un
constant définitif » (Debout 604). Après la publication de L’homme révolté, Sartre et
Camus ne les acceptent pas et ils ne sont plus amis. Leurs philosophies sont très
différentes et l’une ne comprend pas l’autre. D’après Jean-Michel Dumay, « Camus
ciblait la violence révolutionnaire, quand Sartre voulait, lui, d’abord régler son compte à
celle qu’imposent structurellement des systèmes sociaux fondes sur l’inégalité » (Dumay
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La philosophie d’absurde et Le Mythe de Sisyphe
« J’avais un plan précis quand j’ai commencé mon œuvre : je voulais d’abord
exprimer la négation [ce terme désigne parfois l’absurde]. Sous trois formes.
Romanesque : ce fut L’Etranger. Dramatique : Caligula, Le Malentendu.
Idéologique : Le Mythe de Sisyphe. Je n’aurais pu en parler si je ne l’avais vécu :
je n’ai aucune imagination. Mais c’était pour moi, si vous voulez bien, le doute
méthodique de Descartes. Je savais que l’on ne peut vivre dans la négation et je
l’annonçais dans la préface au Mythe de Sisyphe ; je prévoyais le positif [la
révolte] sous les trois formes encore. Romanesque : La Peste. Dramatique : L’Etat
de siège et Les Justes. Idéologique : L’Homme révolté. J’entrevoyais déjà une
troisième couche, autour du thème de l’amour. Ce sont les projets que j’ai en
tain » (qtd. In Corbic 27-8)
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Le Mythe de Sisyphe explique l’absurde avec le personnage de Sisyphe, un héro
mythologique. « Les dieux avaient condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher
jusqu’au sommet d’une montagne d’où la pierre retombait par son propre poids. Ils
avaient pensé avec quelque raison qu’il n’est pas de punition plus terrible que le travail
inutile et sans espoir… » (Camus 163). En plus, Camus discute l’absurde au sujet du
suicide. Avec le sujet du suicide, Camus communique que le suicide est « entre la pensée
individuelle et le suicide » pas un phénomène social (Hermet 116). Au même temps, il
discute que l’absurde « dans la négation n’est qu’un point de départ où il ne s’agit pas de
se fixer : en lui-même en effet, il est contradictoire, puisqu’il exclut tout jugement de
valeur, alors que, en même temps, on choisit de vivre, en rejetant le suicide » (Hermet
118). L’absurde est le point de fuite sur Le Mythe de Sisyphe et Camus propose ses idées
devant cette philosophie.
Camus utilise le personnage mythologique de Sisyphe parce qu’il est condamné
pour l’éternité de travailler les mêmes actions. En plus, Sisyphe est similaire des hommes
qui font les mêmes choses tous les jours. Ce travail est banal et les hommes finissent ce
travail sans intérêts. Sisyphe représente l’homme absurde et il est semblable les hommes
qui a une routine récurrente. Si Sisyphe veut un routine diffèrent, il faut accepter « la lutte
vers les commets » et « apprécier les joies du présent…il devient libre » (Hirsch et
Thompson 170). Enfin, « l’absurde est d’ordre anthropologique ou psychologique. Il ne
s’intéresse aux raisons d’être qu’en tant que raisons de vivre » (Corbic 50). D’après
Camus :
« L’absurde ne délivrera pas, il lie. Il n’autorise pas tous les actes. Tout est permis
ne signifie pas que rien n’est défendu. L’absurde rend seulement leur équivalence
aux conséquences de ses actes. Il ne recommande pas le crime, ce serait puéril,
mais il restitue au remord son inutilité. De même, si toutes les expériences sont
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