Lycée Claude Monet AEHSC Année 2009-2010 CHAPITRE 1 : LES GRANDES FONCTIONS ECONOMIQUES INTRODUCTION : ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE 1) LES SECTEURS INSTITUTIONNELS 2) LES OPERATIONS ET L’EQUILIBRE EMPLOIS-RESSOURCES 3) LES COMPTES DES SECTEURS INSTITUTIONNELS I. LA PRODUCTION 1) LA MESURE DE LA PRODUCTION a) Le PIB : définition, calcul, limites A retenir : Le PIB comme somme des valeurs ajoutées, économie informelle, externalités négatives, épuisement des ressources naturelles non renouvelables, empreinte écologique, développement durable, développement. b) Evolution du PIB depuis 1945 : l’exemple de la France 2) FACTEURS DE PRODUCTION, PRODUCTIVITE, FONCTIONS DE PRODUCTION A retenir : Productivité apparente du travail, productivité apparente du capital, productivité globale, totale des facteurs, intensité capitalistique. Fonction de production Cobb-Douglas, résidu, rendements d’échelle, productivité marginale des facteurs, substituabilité des facteurs, coefficient de capital. II. CONSOMMATION ET EPARGNE 1) LE NIVEAU DE LA CONSOMMATION ET DE L’EPARGNE a) Le revenu courant : la fonction de consommation keynésienne A retenir : C c.Y C0 , propension marginale constante, propension moyenne décroissante. b) Contradictions empiriques A retenir : Kuznets (Etats-Unis de 1869 à 1938 : Ct 0,86.Yt ), reformulations de Duesenberry et Brown. c) La prise en compte du futur : du revenu courant à la richesse L’analyse microéconomique : arbitrage présent / futur et taux d'intérêt L'hypothèse du cycle de vie A retenir : Ando et Modigliani (1963), les anticipations de revenu sur l'ensemble de la vie, l’influence du la structure par âge de la population sur le taux d’épargne. L’analyse de Friedman : le revenu permanent A retenir : Les anticipations de revenu sur un horizon infini, l’instabilité de la relation consommation – revenu courant. Quels autres facteurs peuvent influencer la richesse ? o Le rôle de l’inflation A retenir : l’effet d’encaisses réelles (l’inflation pousse à l’épargne) contre l’effet de fuite devant la monnaie. o Le rôle de la sphère financière A retenir : l’effet de richesse (la hausse de la valeur du patrimoine financier rend l’épargne moins nécessaire ; inversement, un krach boursier pousse à l’épargne au détriment de la consommation). o Le rôle de la politique fiscale : la thèse de l’équivalence ricardienne A retenir : Le déficit public et les anticipations d’impôts futurs, le modèle de Barro (1974) et l'hypothèse d’altruisme intergénérationnel. d) Faut-il épargner ou consommer pour favoriser la croissance économique ? 2) LA STRUCTURE DE LA CONSOMMATION a) L’analyse microéconomique du choix du consommateur Préférences, préordre complet, fonctions d’utilité Utilité ordinale et utilité cardinale Les préférences révélées Monotonie, convexité des préférences et taux marginal de substitution Les courbes d’indifférences L’équilibre du consommateur Les fonctions de demande Les Effets des Variations de Revenu A retenir : La modification de la contrainte budgétaire, biens normaux (de nécessité, de luxe), biens inférieurs 17/04/2017 18:42:45 Lycée Claude Monet AEHSC Année 2009-2010 Les Effets des Variations du Prix d’un Bien A retenir : Effet de substitution et effet de revenu, Effet Giffen. Les Elasticités A retenir : Elasticité-revenu, élasticité-prix directe, élasticité-prix croisée, substituts bruts, compléments bruts. b) Les lois d’Engel A retenir : Coefficients budgétaires, biens durables, semi-durables et non durables, taux d’équipement des ménages. 3) PHENOMENES INSTITUTIONNELS ET SOCIAUX a) La thèse de la filière inversée de J.K. Galbraith A retenir : Filière inversée contre consommateur-roi, publicité ; La réaction des consommateurs : le consumérisme (Ralph Nader). b) Revenu relatif, effet de démonstration, effet d’imitation A retenir : Théorie du revenu relatif (Duesenberry), signe d’appartenance, effet de démonstration, consommation ostentatoire (T.Veblen), effet d’imitation c) Culture de classe et habitus A retenir : M. Halbwachs, Chombard de Lauwe, P. Bourdieu. d) « Moyennisation » ou différenciation des comportements de consommation ? 4) Niveau et Structure : l’exemple de la France depuis 1945 III. L’INVESTISSEMENT 1) FORMES DE L'INVESTISSEMENT ET SOURCES DE FINANCEMENT a) Les formes de l'investissement A retenir : Investissement matériel, investissement immatériel, investissement productif, investissement collectif, investissement en logement, investissement de remplacement, amortissement économique, amortissement comptable, investissement net, investissement brut, investissement de capacité, investissement de productivité ou de rationalisation. b) Les sources de financement des investissements des entreprises A retenir : financement interne, taux d’autofinancement, financement externe direct ou indirect. 2) LES DETERMINANTS DE L'INVESTISSEMENT DES ENTREPRISES a) Le rôle de la demande A retenir : Keynes et la demande anticipée, efficacité marginale du capital ; le principe de l’accélérateur. b) Les coûts de production c) La profitabilité et les contraintes de financement Ratio q et profitabilité ou l’arbitrage investissement productif / placements financiers Les contraintes de financement A retenir : effet de levier, théorème de Modigliani-Miller, profitabilité, ration q de Tobin. 3) EPARGNE, INVESTISSEMENT, ACTIVITE ECONOMIQUE ET CROISSANCE ECONOMIQUE 4) L’EXEMPLE DE LA FRANCE DEPUIS 1945 IV. REPARTITION ET INEGALITES 1) REPARTITION PRIMAIRE ET REDISTRIBUTION a) Définitions b) Comment expliquer la formation des revenus primaires ? La rémunération à la productivité marginale Le rôle des négociations dans la formation des salaires Le statut ambigu du profit c) Doit-il y avoir redistribution ? La répartition primaire est-elle juste ? o Quelles inégalités ? o La justice contributive o Le problème posé par le chômage involontaire et les imperfections de marché o Liberté de choix ou rapports de domination ? Quelle redistribution ? o Le dilemme équité-efficacité o Un choix de société o Inégalités et inefficacité économique 2) L’EXEMPLE DE LA FRANCE DEPUIS 1945 A retenir : Une rupture de la croissance en 1974, une rupture dans l’évolution du partage de la valeur ajoutée à partir de 1983, une forte socialisation des revenus des ménages. 17/04/2017 18:42:45