Anatomie du 8 octobre 2003

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Anatomie du 8 octobre 2003.
 Sacrum – vue dorsale.
Il y a les zygapophyses des vertèbres précédentes voir des tubercules qu’on voit latéralement
par rapport au trou sacré dorsaux. C’est au travers de cet espace délimité par les corne du
sacrum qui définit ce hiatus sacré que l’on voit à la face dorsale du corps de S5.
Les zygapophyses caudales des vertèbres qui sont soudés aux zygapophyses craniales qui sont
devant elle de la vertèbre immédiatement sous jacente et là il y a difficulté à individualiser ces
zygapophyse convergentes au niveau de ces cornes sacrés. Au delà de la crete intermédiaire il
y a une goutière au fond de laquelle on trouve la présence de 4 foramen/trous sacré dorsaux,
le plus volumineux étant le premier trou sacré dorsal. Encore plus latéralement on trouve la
partie latérale du sacrum et il peut y avoir une aspérité qui peut correspondre à la zone de
soudure de ces processus transverses voir de ces processus accessoires qui sont à l’origine les
processus transverses. On aperçoit de part et d’autres les surfaces d’articulation avec l’os
coxal qui n’existent qu’en regard de S1 et S2 mais n’existe plus caudalement. Au deux
extremité de cette face dorsale on voit les zygapophyses craniales de S1 qui sont les seules
libres (articulation synoviale) et elles ont une orientation dorsal et médial comme au niveau
lombaire (et verticale comme cylindre). On ne voit pas la surface de l’apex car la courbure
pelvienne nous empeche de voir la surface de contact avec le coxys.
 Sacrum vue craniale.
Nous montre la présence du corps vertébral et la seule vertèbre saillante est S1 et c’est le
promontoire sacré. En arrière de la face craniale de S1 on reconnaît l’aspect triangulaire du
trou vertébral de S1 c’est à dire l’extremité cranial du canal sacré. Ce canal sacré au fur et à
mesure que les vertèbres diminuent de taille en direction caudale il va lui aussi se rétrécir
jusqu’à S4 et au delà de S4 toute cette partie dorsale de l’arc n’existera pas et ce seront les
bords qui constitueront les cornes du sacrum et l’espace entre deux constituant le hiatus sacré.
0n note la briéveté du processus épineux de S1 qui est quand meme le plus long des 4
processus épineux sacré. Latéralement il y a les parties latérales du sacrum qui ne nous
permettent pas de constater que l’espace en arrière est plus étroit qu’en avant mais on apercoit
la participation de la face ventrale pelvienne du sacrum à l’anneau pelvien, ce cercle que le
sacrum et les 2 os coxaux constitueront.
 Sacrum face latérale.
La partie latérale du sacrum est une zone pourvue d’aspérité et qui sont le lieu d’insertion de
ligament qui accroche le sacrum à l’os coxal voisin. Ici on apercoit la convexité dorsale du
sacrum. A la jonction entre face craniale de S1 et la face pelvienne de S1 le promontoire et en
faite la face craniale de S1 est oblique ventro caudalement.
La ligne médiane constitué des processus épineux et les structures de jonctions. Ensuite il y a
la ligne intermédiaire avec les zygapophyses puis la dépression au fond de laquelle au fond de
laquelle il y a les trous sacrés dorsaux qui, à l’inverse des pelviens, regardent directement en
arrière mais pas constitué par cette goutière ventralement qui amène les rameaux du nerf
sciatiques tangeant au sacrum. Il y a ensuite les espèces de tubercules puis le reste de la partie
latérale du sacrum. La partie latérale du sacrum constitue seulement au niveau de S1 une
face, au delà caudalement il n’y a plus qu’un bord entre face pelvienne et face dorsale. En
regard de S1 et S2 il y a la surface articulaire sacro coxal : articulation synoviale volumineuse
à forme d’un L ou V et elle est pas plane, ourlé donc comparé à une oreille : surface
auriculaire. Elle est impliqué dans une structure synoviale avec une capsule très solide et des
ligaments énormes car quand on est en appuis monopodale ce sont ces ligaments qui assurent
la continuité, qui encaisse tout le poids du dessus. La région ventrale de la surface auriculaire
est plus latérale que la région dorsale.
 Coupe médio sagitalle du sacrum.
On note que les corps vertébraux sont étroit dans le sens sagitalle, on voit la présence de zone
non complètement calcifié entre les 5 corps vertébraux. Jusqu’à un age avancé (25-30 ans) il
peut persister entre les vertèbres sacrés une zone cartilagineuse (correspond au disque
intervertébraux) et c’est un moyen de déterminer un crainaux d’âge. Si on voit que le bloc S1
S2 peut etre détacher du reste du sacrum c’est que c’est une personne de moins de 25-30 ans.
Dorsalement il y a la section des processus épineux. On aperçoit le canal vertébral sacré plus
large en haut et latéralemetn par rapport à ce canal il y a des orifices qui sont délimité par les
pédicules des vertèbres sacrés. Ces orifices sont les trous intervertébraux sacré qui voient en
face d’eux au fond un mur qui est la partie latérale du sacrum (jonction de ces zones élargies
en massues qui étaient les processus transverses au niveau lombaire). Dorsalement par rapport
à ce mur vue en face du foramen intervertébral on tombe sur le 1er trou sacré dorsal et en
avant vers le 1er trou sacré pelvien. Donc la fibre qui arrive au niveau du permier trou
intervertébral sacré donne deux rameaux :
-dorsal de petite taille qui sort par le trou et se trouve dans le canal qu’on voit en coupe
horizontale c’est à dire que l’élément nerveux traverse le foramen intervertébral entre 2
pédicules (ici de S2) et en face de ce foramen intervertébral il y a ce muscle constitué par la
partie latérale du sacrum. Le rameau postérieur se distribue au muscles érecteurs de la
colonne. Le gros contingent qui utilise le trou intervertébral ira vers le trou sacré pelvien et il
sera tangeante et ce sera une ramification du nerf sciatique (ou ischiatique).
 Coupe horizontale
On voit le trou sacré pelvien avec son émergence tangeantielle par rapport à la face pelvienne
et en arrière on retrouve les 3 lignes de tubérosités (1-processus épineux, 2-zygapophyse, 3processus transverse d’origine costal + processus accessoire).
 le segment mobile.
Les zygapophyses cranial et caudale sont les rejoints par les articulations zygapophysaires (2).
Il y a le ligament interlamaire ou ligament jaune qui sont entre les lames et déborde à la face
médiale des colonnes zygapophysaires.
 Complexe corporéo discal.
On voit la cupule circonscrite par le bourlet marginale et les perforations qui existent au
niveau de la zone criblée est un point d’ancrage pour le matériau qui nappe les faces des
vertèbres : il s’agit d’une couche de cartilage hyalin (pas de structure de base fibreuse ni
élastique). Le nucléus pulposus est blanchatre et a la caractéristique d’etre très hydrophile
donc il ne modifie pas son volume mais sa forme. L’annulus fibrosus est un fibrocartilage
constitué de couches concentriques de cartilage fibreux à orientation croisé des couches. Le
cartilage est moins déformable, l’os est rigide et c’est ce qui permet ce système de collage
intermédiaire. L’annulus fibrosus peut etre perforé quand il y a une hernie du nucléus : hernie
discale.
Le ligament longitudinal ventral est épais au niveau des régions de la colonne vertébral
qui sont en lordose (concavité postérieur) donc sur la colonne vertical et lombaire il est épais
et adhérent au disque et au corps en face ventral (c’est logique). Le ligament longitudinal
dorsal est entre les pédicules, constitué de fibres longitudinales qui s’accroche pas à la face
dorsale du corps mais au niveau du disque ce qui fait qu’à la face dorsale du corps il passe des
éléments vasculaires (veines) entre corps et le ligament longitudinal dorsal.
 Articulation zygapophysaire : c’est une synoviale avec une membrane synoviale qui
glisse et qui nutrie. Ce manchon est constitué par une capsule fibreuse (solide) à l’extérieur et
il faut que les fibres soient détendus pour que lors des mouvements ça ne gène pas les
mouvements donc laxité de la capsule (lache).
 Ligament jaune unissent deux lames consécutives et doublent intérieurement les
articulations zygapophysaires. L’implantation sur les lames se fait sur la face ventrale du bord
caudale des lames et il s’insère sur la face dorsale du bord cranial des lames. On dit que les
lames et ligaments jaunes sont comme les tuiles de toit qui se recouvre mutuellement.
Ces ligaments jaunes convergent l’un vers l’autres et sont prolongés par le ligament
interépineux qui changent d’aspect selon le niveau. Ce ligament interépineux est recouvert par
le ligament supra épineux qui forme un cordon postérieur épais pour limiter l’inflexion
ventrale : la flexion. Au niveau de la colonne cervicale il modifie sa forme et se comporter en
éventaille pour se terminer sur les différents processus épineux. Cet évantail est le ligament
nuchal qui s’élargie de plus en plus de C7 jusqu’à C1 car les processus épineux sont petits en
craniale. Ce ligament nuchal forme une cloison qui sépare les muscles postérieurs du coup
 Quand il y a perte des contacts zygapophysaires il y a un besoin d’énergie important.
 Amplitude des mouvements intervertébrales.
Plus le disque intervertébral va etre épais, plus importantes seront les amplitudes.
Rapport entre la hauteur du disque et la hauteur du corps vertébral voisin : le rapport disco
corporéal de 1/3 au niveau cervical, 1/6 au niveau thoracique et 1/3 au niveau lombaire alors
que sur la colonne sacré tout est soudé.
c- cervicale : Les corps vertébraux de niveau cervicales ont un diamètre sagital réduit mais
diamètre transversale est plus important et plus le diamètre transversal des corps sera grand
plus il y a une limitation du mouvement. Les colonnes zygapophysaires sont latéralisés par
rapport à ces corps donc pas d’inclinaison ample. Les processus semi lunaires réduisent
l’inclinaison latérale.
c- thoracique : Les cotes limitent le mouvement ainsi que l’inclinaison des processus épineux
qui entrainent une limitation de l’extension.
c- lombaires : 1/3 de rapport D/C mais le corps vertébral lombaire est large par rapport à s
dimension sagitale ou vertical donc les inclinaisons latéraux et les rotation seront réduit à
cause de cette largeur des corps vertébraux ; les mouvements de flexion extension sont
important mais les autres sont ridicules.
 Le canal vertébral et les trous intervertébraux.
Le diamètre sagitale est commun de 15mm. La partie élargie déborde sur la partie rétrécie au
niveau thoracique donc les 2 premières vertébres thoraciques ont un canal triangulaire assez
large alors que c’est pareil pour les 2 dernières vertèbres thoracique.
 Formes des trous intervertébraux.
Fait par les limites particulières osseuses. Le foramen intervertébral de la cervicale a la forme
d’un rectangle mais peut se transformer en structure à la forme d’un 8 de chiffre.
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