Les échanges avec l’entrepôt de son prestataire logistique :
NEC CI transmet ses demandes de livraison en composants, à l’entrepôt, plusieurs fois
par jour. Mais grâce à NetIXServer, la cadence d’envoi de ces messages a été
multipliée par 18 , ce qui permet à NEC CI de produire en flux tendus et de réduire ses
stocks au minimum. En effet la communication temps réelle et l’intégration automatisée
des messages dans le système informatique, lui a permis de gagner une heure sur la
durée total du process : depuis la demande de livraison, jusqu’au message retour de
contenu de livraison.
Les échanges avec les partenaires en charge du SAV et de la hot-line :
Le volume des messages échangés avec ces partenaires est considérable, il se monte
à plus d’un million de messages par an. Avec NetIXServer, la réduction immédiate des
coûts de communication a permis à l’entreprise d’économiser plusieurs milliers d’euros
chaque mois. En outre le délai de réponse des partenaires aux messages reçus a été
divisé par trente. Ce qui permet à NEC CI de garantir à ses clients un délai
d’intervention maximum de 4H00. L’accélération des flux d’informations permet donc à
l’entreprise d’accroître sa compétitivité.
Les échanges avec les transporteurs aval et amont :
NEC CI échange plus de 100 messages par jour avec ses transporteurs aval, chargés
de livrer les marchandises aux clients. Ces messages transitent aujourd’hui sur un
réseau privé X400. NEC CI aura déployé NetIXServer vers tous les transporteurs amont
et aval d’ici la fin de l’année 2003, ce qui représentera plus de 2000 messages par jour.
NEC CI prévoit de déployer l‘outil pour gérer les échanges avec les fournisseurs et
souhaite le faire avec ses clients de la grande distribution, d’autant que NetIXServer est
inter-opérable avec les autres plates-formes de communication du marché.
En utilisant NetIXServer, NEC CI s’affranchit des RVA, tout en offrant à ses partenaires
des niveaux de sécurité et de traçabilité supérieures. L’entreprise est ainsi en passe de
remplir les trois objectifs qu’elle s’était fixée, deux années auparavant.
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